Mon avis sur la vie....du moment.

La chronique du temps qui passe est la vision d'un moment...vite passé et dépassé qui n'engage que moi pour le moment concerné, peu de temps en somme.


Les avis, parus dans cette chronique depuis le mois de novembre 2006 jusqu'au mois de juin 2012, sont édités dans le livre "Avis sur la vie", ISBN 978-1-291-08345-3

la guerre - 8 février 2024

Cela fait un temps certain que je n’ai pas communiqué mon avis.
C’est parce que j’attends du monde un élément réjouissant, j’attends, j’attends, j’attends… et...rien.
Je vois : la guerre, la guerre, la guerre et encore la guerre, ces folies impérialistes des uns et des autres, ce besoin insatiable de dominer et d’asservir les peuples.
Comment une personne sensée peut-elle décider que son pays doit envahir ses voisins avec comme conséquence, à court ou moyen terme, des milliers de morts et d’estropiés, des familles décimées, des souffrances innommables ?
Comment peut-on imaginer que l’entourage de ces dirigeants, loin de s’opposer, participe !
Bande de déments !

Simple quidam, je peux regarder ailleurs et ne pas voir ces horreurs et essayer de ne pas les entendre, mais pour notre communauté ce n’est pas possible, il faut bien qu’elle soit prête à faire face aux décisions néfastes de l’un de ces dégénérés.
Je souhaite que tous ces va-t-en-guerre disparaissent à jamais. Je les honnis.

Et, pendant ce temps-là, tranquillement, nos gouvernants, toujours à la pointe du progrès, taxent et retaxent, réglementent et interdisent.
Vraiment, pour beaucoup d’entre nous, trop, c’est trop !

Mais le temps passe inexorablement et nous pousse dans le dos.
Il n’est pas possible d’attendre que le monde aille mieux.
Le chaos a toujours existé et malgré tout nous sommes là, à la suite de nos aïeux, ça m’incite à être confiant.
Alors, j’écoute les oiseaux chanter et j’admire le vol des papillons multicolores.
Cela reste toujours possible !
C’est pourquoi, contre vents et marées, je reste résolument optimiste.

Mais, comme je le dis souvent : il en faut de la volonté !

C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Evidence - 17 mars 2023

De quoi parlions-nous avant d’être envahis par l’écologie ?
Comment, sans en parler, avons-nous pu vivre, avons-nous pu nous sustenter pour que nous, les humains, arrivions à nous perpétuer ?
A posteriori, en nous nourrissant de légumes frais, de fruits de saison, de poissons et de viandes animales.
C’est tout bête.
Actuellement, certains découvrent, avec enthousiasme, les bienfaits d’une nourriture saine...bon, tant mieux, mais il n’y a pas de quoi en faire tout un plat.
Aujourd’hui, il y a tous ceux qui ne consomment plus de viande, car la viande ce sont des animaux morts...brrr…
Je comprends : les animaux ayant une conscience il peut apparaître difficile de les sacrifier sur l’hôtel de notre gourmandise, sans se sentir un peu une âme de cannibale.
Toutefois, nul n’ignore que les plantes, aussi, sont vivantes, elles réagissent à l’ambiance, à la musique et même aux compliments.
Les plantes vivent et meurent comme nous.
Alors, comment allons-nous nous nourrir ?
Les âmes sensibles vont s’exclamer: une plante et un animal ce n’est pas pareil !
Ah, bon !?
Hé bien, demandons cela à la salade qui se fait manger toute crue.
Ce n’est pas parce que je ne dis rien que je ne souffre pas, pense l’huître qui se recroqueville sous le jet de citron.
La chair fondante des fruits gicle sous nos dents et le jus dégouline sur notre menton tel le sang dégusté par les vampires que nous sommes. Quelle horreur !
Réfléchissons…

Hé oui, nous ne nous nourrissons que de la vie et nous ne pouvons pas faire autrement.
Alors, les hypocrites qui fustigent les mangeurs de viande alors qu’eux-mêmes dévorent des plantes encore vivantes ne sont pas moins barbares.
Nous sommes tous des ogres, nous devons l’admettre et vivre avec cette obligation, sous peine de mort.
Et nous devons protéger nos ressources, bien évidemment.
Mais rien ne tombe tout rôti dans l’assiette. C’est un dur labeur.
Bref, rien de neuf
C’est mon avis sur la vie , ça n’engage que moi.

Guerre-6 Février 2023

06 février 2023 et c’est toujours la guerre en Ukraine, un an déjà.
Poutine et ses sbires en sont les uniques responsables.
Quelques soient les raisons imbéciles qui les ont poussés à ces extrémités, ils sont couverts du sang de centaines de milliers d’innocents sacrifiés par leur folie sanguinaire dévastatrice.
Qu’ils s’y noient !
Ils ont mis la Russie au ban des nations ; nous voici loin de l’Europe allant de l’atlantique à l’Oural, hélas !
Comment allons-nous pouvoir sortir de cette tragédie ?
Poutine a construit un mur d’abominations entre les Ukrainiens et les Russes.
Bien que ces peuples frères aient des racines communes, pourront-ils un jour revivre en paix ?
Bien des tyrans ont semé ainsi la haine, mais la sagesse de certains hommes en est venue à bout, alors...espérons.
Pendant ce temps-là, les Chinois envoient des ballons-espions (?) dans le ciel des Amériques ! Est-ce bien raisonnable ? Il y a des gens qui aiment vraiment jouer avec le feu !
Il faut dire que la valeur d’une vie n’est pas la même partout et peu importe les douleurs infligées aux uns et aux autres.
Même chez nous, en France, toutes les actions, toutes les manifestations peuvent vite dégénérer, alors : restons vigilants.
C’est mon avis du moment, ça n’engage que moi.

A votre avis ? 01 octobre 2022

A votre avis, pourquoi, actuellement, les peuples vont-ils vers les extrêmes plutôt populistes, c’est-à-dire vers des groupes qui disent ce que nous voulons entendre et qui vilipendent systématiquement ceux qui sont censés nous diriger ?
Je vais vous le dire, ce n’est pas que toutes les décisions prises soient mauvaises, c’est que certaines de ces interventions dans nos vies nous spolient ; par exemple les limitations de vitesse à 80 km/h sur toutes les routes alors que les voitures sont de plus en plus sécurisées, l’augmentation de taxes diverses ou l’interdiction de circuler dans les centres-ville pour des véhicules jugés trop anciens, ce dernier interdit qui se veut symbolique (car sans réel impact écologique) est profondément injuste, car il contraint ceux qui justement ne peuvent changer d’automobile, faute de moyens financiers, bref, c’est une belle idiotie qui mécontente, à juste titre, nombre de nos concitoyens ; ce ne sont que des aperçus représentatifs de frustrations indisposant les électeurs.
D’ailleurs, avant de contraindre, il vaudrait mieux persuader, notamment en offrant des alternatives crédibles, en l’occurrence des transports en commun dignes et nombreux, incitant à les utiliser.
Bref, l’économie de nos pays européens complique suffisamment nos vies et il n’est point besoin d’en rajouter.
Dans tous les cas le semeur récolte ce qu’il a semé.
Hélas, toutes ces petites misères semblent bien futiles lorsque la guerre est à nos portes, n’est-ce pas
Le despote Poutine a décidé d’agrandir son territoire et a lancé son pays dans la guerre contre son voisin, provoquant la mort de milliers de personnes avec toutes les horreurs accompagnant ce type d’entreprise : tortures, viols, déportations, misères.
Poutine est un criminel, tout comme ces sbires.
Imaginez l’inimaginable, que demain votre environnement soit détruit, vous ramenant d’un seul coup au moyen-âge, tout en étant entouré de prédateurs.
C’est la guerre, vos proches périssent, des amis vous trahissent, la confiance disparaît, la suspicion règne, vous ne trouvez plus de nourriture, il n’y a plus de travail, il n’y a plus de revenus, plus de logement, vous vivez dans des caves, c’est le dénuement total. N’est-ce pas terrible ?
Oui, c’est terrible...et malheureusement, c’est possible.
Les va-t’en guerre existent, même chez nous.

Quel rapport entre nos petites déconvenues,
et la guerre, cette décision mal venue ?
Vous avez bien gentiment donné votre main
et l’on vous demandera votre bras demain.
Vous avez approuvé et vous êtes enrôlé,
Il est maintenant trop tard pour vous désoler.
Il ne fallait pas laisser dire et laisser faire ;
c’est connu, les bonnes intentions pavent l’enfer.
En vous insurgeant contre des projets iniques,
vous luttez contre les intentions maléfiques.
Vous empêchez qu’un jour d’amères déconvenues,
sur le champ de bataille, erre votre âme nue.

C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

A qui la faute ? - 22 mai 2022

La guerre est une suite d’évènements terribles.
A la faveur des batailles, les pires crimes sont commis : tortures, viols, actes abjects, meurtres ; en effet, le combattant agit avec une impression d’impunité totale puisque sa première permission est de tuer, libérant ainsi alors sa perversité la plus sombre !
Pourtant, il existe des lois de la guerre, des règles internationales qui indiquent ce que l’on peut faire ou ne pas faire afin de préserver autant que possible un peu d’humanité lors des conflits armés. Ça peut paraître aberrant, évidemment, mais on peut considérer que, puisque l’on ne peut pas empêcher la guerre, il faut en minimiser autant que possible les effets en imposant des règles, comme lors d’un combat de boxe ou comme dans un jeu.
Hélas, ce n’est pas un jeu !
La première règle qui devrait exister c’est la condamnation à l’emprisonnement à vie, pour le chef d’État qui déclencherait une guerre, celui qui prendrait la décision d’envahir un autre pays.
C’est quand même fou de constater avec quelle facilité la Russie, enfin, ses dirigeants avec en tête l’assassin, Vladimir Poutine, a décidé d’envahir son voisin sous des raisons fallacieuses les plus diverses.
Ces gens-là doivent être mis au ban de l’humanité .
Même si certaines mauvaises intentions d’autres pays pouvaient inquiéter les Russes, rien ne peut justifier des milliers de morts et la destruction systématique de son voisin qui de plus n’a rien à voir avec ces inquiétudes.
Oui, mais la meilleure défense, c’est l’attaque.
Seulement, encore faut-il qu’il y ait matière à se défendre et que ce besoin ressenti ne soit pas le résultat d’une profonde paranoïa ou le besoin de reconstruire un passé révolu à tout jamais.
Et, ce qu’il y a d’affreux dans ces histoires de guerre, c’est que celui qui prend l’effroyable décision d’anéantir un pays et ses habitants est suivi par ses collaborateurs, personne n’ose s’opposer, tous craignent pour eux-mêmes et leur petit confort et peut-être que certains rêvent d’une gloire qui serait pourtant bien éphémère.
C’est vrai que nous-mêmes dans nos vies, nous pouvons parfois être soumis à des compromissions, à de petites lâchetés et comment réagissons-nous ? Prenons-nous conscience de l’inanité de nos petites ambitions personnelles ?
Le courage du peuple ukrainien est remarquable et la sagesse du Président admirable, car, à sa place, je serais envahi d’une rage folle et rempli d’un violent esprit de vengeance destructeur contre Poutine et les siens, mais c’est vrai, la colère est mauvaise conseillère.
Mais celui qui a engendré tous ces malheurs, quand, demain, il sera mort que laissera-t-il derrière lui à part ces ruines et ce cortège de cadavres ?
Et pourquoi ? puisque maintenant il n’est plus que poussière, ne pouvait-il les laisser vivre en paix ?

Restons vigilants, nul n’est à l’abri !

C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Guerre - 24 février 2022

L’Europe de l’Atlantique à l’Oural, vieux rêve qui semble se perdre dans les folles hallucinations paranoïaques d’un dictateur assoiffé de terres échappées du domaine d’une union factice et révolue.
Dans l’ensemble , on peut dire que le peuple russe est plutôt bien apprécié et que les États constituant l’Europe n’aspirent qu’à des rapports bienveillants entre eux.
Mais, non, il y a toujours un dictateur surgissant des enfers qui, ébloui par sa puissance, veut asservir tout ce qui l’entoure.
Pourquoi ? Je vous le demande.
En l’occurrence, c’est simple : après avoir reconstitué une belle armée, Vladimir veut essayer son beau jouet, sauf que celui-là, il tire à balles réelles, c’est très dangereux.
Vladimir songe, pour sa gloire dans l’éternité, qu’il pourrait reconstruire l’ancienne et dépassée URSS.
Franchement, pourquoi ne pas aussi rétablir le servage des moujiks que nous sommes tous ?
Non, non, non, ce n’est plus possible.
Soyons sérieux : 70 ans c’est un bel âge pour profiter de la retraite, non ?
La vie est si courte et un accident est si vite arrivé.
C’est mon avis sur la vie
Ça n’engage que moi

Les Zélections - 2 février 2022

Z comme Zorglub.
Ce brave Zorglub n’était pas un méchant homme, il était juste un peu mégalomane, un peu savant fou et génie du mal.
Heureusement le gentil comte de Champignac, un ancien condisciple d’étude et ami, est là pour contrecarrer toutes ses folies.
Dans notre histoire, Champignac, aidé de Spirou et Fantasio, gagne toujours.
Dans la réalité, je ne sais pas qui est Champignac, ni Spirou et Fantasio  ; en revanche je vois bien qui pourrait être Zorglub.
Le danger c’est la Zorglonde qui hypnotise les partisans de Zorglub, les transforme en Zombies ; heureusement, si la Zorglonde ne fonctionne plus, les Zorglhommes retrouvent leur indépendance et leur faculté de raisonner.
Autre danger, c’est qu’entourant Zorglub, il y a d’autres méchants non Zorglondés, mais très ambitieux, se voyant déjà chef à la place du chef ou, au moins, grand vizir et pour cela flattant outrageusement Zorglub.
Les Zélections doivent avoir lieu au mois d’avril donc, d’ici là, il peut s’en passer des choses ; peut-être que monsieur le comte de Champignac fera pousser quelques champignons hallucinogènes et que le peuple prenant les vessies pour des lanternes, ainsi éclairé, trouvera un nouveau messie (définition : libérateur désigné et envoyé par Dieu)(Dieu, concept de l’homme).
Quoiqu’il en soit, après ces années arrosées à la Corona (virus), l’ivresse de notre future liberté réduit notre discernement.
Toutefois, une chose est sûre, le passé restera le passé avec tous ses errements et il ne reviendra pas, tant mieux !
Quant à l’avenir, il est à nous !
Restons résolument optimistes.
C’est mon avis sur la vie, il n’engage que moi.

Bonne Année 2022 - 31 décembre 2021

Patatras !

L’année 2021 se termine un peu comme elle a commencé, en semi-confinement, sous la pression du coronavirus (ou la covid, pour les puristes).
Les décisions des responsables politiques semblent parfois un peu contradictoires comme les avis des scientifiques et médecins divers, ce qui n’aide pas à accepter les contraintes qui nous sont imposées.
Bien évidemment, nous n’allons pas pouvoir continuer constamment à vivre à moitié et supprimer les activités qui nous rendent la vie agréable.
Faut-il se cacher derrière nos masques et éviter tous les contacts avec notre entourage ou alors faut-il se montrer intrépide et vivre normalement en assumant le risque de maladie ?
Et d’abord, qu’en est-il réellement des suppressions de lits dans les hôpitaux et de la réduction du personnel ?
Si la majorité de la population est vaccinée, donc protégée, faut-il maintenir toutes ces privations de liberté alors que le risque d’être gravement atteint devient quasiment nul ?
Quelle est la vérité ?
Dans la vie, le risque zéro n’existe pas, nous sommes tous à la merci d’un accident qu’il soit de santé ou de circulation et il y a un moment où il va bien falloir l’accepter.
Les amendes, les menaces de prison et autres contraintes ne vont faire qu’exacerber le ras-le-bol des populations.
La pire des menaces c’est la mort et pourtant les anti-vaccins ne semblent pas y être sensibles, sans doute parce que ça n’arrive qu’aux autres.
Hélas, non ! Des exemples multiples montrent que la grande faucheuse choisit de préférence les plus faibles, les moins protégés, même parmi des gens connus défendant jusqu’à l’absurde leur droit de choisir. Dommage qu’elle ne choisisse pas, aussi, les plus bêtes.
Franchement, choisir la mort, surtout de cette façon-là, ça me paraît vraiment stupide.
L’omicron (15e lettre de l’alphabet grec), dernier variant en date du covid, beaucoup plus contagieux, mais beaucoup moins dangereux que le delta sera peut-être le dernier, allez savoir !
C’est ce que je souhaite pour la nouvelle année 2022.
Donc, bonne année et bonne santé !
Restons résolument optimistes !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Renaissance 26 mai 2021

Après cette période de confinement qui durant plus d’un an, non sans notre complaisance, nous a privés de diverses libertés, allons-nous connaître une renaissance?
Interdit de circuler, interdit de librement respirer et, ce qui est plus grave, différents métiers interdits d’exercer, de commercer.
Plus question de s’embrasser, ni même de serrer des mains, il faut éviter de se côtoyer.
Le peuple, subissant la propagande étatique distillant sans relâche des messages anxiogènes annihilant sa volonté, fut plongé dans la torpeur.
Est-ce ainsi que naissent les régimes autoritaires qui avec violence brisent toute volonté de révolte ?
Cette restriction des libertés a été imposée dans l’apathie générale, la peur du virus envahisseur engendrant une sorte de fatalisme accepteur.
La question n’est pas de savoir si le virus existe vraiment, ça il suffit de le demander aux nombreuses personnes qui en sont mortes ou à celles qui en subissent encore les séquelles ou aux hospitaliers qui voyaient défiler les corps vers la morgue.
La question est : lors d’une pandémie faut-il sous prétexte de sauver un maximum de personnes en condamner un nombre incertain aux tracas financiers, à la perte de leur emploi, à l’indigence ? Faut-il mettre le pays à plat ?
Bien sûr, personne, sauf les masochistes, n’aimerait être à la place des décideurs dont l’embarras manifeste engendra bien des confusions, des contradictions, des incohérences, mais faut-il empêcher un pays de vivre sous prétexte de l’empêcher de mourir ?
Bon, le vaccin semble être la bonne solution, mais il fallait le temps de le trouver ; ce n’est pas la première fois que son efficacité est démontrée, souvenons-nous de la poliomyélite qui fit des ravages, de la tuberculose et de bien d’autres maladies éradiquées ou jugulées grâce à la vaccination.
Je rappelle cette évidence à tous les contradicteurs qui pensent qu’une vie saine suffit à faire peur aux microbes.
Maintenant surgit l’innovation du livret de vaccination à présenter pour pouvoir exercer telle ou telle activité, ça peut se comprendre, mais réfléchissons-y à deux fois, n’est-ce pas une atteinte à nos droits fondamentaux de librement circuler, de voyager, de se loger, de se distraire.
Ce « laisser-passer » ne doit surtout pas être validé à longue échéance !
Il faut, toujours, rester vigilant, de la liberté à l’autoritarisme, le pas est vite franchi.
Vous ne me croyez pas ?
Réfléchissez à la facilité avec laquelle le peuple s’est soumis à toutes les contraintes imposées lors de cette pandémie. Examinez les opérations de police visant à étouffer dans l’œuf toute tentation de rébellion.
Oui, je sais, c’était pour notre bien...et patati et patata, etc.
N’empêche !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.
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Abracadabra - 24 février 2021

J’entends parler d’islamo-gauchisme ici et là ; ailleurs, des catholiques s’insurgent contre des lois allant, paraît-il, contre leurs croyances, etc.
Mais quand donc l’être humain arrêtera-t-il de se référer à des entités imaginaires en leur prêtant tous ses fantasmes !
C’est écrit, c’est la loi du seigneur ! Ça nous empoisonne l’existence !
Il n’y a rien du tout, les gars ! Redescendez sur terre !
Tous les écrits sont de la main de l’homme, répétant les contes et légendes des peuples primitifs qui craignaient que le ciel leur tombe sur la tête.
Les guerres, les inégalités, le racisme, la cruauté, l’égoïsme, la domination, l’oppression sont dus à l’être humain, à personne d’autre et surtout pas à un dieu hypothétique omniprésent et omniscient.
Bon, si certains trouvent un réconfort en confiant leur vie à une divinité quelconque, pourquoi pas, mais qu’ils gardent à l’esprit que le concret prime avant tout et qu’ils ne se voilent pas la réflexion avec des idées farfelues descendant magiquement du ciel et, encore moins, qu’ils ne justifient pas leurs actes les plus vils au nom su Seigneur.
Après, n’oublions pas que nos actions dont nous sommes seuls responsables engendrent des réactions, rappelons-nous toujours que le battement d’ailes du papillon peut se transformer en ouragan quelques milliers de kilomètres plus loin, c’est une image bien sûr, mais très parlante.
Puisque nous évoquons les conséquences de nos actions, j’en profite pour aborder les actes de repentance pour des faits commis par nos ancêtres.
Personnellement, je ne me sens pas responsable par les saloperies ou les bienfaits accomplis par mes ascendants ; fatalement, je n’y suis pour rien ; bien que je condamne ces événements passés et que j’éprouve de la compassion pour tous les martyrs, je ne puis changer l’histoire, mais en tirer un enseignement , une nouvelle conduite, ça oui, c’est possible.
Prenons l’exemple de l’esclavage : l’asservissement de l’homme par l’homme est une abomination que l’on ne peut que réprouver ; pourtant, hélas, ici ou là, il perdure et beaucoup plus qu’on pourrait le croire, même à côté de chez vous, alors, agissons dans le présent.
Vivre le présent, car on ne peut pas revivre le passé ni anticiper sur l’avenir ; toutefois, gardons à l’esprit que l’avenir se prépare dans le présent résultat du passé, c’est simple.
Bien vivre le présent crée un passé plus limpide pour un avenir plus facile.
Donc, en ces temps troublés quelles sont nos perspectives ?
Heu……..
« Aide-toi et le ciel t’aidera » vieil adage, plein de bon sens, qui ne dit pas autre chose que ce qui précède.
Et, une fois cela fait, rien ne vous empêche de capter une parcelle des forces qui circulent dans l’univers.
Et que nos dirigeants, présents et à venir, puissent s’en inspirer.
Et, maintenant, attention !
ABRACADABRA.

Fusion nucléaire 22 décembre 2020

Après la fission nucléaire, voici la fusion nucléaire, bien plus moderne que les moulins à vent qui pourrissent nos paysages pour un rendement aléatoire, la fusion nucléaire est considérée par ses défenseurs comme l'énergie de
demain, car elle est infinie et ne produit ni déchets ni gaz à effet de serre . De plus, cette fusion n’utilise pas d’énergies fossiles, elle n’entraîne pas de risques d’accidents nucléaires et n’engendre pas de déchets susceptibles d’être utilisés pour créer des armes.
La chine a déjà activé son réacteur expérimental...et nous ?

La fusion nucléaire est souvent considérée comme le Graal de la  production d’électricité décarbonée.
Il s’agit en effet d’une réaction que l’on retrouve au cœur du soleil et qui dégage des quantités astronomiques d’énergie. À la clef, des avantages de taille pour notre société : l’accès à une source d’énergie non intermittente, quasi illimitée et, surtout, très peu polluante.
ITER (en latin le « chemin ») est l'un des projets les plus ambitieux au monde dans le domaine de l'énergie dont la réalisation chinoise est l’un des enfants.
Implanté dans les Bouches-du-Rhône, ITER est considéré comme le projet le plus ambitieux au monde dans le domaine de l'énergie. Avec un concept inspiré des étoiles, ce futur réacteur expérimental de fusion nucléaire – dont l’assemblage a débuté le 28 juillet - associe 35 pays et de nombreux industriels français.
Les résultats du programme scientifique d'ITER seront décisifs pour ouvrir la voie aux centrales de fusion électrogènes de demain.
Situé sur le site de Cadarache à Saint-Paul-lez-Durance dans les Bouches-du-Rhône, ce projet de réacteur de fusion nucléaire ne vous est peut-être pas inconnu ! Et pour cause : ITER est tout bonnement à l'heure actuelle le projet scientifique le plus colossal au monde.
C'est en pleine campagne, à environ 40 km au nord d'Aix-en-Provence, sur une surface s'étendant sur 42 Ha, que ce réacteur nucléaire un peu particulier est en train d'être érigé depuis déjà près de 10 ans.
En parallèle, la Chine investit massivement dans la recherche sur la fusion thermonucléaire. Depuis 2003, le pays est partenaire de ce grand projet  international ITER de réacteur thermonucléaire (qu’on appelle également un tokamak).
Le réacteur, situé en France, devrait générer son premier plasma en 2035. Mais, on le voit, la Chine entend battre sous peu un record avec le tokamak qu’elle vient de construire. 

En 2040 nous aurons donc peut-être de quoi alimenter toutes nos voitures électriques, quoique pour ces dernières je reste partisan du fonctionnement à l’hydrogène qui je l’espère sera rapidement vulgarisé et diffusé par un réseau de distribution implanté dans toutes les stations-service.

Pourquoi parlé-je de ces projets à moyen et long terme ?
C’est pour parler d’autre chose que du virus baladeur qui incite les dirigeants de la planète Terre à faire peur, à restreindre les libertés fondamentales pour, paraît-il, protéger les citoyens .
Circuler, travailler, échanger, voyager, s’amuser sont, hélas, des activités en peau de chagrin.

Dans ces temps particuliers, il convient de rester vigilant, certes, mais surtout il est indispensable d’espérer et de se projeter dans l’avenir.
En attendant, le virus mute, il devient plus virulent, peut-être pour finir par faire « pschiit » et disparaître, allez savoir ; ça éviterait d’utiliser les vaccins conçus dans l’urgence.

Bon ! Un point positif le jour le plus court de l’année est passé donc la lumière va revenir !
Joyeux Noël et Bonne Année 2021 !

C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi

Dictature 29 septembre 2020

Quand je disais que nous n’étions pas loin de la dictature, c’était bien évidemment des propos outranciers...quoique…
Les faiseurs de peur sévissent plus que jamais.
Les mises en accusation du peuple pullulent et culpabilisent chacun d’entre nous.
De nombreux corps de métier se retrouvent à l’agonie étant interdits d’exercer.
Les dirigeants donnent l’impression d’essayer toutes les possibilités d’un nouveau jouet : jusqu’où peut-on aller trop loin ?
Jusqu’où peut-on s’avancer au bord du gouffre sans y tomber ?
Dans les petites sphères directoriales de la présidence et des ministères, chacun y va de sa petite idée et pendant ce temps là notre jeune président , tel le chevalier blanc, va donner des leçons de politique et de démocratie à divers pays qui s’en moquent, au lieu de corriger les graves dérives dictatoriales qui se développent chez nous.
Les donneurs de leçons feraient mieux d’apprendre la leur.
Nous ne savons même plus ce qui est vrai et ce qui relève du fantasme.
Bien sûr, les élus sont mandatés pour prendre les décisions qu’imposent les circonstances et ce n’est pas toujours facile, toutefois la règle fondamentale reste : Liberté, Egalité, Fraternité ; hé bien, on ne le dirait pas.
Dans tout cela, il ne faut pas perdre de vue que ce n’est pas au peuple de comprendre les élus, mais bien l’inverse.
Evidemment, c’est facile à dire et les beaux parleurs ne sont pas les acteurs, mais ce n’est pas une raison pour bafouer les règles essentielles de notre société.
Bientôt, lorsque nous traverserons la rue, ce n’est pas du travail que nous trouverons, mais le désert.
En tous les cas, « nous ne sommes pas sortis de l’auberge », expression ancienne dans laquelle l’auberge est en réalité une prison, est-ce exagéré ? Alors, disons que nous ne sommes pas sortis d’affaire.
Néanmoins, restons résolument optimistes.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Les pourvoyeurs de terreur - 04 Août 2020

Comme tout le monde, j’en ai assez de tous ces messages anxiogènes vous martelant que vous pouvez être contaminé par ce virus contagieux, j’ai nommé le covid 19, autrefois appelé le coronavirus.
Pourquoi a-t-on changé le nom, est-ce par peur de faire du tort à une boisson bien connue ou parce que ça ne faisait pas assez peur ? Bon, peu importe.
Il paraît que nous sommes dans une courbe descendante et que tous les rappels alarmistes ne sont là que pour maintenir notre vigilance.
Pourquoi pas ?
Sauf que la peur, le stress permanent, l’insécurité psychique volontairement entretenue rendent beaucoup de nos concitoyens chroniquement apeurés affaiblissant ainsi considérablement leurs défenses immunitaires .
Les ordres venant des nombreux maîtres, dirigeants, ministres, président, professeurs et autres docteurs distillateurs de frayeur, tous aux avis divergents, plongent une partie de la population dans la détresse et la maintiennent dans l’inquiétude.
Les interdictions de travailler imposées à de multiples entreprises engendrent des mises au chômage enfonçant des familles dans la misère malgré les efforts financiers de l’État...Et l’État, c’est nous !
Les seigneurs qui distribuent ainsi, à la volée, des millions non encore gagnés oublient de préciser que c’est notre futur propre argent qui est déjà distribué, pauvre de nous…
Donc, pour en revenir à l’essentiel, nous sommes tous des pestiférés potentiels, si vous ne l’êtes pas aujourd’hui, vous pourrez l’être demain et peut-être l’avez-vous été hier et le serez encore demain.
Ne vous touchez plus, ne vous embrassez pas (encore moins), cachez-vous le visage pour éviter de répandre vos miasmes à tous les vents.
Hou, j’ai peur ! J’ai peur de mes voisins, j’ai peur de mes amis, j’ai peur de ma famille.
C’est justement ce que souhaitent nos gentils organisateurs pour nous protéger.
Hélas , la peur ne protège pas, elle vous paralyse.
Au passage, pour rire, je rappelle la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public, loi publiée au Journal officiel du 12 octobre 2010, après avoir été soumise au contrôle du Conseil constitutionnel. Cette loi pose le principe d'une interdiction générale de la dissimulation du visage dans l'espace public, son article 1er énonçant à cet effet que « nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage ». La loi sanctionne également le fait de contraindre un tiers à dissimuler son visage.
Nous n’en sommes plus à quelques aberrations près.
Evidemment, je n’oublie pas les 625000 morts des suites du corona de par le monde. Ce n’est pas rien. C’est triste, cela va de soi, et difficile à accepter pour les proches.
Par ailleurs, je n’oublie pas non plus le million et demi de morts/an par tuberculose et tous ceux partis dans le dénuement complet le ventre creux ; chaque jour 25000 personnes, dont 10000 enfants, meurent de faim ; 854 millions de personnes sont sous-alimentées dans le monde...c’est dingue, non ? En tous les cas, ça relativise.
Tout ça pour dire que les mesures prises semblent, après coup, un peu disproportionnées…
Quand je repense qu’il fallait s’établir, à soi-même, une autorisation de sortie pour aller faire une course, j’ai vraiment l’impression que nous avons évolué dans un monde absurde et les contrôles en découlant ont souvent été ressentis comme une surveillance en pays occupé, ne pouvant engendrer que la soumission ou la rébellion, soit la disparition de la démocratie.
Alors, je pose la question, était-ce bien nécessaire ?
Faut-il empêcher les gens de vivre sous prétexte de les protéger ? Faut-il les enfermer pour fuir un ennemi invisible ?
Fallait-il plonger le monde dans la terreur pour le rassurer ?
Transformer tout un peuple en de multiples marionnettes me paraît bien dangereux. C’est certainement grisant pour ceux qui tirent les ficelles, mais bien dangereux.
Je ne parle pas de toutes les entreprises en difficulté et des drames humains qui en découlent.
Quant aux milliards d’euros qui pleuvent : c’est magique ! Il est bien dommage que l’on ne les ait pas utilisés plus tôt...
Bon, j’arrête là, car à force de trop parler, vous voyez, on ne sait plus qui écouter, mais ce qui n’est pas dit est ignoré, alors, que faire ?
Et malgré toutes les menaces proférées par certains, il est plus que temps de quitter ce monde irréel avant que ne soient détruits tous nos liens sociaux.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Maladie - 20 avril 2020

La nouvelle maladie s’est propagée comme une traînée de poudre.
Ce ne serait pas gênant, si ce virus restait en tout temps anodin, mais malheureusement il peut s’avérer que les malades en meurent.
Donc la protection la plus efficace qui ait été trouvée est de confiner les populations dans leurs demeures ; du coup, les activités des uns et des autres s’arrêtent, les entreprises se meurent.
Un mois, deux mois et pourquoi pas trois ou quatre ou six s’interrogent les dirigeants impuissants.
A la campagne, cet enfermement chez soi est supportable, mais, aussi, peu compréhensible, car tout ça semble loin.
Et puis, il nous a été tellement rabâché que nous étions tous en danger de mort que l’on finit par sursauter en voyant son ombre. Si nous rencontrons des amis, nous nous parlons à deux mètres de distance, c’est bizarre.
L’autre jour, je suis allé en ville, je marchais sur le trottoir pour rejoindre ma voiture quand une dame qui traversait pour rejoindre mon côté, s’est arrêtée net, morte de peur en me voyant.
Oui, nous nous considérons tous comme des pestiférés.
C’est grave !
Je crains fort que cet enfermement anxiogène ne dérive rapidement vers une dépression profonde généralisée.
J’ai entendu quelqu’un parler de guerre.
Je le répète : nous ne sommes pas en guerre, il n’y a pas de soldats dans les rues (pas encore), pas de chars, pas de bombes, ouf ! C’est déjà ça ! Evidemment, vous m’objecterez qu’il y a des policiers, tels des gardiens de prison, qui surveillent nos sorties, ça fait quand même un peu curieux.
Encore plus étrange, c’est vous qui rédigez votre autorisation de sortie ; vous me direz, il faut bien que quelqu’un le fasse et qui mieux placé que vous-même ?
Bon, alors quoi ? Hé bien, c’est une pandémie...mondiale.
Merde , c’est grave !
Ben, oui ! C’est pour ça qu’on essaie, par tous les moyens, de nous faire peur.
Comment s’en protéger ? Du Coronavirus ou de la trouille ? Justement, on ne sait pas.
Chacun donne son avis, les scientifiques, les politiques, les soignants, les passants, etc.
Il paraît que cette maladie serait non pas une grippe, ni une maladie respiratoire, mais tromboembolique !
En attendant, tout le monde doit se calfeutrer dans son logement ; à six dans 50m2, bonjour l’ambiance.
Ce qu’il y a de bien c’est qu’à l’occasion de cette pandémie les « obscurs », les « sans-grades », sont apparus indispensables ; en voilà une découverte.
Pendant ce temps là, la terre se porte mieux, les oiseaux chantent, les papillons papillonnent, les abeilles bourdonnent, les poissons se reproduisent.
Plus d’avions dans le ciel, plus de bateaux en mer, plus de voitures sur terre, plus de trains sur les rails.
Enfin, presque plus ! Parce que, quand même, il faut bien continuer à commercer un minimum, car « Il faut bien vivre ! » Et , les échanges, c’est la vie.
C’est une sorte de monde imaginaire devenu réel.
Autre chose, je me suis toujours interrogé sur cette privation de liberté, est-ce bien légal ?
Même si cette décision part d’un bon sentiment, a-t-on le droit d’enfermer les gens chez eux, de détruire l’économie de tous les pays pour l’arrêt hypothétique d’une pandémie ?
Dans le temps, à l’époque du paternalisme, quand le peuple en prenait un peu trop à son aise, on disait : « il faudrait une bonne guerre ! », histoire de remettre tout le monde à sa place.
Cette pandémie équivaut-elle à une bonne guerre, bien que cela n’en soit pas une ? Et qui l’a déclenchée ?
Ah ! Oui ! Une autre question : il nous est recommandé de nous couvrir le visage d’un masque filtrant, or la Loi n°2010-1192 du 11 octobre 2010 interdit la dissimulation du visage dans l'espace public, l'article 1: précise "Nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage."
Alors ? Que faire ?
Le 13 avril, le soir, j’ai entendu le président de notre république nous dire que le déconfinement débuterait le 11 mai ; ouf !
Pour certains seulement ! Ah, zut !
Après, il a annoncé qu’il serait tenu compte de l’enseignement de cette crise, notamment vis-à-vis des personnes invisibles aux yeux de certains en période normale et qui finalement s'avèrent les plus indispensables.
Il n’y a plus qu’à attendre et voir.
Aaaah, ce n’est pas simple de gouverner, croyez-moi !
En attendant de notre proclamation : Liberté, Egalité, Fraternité, il ne reste que la fraternité. Restons vigilants.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Covid 19 - 22 mars 2020

En toute chose, gardons l’esprit critique.
Nous voilà au milieu d’une crise sanitaire sans précédent.
Les autorités ont pris des mesures nous forçant au confinement et ont décidé d’arrêter toute l’économie du pays.
Vous me direz que ce sont des décisions qui paraissent sages, prises notamment en chine, premier pays touché, pour protéger la vie des plus fragiles face à ce virus dit « coronavirus «  ou « covid 19 » qui se propage à la vitesse grand V.
Delà à dire que nous sommes en guerre, il ne faut quand même pas exagérer ; il n’y a pas de bombes, pas de sniper sur les toits, pas de disette, les maisons ne sont pas détruites, etc.
Mais protégeons-nous autant que faire se peut de cette menace invisible.
C’est invisible, un peu comme le Saint-Esprit, sauf que ça ferait plus de mal.
J’avoue éprouver des difficultés avec cet ennemi caché, car je ne crois que ce je vois, comme saint Thomas. C’est l’esprit cartésien.
Evidemment, je dis ça parce que je ne suis pas malade, plausiblement pour l’excellente raison que je prends, depuis des années, ce fameux médicament à la chloroquine.
A ce sujet, le professeur Raoult, spécialiste renommé des maladies infectieuses , dit que, finalement, cette infection est peut-être la plus simple et la moins chère à soigner de toutes les infections virales.
Ça fait réfléchir !
Par ailleurs, je me méfie (c’est peu dire) des dernières dispositions visant à octroyer tous pouvoirs au gouvernement, sans dispositifs de contrôle (parlement) , c’est comme cela que s’instaurent les dictatures.
Oui, oui, j’entends bien les cris de tous les bien pensants, mais je vous rappelle que tout pouvoir à besoin d’un contre-pouvoir, fort, c’est la base même de la démocratie (et des bonnes décisions), surtout en situation de crise.
Toutefois, il est sûr que personne n’aurait pu imaginer que, pratiquement du jour au lendemain, les hôpitaux se retrouveraient encombrés de malades en détresse respiratoire, que les soignants n’en pourraient plus de fatigue, que la population serait consignée chez elle, la liberté de circuler et d’entreprendre étant supprimée (provisoirement bien sûr).
Personne !
Quoique, pour la fatigue des soignants, étant donné la gestion politique des lieux de santé, ça fait un bout de temps que ça nous pendait au nez ; au moins c’est un bon révélateur .
Bref ! Cette période est carrément digne de la science-fiction.
Bon, évidemment, tout le monde est de bonne volonté et le gouvernement n’a certainement pas souhaité ce genre de scénario et rappelons-nous que tous les pays sont concernés.
Mieux vaut prévenir que guérir ! Toutefois les décisions ne sont pas toujours les mêmes, notamment celle de bloquer l’économie du pays ou de calfeutrer les gens chez eux.
La difficulté dans cette histoire c’est que, sauf dans les hôpitaux ou chez les médecins, rien n’est visible et que les décisions prises sont parfois contradictoires ou peuvent paraître outrancières.
Dans les contradictions, il y a celles de bloquer les gens chez eux et de fermer tous les commerces et l’incitation de continuer à travailler pour ne pas détruire l’économie du pays.
Bien, tout cela n’est pas facile et ça ne va pas pouvoir durer bien longtemps, d’autant plus que les contraintes non respectées sont lourdement réprimées...ça ne va pas aider à aimer la police qui a le dur devoir d’appliquer les sanctions.
Je souhaite donc bon courage à tous ceux qui ont la lourde tâche de faire face à toutes ces difficultés.
Pour finir, j’aurais aimé que le « coronavirus » garde ce nom peu sérieux qui plaisait tant à notre esprit gaulois, le nouveau nom de « Covid » est beaucoup moins drôle ; « Covid » à quoi ça vous fait penser ?
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Bonne année - 20 janvier 2020

Nous voici en 2020, quels sont mes vœux pour cette année ?
Tout d’abord, j’aimerais bien que les gens qui demandent à une personne, différente d’eux (couleur, origine, sexe), si ce n’est pas trop dur de subir cet état, prennent conscience que le problème est en eux et non en la personne d’en face ; chacun naît comme il naît et il est bien comme il naît.
« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. ».
Donc, j’aimerais bien que les gens qui ne sont pas d’accord avec ceux qui nous dirigent et qui le font savoir, ne subissent pas en retour des brutalités, car c’est une drôle de conception de la démocratie que d’imposer par la force ( des coups) des changements non acceptés.
J’aimerais aussi que les gens qui manifestent et qui parfois sont une minorité du peuple négocient, plutôt que de bloquer l’activité du pays au détriment de tous.
A défaut, j’aimerais que pour ces questions, apparemment fondamentales, le gouvernement consulte la population par voie référendaire, afin d’éviter tous ces ennuis.
C’est utopique, me direz-vous, hé bien, justement, l’utopie est une représentation du monde sans défauts, c’est ce vers quoi il faut tendre.
Un monde meilleur ce n’est pas trop demander pour la nouvelle année !
En ces jours un peu troublés souvenons-nous du slogan soixante-huitard, « sous les pavés : la plage ! » et, c’est vrai, sous les pavés, il y a du sable.
Alors, comme il était dit au début des années 60, durant l’an 2020 « faites l’amour ! Pas la guerre ! »
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Le temps - décembre 2019

Depuis la nuit des temps, les hommes s’entre-tuent.
Pourquoi ?
Tous partis d’un même territoire, ils se sont éparpillés partout sur notre terre nourricière, chacun défendant son nouvel espace, source de la nourriture assurant le développement de son clan familial, c’est sa richesse.
Au fil du temps, suivant les expositions aux intempéries, aux difficultés du terrain, les aspects des uns et des autres ont changé, les codes de conduite ont été dictés par l’environnement, par le lieu de vie.
Je vous parle, là, du début des temps.
Mais déjà certains enviaient le bien de leurs voisins et pour le leur prendre inventaient tous les prétextes et s’érigeaient en maîtres, volant les plus faibles et inventant des lois les disant supérieurs.
Je vous parle là, toujours, du début des temps.
Un temps où les races humaines n’étaient pas encore inventées, où, tous se savaient de même origine, les discussions se faisaient alors sur un pied d’égalité.
Mais, voilà, le temps passe, les différends apparaissent, les différences naissent.
Les plus forts, les plus entreprenants dominent et exploitent les plus faibles tâchant d’en obtenir toujours plus de richesses.
Ainsi naquirent les rois, les empereurs, les dictateurs, les despotes, les serfs, les vilains, les esclaves.
C’était le début des temps.
L’homme est inventif, il crée des tas d’outils pour se faciliter la vie, des machines incroyables pour l’emporter au-delà de son imaginaire. Pour le profit de tous, pour une vie plus agréable, plus amusante.
Pour le profit de tous ? Vraiment ? Les inventions, les arts ne sont-ils pas confisqués ? Monopolisés ?
Nous voici aux temps présents.
A part les insultes inutiles et les mots vengeurs, outranciers et choquants, engendrés par la colère et l’incompréhension sur les réseaux sociaux du web, pas grand-chose ne change, sans doute.
Les dominants, persuadés de détenir LA vérité, disent vouloir faire le bien du peuple contre tous les avis divergents, quitte même à persuader par la force plutôt que de négocier.
Je vous parle donc de temps perturbés.
Hé bien, j’aimerais bien de temps en temps avoir un peu de calme.
J’aimerais, pour les fêtes de fin et de nouvelles années, avoir un temps de repos.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi

Droits de humains - 20 septembre 2019

Grande nouvelle ! Le coq Maurice a gagné son procès, ouf !
Les empêcheurs de chanter en rond n’ont plus qu’à repartir dans leurs contrées.
Mais tout n’est pas gagné il y a encore quelques profiteurs qui nous dirigent, des procès sont en cours ou à venir.
Mais, il n’ y a pas que les droits des coqs à défendre, en effet, pendant ce temps là, le comité directeur de l’Europe, ce n’est pas rien, réfléchit à la défense de nos valeurs contre celles des envahisseurs : il n’est jamais trop tard pour bien faire. Toutefois, pour aider, je rappelle qu’il existe un vieux truc qui apporte une notion des droits minimaux dus à la seule qualité d'être humain, ça s’appelle la Déclaration universelle des droits de l’homme ; l’avez-vous lue ? Sinon, c’est à faire.
Extraits :
Article 1
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
Article 2
1. Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. 2. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.
C’est déjà une bonne base de travail...d’autant plus que les pays européens ont adopté cette déclaration universelle depuis longtemps (1948), enfin adopter ne veut pas toujours dire appliquer, hélas, il y a encore beaucoup de travail à faire.
Article 13
1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat. 2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.
Article 14
1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays. 2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.
Bon, ok.
Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.
Article 19
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.
Hou,là,là ! Ce n’est pas un peu dangereux ça ?
Article 23
1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions
équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal
3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui
assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et
complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale…
Aïe!Aïe!Aïe ! Ça va être dur !
Trente articles dans lesquels tout est dit depuis plus de 70 ans, qu’attendons-nous ?!
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Ainsi va le monde -12 août 2019

Toutes ces péripéties pseudo-politiciennes, ces scandales à répétition, ces décisions abusives ou maladroites, ces débordements brutaux ont créé une telle confusion que je ne sais plus où nous en sommes.
Depuis les Etats-Unis en allant via l’Europe vers l’Asie, chacun défend âprement ses intérêts en faisant fi de toute solidarité. C’est parfois très choquant.
Cela a toujours existé, sauf qu’avant on y mettait les formes et finalement l’on pouvait aboutir à des accords, mais maintenant il s’agit surtout de désaccords...et la faute à qui ? A celui qui se conduit assez grossièrement en invitant les autres à en faire autant.
Vraiment on ne peut pas dire que l’exemple vienne d’en haut, c’est tout à fait regrettable.
Bon, on ne va pas se morfondre et écouter encore et encore ces diseurs de « tout va mal », ces personnages continuellement défaitistes ; refusons les dictats des uns et des autres et vivons agréablement.
D’ailleurs, c’est l’heure de l’apéro.
A plus tard.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Nouvelle année, nouvelles dispositions - 24 janvier 2019

Le temps passe vite, nous sommes en 2019.
Je croise toujours quelques personnes habillées de jaune, la couleur de l’espérance.
Mais que faut-il espérer en ce début d’année ?
Ça remue dans le panier de crabes et j’hésite à y glisser une main.
La solution serait-elle de renverser le tout et de laisser tout ce beau monde s’égayer?
Hum… après ma pêche serait perdue…
Comment séparer le bon grain de l’ivraie dans ces conditions ?
Fi de ces considérations, quand on va à la pêche on ne sait jamais ce que l’on va ramasser ; quant à la culture, nous avons des aléas climatiques ; bref ! Rien n’est sûr.
Bien, après ce regard sur le présent, projetons-nous vers le futur.
Que vois-je ? Des élections européennes au mois de mai 2019 ; hou, là, là, le contexte n’est pas terrible.
L’Europe doit devenir une grande puissance mondiale, elle en a tout le potentiel, il ne reste qu’à mettre le tout en œuvre.
Ce n’est évidemment pas en observant son nombril que ce grand projet va pouvoir devenir réalité ; relevons la tête.
Ce sont mes vœux pour la nouvelle année 2019
Bonne année à tous
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Manifestations de fin d'année - 11 décembre 2018

Les manifestations, samedi après samedi, de 8 heures à 20 heures 30, c’est assez curieux quand même, en tous les cas c’est innovant ; l’avantage c’est que ça donne aux interpellés (les politiques) le temps de réagir durant la semaine, entre deux manifestations.
Ce qui est moins bien ce sont les débordements durant lesquels des pilleurs interviennent et cassent les outils de travail.
Quant aux spectacles choquants, il y en a eu de multiples, parfois très, très, violents et destructeurs.
C’est ainsi dans toutes les manifestations populaires me direz-vous.
Toutefois, rappelons-nous qu’il est plus facile de détruire que de construire.
Des lycéens ont trouvé astucieux de mêler leur voix à celles des adultes en s’amusant à faire quelques feux de poubelles et de voitures.
Comment fallait-il contenir ces jeunes énergumènes sans trop les rudoyer ?
Oui, puisque les parents avaient jugé bon de les laisser faire ou de ne pas les encadrer, ou que les enfants n’avaient rien demandé à personne et surtout pas à papa et maman.
Dans le temps les profs faisaient mettre à genoux les élèves récalcitrants sur l’estrade ou dans un coin, ce n’était pas très malin et ça n’empêchait pas quelques rébellions, mais entre ça ou une paire de gifles…bref, heureusement ces temps sont révolus.
Bon, comment faire tenir tranquille tous ces ados excités ?
Bien malin celui qui trouve la solution ; la police ne pouvait quand même pas taper dans le tas !
Alors, tout le monde à genoux face à un mur, histoire de calmer les esprits.
Beaucoup ont été choqués en regardant les photos de ces moments ; oui ces images figées peuvent rappeler des pages cruelles de notre histoire ou celles de prisonnier dans certaines prisons tortionnaires.
Mais il ne faut pas confondre...et que fallait-il faire ?
Laisser ces enfants libres de tous débordements, pour finir en justice, voire en prison?
Il est certainement moins traumatisant d’être resté à genoux quelque temps en compagnie des copains.
Les scènes de violence entre adultes et celles de destructions des biens furent autrement intolérables, sans parler de la tentative de profanation de l’arc de triomphe de l’étoile, symbole du sacrifice extrême de nos aînés pour nous sauver ; y sont gravés les noms des grandes batailles de la révolution et de l’empire, les noms de ceux qui s’illustrèrent durant ces périodes et surtout, symbole suprême, l’arc abrite la flamme du soldat inconnu, flamme ranimée chaque soir en mémoire de tous ceux qui se sont sacrifiés pour défendre notre liberté et nos valeurs ; les casseurs l’ignorent-ils ?
Bon, là-dessus, quelques corrections ont été apportées à notre fiscalité, championne du monde du prélèvement, pour une fois que nous sommes durablement champions du monde, nous nous en passerions bien.
Après l’allocution du président de la République, il y a peu d’avancées réelles puisqu’il y a simplement, pour une part, l’application avancée de choses déjà prévues.
Peut-être que la modification la plus importante est d’impliquer les maires des communes de France (35 357) dans un nouveau système démocratique, c’est une sorte de réhabilitation.
Est-ce que cela suffira à calmer les esprits surchauffés par l’intransigeance de nos dirigeants ?
J’ai un doute et il va falloir attendre un peu, en tous les cas une trêve de Noël est souhaitable pour tous et notamment pour notre économie, la fameuse trêve des confiseurs.
En décembre 1874, d'un commun accord, tous les groupes de la Chambre jugèrent que l'époque du renouvellement de l'année était peu propice à des débats passionnés, à cette occasion la presse satirique imagine le mot de « trêve des confiseurs ».
Suivons l’exemple de nos aînés.
Joyeux Noël 2018 !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Rire jaune - 24 décembre 2018

Hé bien, voilà une fin d’année un peu particulière !
Elle est habillée de jaune.
C’est la couleur du soleil, la couleur la plus lumineuse qui transporte l’énergie nécessaire à l’éveil de la conscience ; ce n’est pas moi qui le dis, c’est la « science » de la chromothérapie.
Mais point trop n’en faut , car l’excès entraîne irritabilité et préjugés (toujours suivant la « science » de la chromothérapie). Quand le jaune devient pâle il est alors attaché au mal.
Bon, finalement on comprend tout.
Par ailleurs, notre Premier ministre a parlé du coût du travail, englobant en cela les salaires et donc les salariés ; or les seuls qui produisent et donc donnent de la valeur au travail, ce sont les salariés ; le coût c’est la rémunération du capital, l’amortissement de l’outil de production et les multiples taxes.
Il ne faut pas confondre et il faut faire attention à ne pas engendrer de l’irritabilité, il ne faut pas faire pâlir les gens de rage.
Celui qui travaille, c’est celui qui donne de la valeur, c’est lui le créatif ou le réalisateur.
En revanche, ceux qui ponctionnent ne créent rien du tout.
Il ne faut pas se tromper.
Pour la nouvelle année 2019, je souhaite que chacun trouve sa juste place et que la couleur la plus lumineuse nous éclaire , c’est bon pour le moral.
Joyeuses fêtes !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi

L'Anarchie - 27 novembre 2018

J’ai entendu, tout récemment, le mot « anarchie » ou « anarchiste » jeté, par certains de nos gouvernants, comme une injure sur les manifestations de mécontentement.
Cela prouve une méconnaissance de ce qu’est l’anarchie.
Cette philosophie a de très bons aspects, certains auxquels je n’adhère pas pour autant sont même louables.
L’anarchie c’est d’abord l’absence de pouvoir .
Que lit-on dans Wikipédia ?
« la situation d’une société où il n’existe pas de chef, pas d’autorité unique, autrement dit où chaque sujet ne peut prétendre à un pouvoir sur l’autre. Il peut exister une organisation, un pouvoir politique ou même plusieurs, mais pas de domination unique ayant un caractère coercitif. L’anarchie peut, étymologiquement, également être expliquée comme le refus de tout principe premier, de toute cause première, et comme revendication de la multiplicité face à l’unicité. »
« En 1840, Pierre-Joseph Proudhon est le premier à se réclamer  anarchiste c'est-à-dire, partisan de l’anarchie, terme compris en son sens positif : « La liberté est anarchie, parce qu'elle n'admet pas le gouvernement de la volonté, mais seulement l'autorité de la loi, c'est-à-dire de la nécessité ». En 1987, Jacques Ellul précise : « plus le pouvoir de l'État et de la bureaucratie augmente, plus l'affirmation de l'anarchie est nécessaire, seule et dernière défense de l'individu, c'est-à-dire de l'homme ».
Pour les anarchistes, l’anarchie est l'ordre social absolu, grâce notamment à la socialisation des moyens de production : contrairement à l'idée de possessions privées capitalisées, elle suggère celle de possessions individuelles ne garantissant aucun droit de propriété, notamment celle touchant l'accumulation de biens non utilisés. Cet ordre social s'appuie sur la liberté politique organisée autour du mandatement impératif, de l'autogestion, du fédéralisme libertaire et de la démocratie directe.
L'anarchie est donc organisée et structurée : c'est l'ordre moins le pouvoir. »
« En 1869, l'Encyclopédie générale rédigée sous la direction de Louis Asseline précise : « Pour les uns, c'est l'absence de gouvernement, d'autorité, de principe, de règle, et par conséquent c'est le désordre dans les esprits et dans les faits. Pour les autres, c'est l'élimination de l'autorité sous ses trois aspects politique, social et religieux, c'est la dissolution du gouvernement dans l'organisme naturel, c'est le contrat se substituant à la souveraineté, l'arbitrage au pouvoir judiciaire, c'est le travail non pas organisé par une force étrangère, mais s'organisant lui-même, c'est le culte disparaissant en tant que fonction sociale et devenant adéquat aux manifestations individuelles de la libre conscience, ce sont les citoyens contractant librement non pas avec le gouvernement, mais entre eux, c'est enfin la liberté, c'est l'ordre. »
Le poète Armand Robin (1912-1961) définit « l'anarchiste » comme celui qui est « purifié volontairement, par une révolution intérieure, de toute pensée et de tout comportement pouvant d'une façon quelconque impliquer domination sur d'autres consciences ». »
Donc, l’anarchie ce n’est pas le chaos, c’est la liberté dont naîtrait l’ordre, le pouvoir engendrant le désordre.

« C’est la situation harmonieuse résultant de l’abolition de l’État et de toutes les formes de l’exploitation de l’humain par l’humain, « c'est l'ordre sans le pouvoir », « la plus haute expression de l'ordre » (Élisée Reclus). Fondée sur l’égalité entre les individus, l’association libre, bien souvent la fédération et l’autogestion, voire pour certains le collectivisme, l’anarchie est donc organisée, structurée, sans admettre pour autant, aux yeux des anarchistes anticapitalistes, de principe de supériorité quelconque de l'organisation sur l'individu. »

La devise de notre République est : « Liberté, Egalité, Fraternité »
Quelle est la philosophie qui lui ressemble ?
Mais tout cela n’est sans doute qu’utopie…
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Quoi? Qu'est-ce qu'il a mon diesel? - 24 novembre 2018

D’abord, je donne une précision, dans la distillation du pétrole ou raffinage, le diesel représente environ 25 % de la masse du pétrole brut.
Alors, première question, qu’est-ce que l’on va faire de ce produit s’il est interdit ?
En réalité, il ne sera pas interdit, car tant que la propulsion à l’électricité ne sera pas devenue universelle on utilisera toujours le pétrole et l’on produira toujours du diesel.
D’autre part, il faut se souvenir que le moteur diesel est bien plus fiable que le moteur à essence, il est plus costaud et il consomme moins et s’il consomme moins...oui, c’est ça, il pollue moins.
Restent les fameuses particules cancérigènes émises par la combustion du diesel, c’est vrai.
Nous n’allons pas ici exposer tous les détails techniques et chimiques que j’ai pompés sur le NET, mais il s’avérerait que, sur les voitures modernes, entre essence et diesel, la pollution c’est du kif-kif, y compris pour les particules.
Toutes les histoires d’augmentation des taxes au nom de l’écologie c’est du mensonge.
En réalité, il s’agit simplement de renflouer les caisses de l’État.
En effet, je ne sais par quel tour de passe-passe, alors que des services nationaux (routes, bâtiments, péages des autoroutes, stationnements payants, chemins de fers, ports, aéroports, etc.) qui auraient dû restés nationalisés ont été privatisés avec un entretien défectueux, que les aides sociales sont diminuées, la dette de l’État ne cesse d’augmenter et nous sommes en constant déficit annuel depuis des années.
Qui pourrait imaginer qu’un particulier puisse ainsi vivre à crédit sans rembourser ses dettes ? Je gagne 1000€ par mois et j’en dépense 1250€ et ce durant des années, évidemment, c’est tout simplement impossible.
Eh bien, pour l’État c’est possible, ça ne pose aucun problème.
Bravo, les gestionnaires !
Bien!Mais alors où va l’argent ? C’est ma question !
Préalablement, je rappelle que les élus représentent une part de la nation et, à ce titre, le respect leur est dû.
Par ailleurs, je n’envie pas le travail des élus qui sont pour la plupart des gens dévoués à leurs concitoyens et qui ne comptent pas leurs heures.
De plus, nous savons que les salaires de nos élus ne représentent qu’une goutte d’eau dans le budget de la nation, de même que la vaisselle de l’Élysée...enfin, ça me suffirait quand même pour vivre très aisément plusieurs années, mais ça c’est de la jalousie, j’en conviens.
Certains considèrent que s’agissant de nos salariés (les élus), payés avec nos impôts et taxes, c’est normal qu’ils travaillent sans compter, surtout qu’ils gagnent beaucoup plus que leurs patrons.
Je plaisante, je plaisante, bon, OK, mais où va l’argent ? Dans la reconversion au « tout électrique » ?
Non.
Peut-être va-t-il dans ce fameux trou budgétaire cauchemardesque qui sans cesse s’approfondit.
Je crains que le capitalisme à tout va ait aussi sa part de responsabilité en éloignant le travail de notre patrie, le chômage coûte cher.
Holà ! En tombant dans cette dette abyssale, je m’aperçois que je m’éloigne de mon sujet : le diesel.
Oui, parlons-en...ou pas, car si les moteurs thermiques doivent disparaître, parlons de l’avenir et du travail à conserver sur notre territoire.
Quid du pétrole quand même, et du devenir des producteurs et de leurs employés ?
Comme disait quelqu’un de ma connaissance quand ça l’ennuyait d’expliquer : « oui, mais c’est complexe ».
Bien sûr, mais l’on ne demande qu’à comprendre.
Nicolas Boileau écrivait en 1674 : «  ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément ».
Il va sans dire que si l’on ne veut pas s’exprimer et tout cacher, c’est différent.
Est-ce le cas, êtes-vous gênés par la vérité ?
Non, alors, j’attends.
L’espoir fait vivre.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Ce n'est pas clair - 14 novembre 2018

Figurez-vous que comme beaucoup d’entre nous j’ai fait confiance aux élus qui vantaient tous les bienfaits du moteur diesel et que donc ma voiture fonctionne au gasoil.
Maintenant, ces braves gens me disent qu’il n’y a pas plus polluant que ce carburant (ce qui reste à prouver !) et qu’il faut passer à court terme à l’essence (pratiquement aussi polluante) et même à l’électricité.
Le problème c’est que je ne suis pas Crésus et que je ne change pas de voiture comme de chemise, de plus pour faire des économies j’achète d’occasion, alors, comment faire.
L’État a trouvé une solution en augmentant considérablement les taxes des carburants dont, bien sûr, en premier, le gasoil ; en quoi cela empêche-t-il la pollution ? Mystère ! Ce qui est certain c’est que ça vide mon porte-monnaie et remplit les caisses de l’État.
D’abord, il faudrait savoir si la voiture électrique dont les composants puisent dans les ressources fossiles de notre terre n’est pas aussi polluante que mon diesel .
Pour ma part, j’ai toujours été partisan de la production à l’hydrogène, donc, effectivement, une voiture électrique, mais qui produit elle-même son électricité à partir de l’hydrogène.
Et le pétrole bleu ? Il repose sur une fabrication de carburant à partir de micro-algues, c’est donc du pétrole énergie renouvelable, pourquoi pas ?
Et l’huile végétale ? Pourquoi pas ?
Ça permettrait de conserver nos vieux moteurs initialement conçus pour le diesel et d’attendre tranquillement que les réseaux en hydrogène ou autres systèmes électriques soient mis en place, car, c’est bien beau de fustiger nos mécaniques et de taxer à tout va, mais s’il n’y a aucune proposition immédiate en remplacement c’est une arnaque de plus.
À propos d’arnaque, je trouve que tous ces bouleversements, augmentations en pagaille (taxes diverses, CSG, etc.) et diminutions à droite et à gauche, ne permettent pas d’y voir clair sur une très hypothétique augmentation du pouvoir d’achat déclarée par notre président.
Ça sent plutôt l’esbroufe (esbroufe : action d’étaler des manières fanfaronnes, de manifester un air important, pour en imposer ; vol à l’esbroufe : pratiqué alors que la victime est bousculée par le voleur lui-même ou par ses compères ).
Enfin, tout ça pour dire que, finalement, le français en a marre de faire office de vache à lait (vache à lait : personne source de profits) pour approvisionner de mauvais gestionnaires qui nous pillent, plutôt que de se réformer.
Dernier exemple, l’idée de mettre une carte grise sur les vélos...et pourquoi pas sur nos godasses !
Il est aussi question d’interdire purement et simplement la circulation des véhicules anciens, c’est complètement ridicule et inique, ces voitures sont peu nombreuses, leur impact est insignifiant au niveau de la pollution et elles passent néanmoins le contrôle technique ; leurs propriétaires qui les maintiennent en état préféreraient certainement en changer s’ils en avaient les moyens financiers.
Et quelle alternative est proposée ? Une prime au changement, autrement dit : rien !
Quand même, imaginer que nous, le commun des Français, pourrions tout à coup disposer de 20 ou 30000 euros et qu’une prime de 1000€ y suffirait, c’est un complètement aberrant.
Pendant ce temps-là les cargos continuent de cracher une vraie pollution mille fois plus nocive que celles des voitures.
Que transportent tous ces cargos ? Des produits fabriqués à bas coût, à l’autre bout du monde, dans des conditions que nous n’accepterions pas chez nous ; alors, au nom de l’écologie, pourquoi ne pas rapatrier le travail chez nous ?
Où est la logique dans tout cela ?
Qu’est-ce qui irrite le plus les Français ?
C’est d’être vampirisé, ils en ont ras le bol de toutes ces embrouilles.
Je prends dans une poche, je redonne quelles miettes en disant « finalement vous y gagnez », c’est vraiment prendre les gens pour des idiots.
Et le fait de rouler à 80km/h ne nous calme pas, et contrairement à ce que nos gouvernants avaient cyniquement pensé ça n’engendre pas d’économie de carburant venant compenser les hausses des taxes...pas de pot !
Et que faire de nos chaudières fonctionnant au fioul ?
Les discours arrogants des uns et des autres sont exaspérants.
Une voix : « Oui, mais regardez autour de vous, vous vivez dans la paix, vous avez un niveau de vie de qualité, vous n’avez pas à vous plaindre »
C’est vrai, mais toutes ces carambouilles restent inacceptables.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Enervement - 23 octobre 2018

Encore un pétage de plombs !
Autrement dit, une disjonction.
Une mauvaise connexion et le cerveau part en vrille, donnant des ordres insensés à son propriétaire.
A moins que tout cela ne soit calculé, une grande part de tragi-comique avec beaucoup de violence pour perturber la scène et pousser les acteurs à la faute rendant nulle l’action pour défaut de procédure…
Une perquisition doit être extrêmement désagréable à subir, j’en conviens ; c’est une profanation de votre propriété, toutefois on peut imaginer qu’elle n’est pas faite sans raison et, si c’est le cas, le mieux est encore de laisser passer la tempête, mais certainement pas de provoquer la bagarre avec les forces de l’ordre ; c’est du grand n’importe quoi, surtout de la part d’une personne prétendant à la plus haute fonction de notre république.
Quel exemple !
Bon, après : les histoires sur un complot, sur des journalistes vendus, sur la justice aux ordres du pouvoir, je suis septique.
Enfin, ce qu’il y a de bien c’est que c’est distrayant, ça nous change des hausses des taxes diverses qui diminuent tous les jours notre pouvoir d’achat...pour la bonne cause, bien sûr !
Bref , les élus qui font les lois sont théoriquement les mieux placés pour les respecter puisque, les créant, ils les comprennent (en principe, ah ! ah !), ce qui n’est pas toujours le cas pour nous, simples quidams.
Pourtant, nous constatons que nos élus ne sont pas plus exemplaires que nous, mieux payés (avec les impôts de qui, déjà?), mais, non, pas plus exemplaires, car, oui, le pouvoir perturbe parfois le comportement des individus, déstructurant leur raisonnement et troublant leur vue, les portant à l’indulgence envers eux-mêmes, mais pas souvent envers leurs électeurs.
Mes amis, tout cela n’est guère réjouissant, malgré tout, il vaut mieux en rire en prenant la vie du bon côté et en roulant peinardement à 80 km/h sur nos belles routes de France, dans nos belles voitures autrefois divinisées et maintenant accusées de tous les maux de la terre. Allez comprendre.
Toutefois, au volant, faites attention à tous ces gens qui traversent, en tous sens, pour chercher du travail.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi

D'où viens-je - 24 septembre 2018

Un gars invité dans une émission de télé, l’autre jour, a vivement reproché son prénom à une chroniqueuse.
C’était tout à fait surprenant.
En réalité, il a plutôt adressé ce reproche aux parents, ce qui est tout aussi idiot, car le prénom est plutôt joli et, de plus, très bien porté.
Mais je pense que le misérable invité voulait stigmatiser l’origine de la personne nettement plus bronzée que lui ; en quoi cela pouvait-il le gêner  ? Je me le demande.
Peut-être ce type souffre-t-il d’un complexe quelconque...allez savoir.
Parce que des origines des uns et des autres, nous pourrions en parler longtemps et qui pouvons-nous ?
Rien.
Il n’y a pas plus crétin comme sujet de discussion.
On est comme on naît.
Nulle gloire ou humiliation à en éprouver, seul compte ce que fait l’individu.
Et ça n’empêche pas d’aimer nos particularités, nos vins et nos fromages.
L’unicité engendre l’ennui.
Vive la diversité !
Vive la France et les pommes de terre frites !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Perte de vitesse - 24 août 2018

La France est-elle en perte de vitesse ?
Bon, déjà sur la route, je veux dire sur les routes ordinaires, c’est 80 km/h et comme on s’endort un peu ça tombe souvent à 75 puis 70, etc. Pourtant la voiture, elle, ne demande qu’à aller plus vite, car, en effet, elle a été conçue pour ça.
Oui, mais les technocrates ont décidé que ce serait comme ça, sans se rendre compte qu’outre le fait que ça va leur coûter des voix, ça endort les Français ; ils deviennent pépères, ils avancent « tranquilos », la dynamique est brisée.
Il faut dire que question revenus financiers ça n’augmente pas, contrairement aux taxes et autres carburants et ponctions diverses sur la paye.
Ce n‘est pas bon, ce n’est pas bon, je vous le dis.
Pendant ce temps-là, le premier de la classe, le raisonneur méprisant, donneur de conseils, continue ses expériences.
Tiens ! Pourquoi ne pas supprimer tout le système social laborieusement mis en place depuis 1945, pour le remplacer par un système par points, individuel, un système qui ne serait plus d’État, mais privé, un peu comme les mutuelles ; ça ferait des économies pour l’État !
Tout cela est très astucieux puisque ça consiste à prendre un peu plus au contribuable avec les taxes et prélèvements divers et à lui redistribuer beaucoup moins puisque le système de solidarité serait sévèrement rogné.
Une ouverture vers la misère, car les gens qui ont à peine de quoi se nourrir, ne vont pas cotiser à je ne sais quelle assurance sociale ou retraite.
Certains diront : Monsieur, c’est de la caricature.
Je veux bien, mais, quand même, on ne peut pas dire que toutes les décisions prises en haut lieu satisfassent le peuple.
Alors, je dis : attention ! Ne chargez pas trop la barque !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi

Abus de pouvoir - 24 juillet 2018

Bien évidemment quand on a du pouvoir, on peut, sans s’en rendre compte, en abuser ; petit à petit, on prend des libertés qui bénignes au début s’amplifient.
C’est comme ça, c’est humain.
Bien évidemment, quand on est exposé, que l’on agit pratiquement en public, nous pourrions supposer que l’on fasse gaffe, ben non !
Ha, là, là ! Ce n’est pas simple ! Et si l’un de vos collègues abuse de ses prérogatives, faut-il le dénoncer ?
Et si un copain, par ses abus , vous met en porte-à-faux, faut-il vous en éloigner.
Sommes-nous responsables de bêtises de nos proches ? 
Si des forces de l’ordre viennent en force me déranger pendant que je sirote tranquillement une bière à la terrasse d’un café et que, excédé, je leur balance une carafe d’eau à la figure, cela mérite-t-il d’être tabassé ? Heu… ?
Imaginons qu’un collaborateur d’un haut personnage puisse sans vergogne, couvert par la gloire de son patron, prendre des libertés contraires à la loi, ledit patron en devient-il complice ?
Bien évidemment, si j’étais concerné, je crierais à la trahison contre ce subalterne abusif.
Ben, dans la réalité, ce n’est pas comme ça que ça se passe, c’est plus subtil !
Ha ?
Un gars fait une bêtise, on le sanctionne et l’affaire est close, c’est pourtant simple ; sauf que là, il n’est pas puni, ou si peu...Pourquoi ?
Ha ?
Est-il dangereux ? Connaît-il des secrets ? Existe-t-il un complot ?
Mystère, mystère !
L’avantage de ce genre d’affaires, c’est que ça révèle toute une bande de tartuffes, redresseurs de torts, tous plus vertueux les uns que les autres...sauf que certains sont poursuivis pour actes délictueux.
Bref, un vrai panier de crabes, comme dans les temps les plus anciens.
Il n’y a rien de changé sous le soleil, le spectacle est toujours aussi réjouissant.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Que dire ? Que dire ? - 27 juin 2018

Évidemment nos élus ne le sont pas pour plaire, mais pour réaliser ce pour quoi ils le furent, c’est-à-dire pour leurs promesses.
Et les promesses sont faites pour ceux qui y croient.
Après, les citoyens subissent les diktats des gouvernants.
En effet, parfois, conseillés par divers lobby et entraînés par leur enthousiasme , nos chers ministres prennent des décisions absconses. (note : l’adjectif abscons ne s’écrit pas absconnes au féminin, dommage)
Ainsi, il a été révélé que la vitesse de circulation des automobiles est mortifère et que moins on va vite, moins il y a de morts.
C’est une évidence qui a fait réfléchir notre Premier ministre.
Logiquement cette découverte aurait dû favoriser la rénovation des transports en commun dont peut-être la réhabilitation des voies ferrées fermées depuis plusieurs décennies.
Mais non.
Pour commencer, la vitesse sur les routes secondaires va être réduite de 90 à 80 km/h.
Vous me direz que pour ceux qui ne respectent pas les limitations de vitesse, ça ne change pas grand-chose, or c’est ceux-là qui sont susceptibles de créer des accidents, et non ceux qui sont prudents et respectueux des autres usagers.
Donc, pour ceux qui respectent le Code de la route, sur 90 km parcourus dans la campagne française, à 80km/h ils vont mettre 7 minutes 1/2 de plus qu’à 90 km/h, bon, ce n’est pas bien grave il suffit de le prévoir avant de partir et de ne pas s’endormir en route.
Certains disent que cette mesure est faite pour permettre à nos policiers de mettre plus de contraventions... mmmh… ? Je ne sais pas ; à mon avis le gouvernement s’est pris les pieds dans le tapis et n’a pas su se rétablir ; tant pis pour lui, il crée ainsi 74 % de mécontents ; ce n’était vraiment pas nécessaire.
Les avis sur ce genre de décisions divergent suivant les pays et les analyses montrent que l’on peut tout dire et son contraire.
En tous les cas, une chose est sûre, en se déplaçant à pied, il y a moins de risques.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Juste un mot - 24 mai 2018

Parfois, on se pose des questions...
Quand je vois tous ces fauteurs de guerre qui dirigent de nombreux pays, oui, je me pose une question : comment est-ce possible ?
Et quand je vois tout un peuple suivre l'un de ces dirigeants dans ses délires les plus meurtriers, oui, je me pose une question : comment est-ce possible ?
Pour quelles motivations ? Stratégie ? Défense ? Richesses ? Ou simplement, le plaisir de la domination ?
Quelqu'un vous dit : « va tuer ton voisin, c'est pour notre bien commun » et , hop ! Vous y allez. Incroyable, non ? Et pourtant, c'est un peu ça.
Vous me direz : « Ben mon gars, t'as pas fini de te poser des questions, car c'est ainsi que depuis le monde est monde . C'est violence et compagnie depuis le big bang.»
-Bon, ok, mais pourquoi ?
-C'est comme ça, c'est comme ça, il faut défendre son bout de gras. Te poses pas tant de questions.
-Oui, mais...
-Hoooo, ça va, tu n' vois pas que tu déranges ?
-Oui, bien sûr, mais si nous étions plus gentils...
-Tu sais qu't'es un marrant toi ?
-Et si nous perdions tous la mémoire...Il n’y aurait plus de violence...
-Pfffff !
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Quoi de neuf - 1 mai 2018

1er mai 2018, fête du Travail.
Journée internationale des travailleurs. Journée de revendications des employés contre les employeurs. Bref, journée de manifestation des salariés.
Pour dire quoi ? Ça, ça reste un peu mystérieux.
Bon, enfin, il faut bien s'exprimer, sinon nous ne sommes pas compris, fatalement.
En France, c'est un peu spécial, car nous ne supportons pas les dictats, or, actuellement, il y en a quelques-uns qui sont imposés.
Curieusement, les syndicats représentant le peuple laborieux manifestent de façon indépendante, la solidarité n'est pas de mise, alors que chacun sait que l'union fait la force. Il n'est pas étonnant que les revendications aient du mal à aboutir.
Mais c'est ainsi, c'est la France...et, en même temps, les grèves à répétition nous lassent un peu et finissent par tuer la poule aux œufs d'or.
Rien de neuf, c'est la France aux charmes infinis, on l'aime.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

La laïcité...c'est clair - 24 janvier 2018

Avez-vous lu le livre de Marlène Schiappa « Laïcité , point » ? Je vous le conseille, il est très intéressant.
Ce qui est très intéressant aussi, c’est la loi du 9 décembre 1905 dont il découle que :
« La république assure la liberté de conscience. La république ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. »
C’est clair !
Et croyez-vous qu’un ministre d’un culte quelconque puisse dire n’importe quoi ? Pas du tout :
« Si un discours prononcé ou un écrit affiché ou distribué publiquement dans les lieux où s'exerce le culte, contient une provocation directe à résister à l'exécution des lois ou aux actes légaux de l'autorité publique, ou s'il tend à soulever ou à armer une partie des citoyens contre les autres, le ministre du culte qui s'en sera rendu coupable sera puni d'un emprisonnement de trois mois à deux ans, sans préjudice des peines de la complicité, dans le cas où la provocation aurait été suivie d'une sédition, révolte ou guerre civile. »
Et :
« Dans le cas de condamnation par les tribunaux de police ou de police correctionnelle en application des articles 25 et 26, 34 et 35, l'association constituée pour l'exercice du culte dans l'immeuble où l'infraction a été commise sera civilement responsable. »
C’est clair ?
En bref, les lois de la république prévalent sur tout ; l’individu est reconnu en tant que lui-même, laïc, uniquement, il est libre et aucune religion ne peut le contraindre, car aucune n’est reconnue par la République et de ce fait le blasphème n’existe pas et toutes les critiques ou caricatures peuvent être faites sur telle ou telle institution, sans craintes.
Tous les actes effectués au nom d’une religion pourront être condamnés s’ils sont contraires aux lois de la république, mais chacun reste libre d’appliquer les préceptes d’une religion, toutefois il ne peut contraindre une autre personne à s’y soumettre, car chaque individu est libre, unique, et protégé par les lois de la République.
C’est clair !
Bon, voilà pour commencer cette année 2018 c’est bien de rappeler les bases fondamentales de notre République : « Liberté, Egalité, Fraternité »
En conséquence, il ne faut pas oublier comment nous le peuple Français, multi-ethnique, nous en sommes arrivés à cette liberté pour la conservation de laquelle nous devons toujours rester d’une extrême vigilance.
En effet, le présent n’est que le résultat de nos passés cumulés et rassemblés, fussent-ils ignorés de nous-mêmes. Il ne nous viendrait pas à l’esprit de nier le présent, à moins de nier l’évidence, alors ne récusons point notre passé, car c’est lui qui nous a construit, c’est le ciment du peuple Français.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Au bal masqué - 29 décembre 2017

Noël est passé, vive Noël !
Saint Nicolas l’a précédé, vive saint Nicolas !
Des présents ont été échangés, gages de nos attachements.
Nos traditions dont les racines plongent dans la préhistoire nous invitent à fêter la fin d’un cycle et son renouveau, c’est une période d’oubli des fautes et de réconciliation, ça permet d’entamer la nouvelle période l’esprit serein et l’âme, principe vital et spirituel, nettoyée de toute tâche.
C’est génial !
Tout le monde s’embrasse et nous trinquons à la santé des uns et des autres et pour n’oublier personne, on peut remettre une tournée, c’est toléré.
Le premier jour de l’année, compte tenu de ce qui précède, nous avons le droit de faire la grasse matinée pour nous remettre les idées en place, avant d’aller ramasser serpentins, confettis, sans-gêne et autres cotillons.
Dans ces moments d’ivresse, nous avons émis des vœux les plus fous et pris des résolutions pouvant sembler, parfois, au repos, un peu extravagantes, mais c’est le début de l’année nouvelle et au bal masqué, ohé, ohé, tout est permis.
Bonne année 2018 !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi

orthographe et construction - 1 decembre 2017

Je ne sais plus ni où, ni quand, j’ai développé la théorie du neutre à appliquer en orthographe ; ainsi plus de problème de masculin prédominant sur le féminin et fin de la dispute sans fin sur ce sujet.
La théorie est la suivante : le masculin n’existe plus, il s’appelle neutre
Dorénavant, seul se distingue le féminin (félicitations, mesdames)
Lorsque plusieurs genres sont mélangés les règles d’accord se font par rapport au neutre, si le féminin est seul l’accord se fait au féminin.
Et voilà !
Quant aux polémiques sur les calvaires qui parsèment nos voies publiques, je vois mal les détruire tous, sous prétexte de laïcité dont je suis le premier défendeur.
Douze pour cent de nos communes ont un nom débutant par Saint ou Sainte, soit 35287 x 12%= 4234 agglomérations concernées, va-t-on les débaptiser sous prétexte de laïcité ?
Par ailleurs, ce terme de « baptiser » n’a-t-il pas une connotation chrétienne ? Faut-il le bannir de notre langage ?
La réponse à ces questions est évidente et unique : non !
Pourquoi ? Parce que c’est le reflet de l’histoire de la France, une partie de nos racines, de nos fondations. De fait, ça s’impose à nous, tout comme les menhirs et autres mystères du passé.
Tous ceux qui optent pour la nationalité française deviennent dépositaires de son histoire, mais il n’est demandé à personne de renier ses convictions, ses origines, ses pratiques, non ostentatoires, tant qu’elles respectent, en bonne cohabitation, les autres coutumes.
Chaque pierre sert à construire notre édifice.
Ainsi soit-il
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Déferlement - 24 novembre 2017

Incroyables ! Tous ces gens connus ou méconnus qui se révèlent victimes d’abus ou de harcèlements sexuels de la part de personnages connus, prédateurs cachés.
Certaines histoires sont difficiles à croire et pourtant…
Il est vrai que de tout temps les gens ayant du pouvoir, peu ou prou, ont eu tendance à en abuser, car jouissant, en raison de leur position, d’une apparente impunité ; il suffit de constater ce qui se passait dans les industries du 19e et 20e siècle pour comprendre que les petits chefs (et les grands chefs) n’étaient pas toujours des petits saints.
Bon ! Cette libéralisation de la parole est évidemment une bonne chose !
Toutefois, attention de ne pas accuser à tort et à travers, car, quand j’entends, au milieu des plaintes pour viol, des gens se plaignant d’avoir eu une fesse frôlée, peut-être par inadvertance (qui c’est celui-là), il y a vingt ans ou plus, ça me laisse songeur.
Dans tous les cas, c’est à la justice de trancher et non pas à la rumeur populaire toujours prompte à condamner.
Quant au débat sur l’âge minimum d’un enfant pour admettre qu’il a consenti, librement, à s’adonner à des jeux sexuels avec un adulte : quelle aberration !
Comment peut-on décréter qu’une gamine de 13 ans , pire 11 ans, serait susceptible de décider, sans influence, de se livrer à des ébats sexuels avec un adulte et, surtout, comment un adulte peut-il sainement imaginer une telle relation avec une enfant ou une adolescente ?
C’est fou, non ? Qu’ont donc dans la tête nos décideurs politiques ?
N’est-ce pas une incitation à la débauche ? Un encouragement à la libération des instincts pervers, alors même que tombent toutes ces révélations sur des actes commis par des gens aimant toucher, mais se croyant intouchables ?
Il est objecté que l’âge de la majorité sexuelle ne remet pas en cause les lois spécifiques à la protection de l’enfance et de la lutte sur l’abus sexuel sur mineur...encore heureux !
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Jeux dangereux - 24 octobre 2017

Quelle agitation, quelle agitation !
Enfonçons les portes ouvertes :
Entre :
-les cinglés qui croient qu’un dieu leur parle et les persuade de trucider père, mère et enfants pour sa gloire
-les fous qui parlent de faire la guerre comme de partir en pique-nique
-les gars qui harcèlent les filles qu’ils croisent
-les indépendantistes qui veulent se séparer de leurs frères sous des prétextes complètement dépassés
-les racistes de tous bords
Où allons-nous, où allons-nous, je m’interroge... et que me réponds je ?
Réponds je : éponge ? (Quel bon jeu de mots!)
Oui, certes, aspirer tous ces problèmes dans une éponge magique serait bien commode, mais, hélas, ce n’est pas possible, car pas plus que les espaces paradisiaques, ces éponges magiques n’existent pas, pas de chance !
Le plus grave c’est quand même toutes les atteintes à l’humain ; que ce soit de la guerre ou du harcèlement, on en meurt, peu ou prou.
L’asservissement de l’homme par l’homme, dominant contre dominé. Ainsi va le monde.
Ce qui m’attriste, aussi, ce sont nos présidents neufs et anciens qui manquent tous de réserve, semblant méconnaître les difficultés vécues par leurs concitoyens.
Chacun dans son monde, chacun dans sa bulle.
On se demande parfois si l’on ne devrait pas tout bazarder une nouvelle fois, sachant évidemment que ce n’est pas la solution.
Bon ! Prenons les problèmes un par un :
D’abord, ce monsieur Trump, président américain qui est conciliant avec son extrême droite raciste et qui menace de mettre le feu à la terre, et de surcroît, obsédé sexuel, que faut-il en faire ? Je pose la question que faire d’un gars qui roule carrément sur la jante ?
Faut-il l’envoyer en Corée du Nord pour affronter en duel le belliqueux Kim-Jong-Un, mais que gagnerait le vainqueur?
Et qu’en penseraient nos amis chinois à qui nous avons donné tant de riz quand ils étaient petits : «  mange ta soupe, laisses ton dessert pour les petits Chinois qui n’en ont pas » et maintenant , quel résultat ? Maintenant, qui mange la soupe de l’autre ?
Cela donne-t-il à réfléchir sur les secours à porter à tel ou tel, hum… ?
Pour terminer ces propos décousus, je dirais qu’il n’est pas bon de conserver pour soi les saloperies des autres, il vaut mieux les dénoncer immédiatement et faire honte aux pervers et pour ça, rien de tel que notre esprit contestataire, bien gaulois.
Bien évidemment ça ne règle rien, mais ça soulage.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Solidarité - 24 septembre 2017

Le royaume uni qui ne l’est plus tant que cela a décidé de sortir de l’Europe afin de pouvoir décider tout seul ce qui est bon pour lui, même si ça ne l’est pas pour ses voisins.
Mal lui en prit, car les dirigeants du royaume uni s’aperçoivent, un peu tard, que finalement l’Europe apportait plus qu’elle ne coûtait.
Hé oui, ces braves insulaires avaient oublié que l’histoire de leur pays est mélangée à l’histoire de l’Europe, c’est la même histoire, alors dire, non, je n’en fais plus partie, c’est stupide.
Évidemment ça ne peut pas marcher. C’est comme si , une personne plus ou moins bien intégrée dans une société, décidait tout à coup d’en sortir pour définir toute seule ce qui lui convient et l’imposer ensuite aux autres individus de la société qui respectent des règles, fragiles, pour vivre, au mieux, ensemble.
Donc, il y a des négociations prévues pour organiser la sortie du vilain petit canard pour lequel nous avons tous beaucoup d’affection ; il est envisagé de prévoir une période transitoire durant laquelle, sous certaines conditions, le royaume uni continuerait à avoir accès au marché européen et si tout va bien cette période transitoire pourrait être prorogée indéfiniment ; un pied dedans est un pied dehors, curieuse conception d’une sortie.
Bon, si pendant ce temps-là les partenaires restants pouvaient enfin définir une politique commune tirant vers le haut que plutôt vers le bas , ce serait bien.
La nature ne se préoccupe pas de toutes ces considérations et a vite fait de nous ramener à l’essentiel ; tremblements de terre, éruptions volcaniques et ouragans n’ont que faire de toutes nos magouilles, après leurs passages, seule compte la solidarité.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Questions existentielles - 27 juin 2017

Parfois, je me pose des questions existentielles, sur le bien et le mal et l’intérêt de toutes ces réflexions.
Y a-t-il un avant et un après la vie et, si oui, est-ce vrai aussi pour les animaux et aussi pour les plantes.
Notre planète terre a-t-elle une fonction dans notre galaxie et combien existe-t-il de galaxies dans l’univers dont l’expansion continuelle dans un vide insondable est bien inimaginable .
Et les petits hommes verts dans tout ça ? D’où viennent-ils ?
Bon, finalement, nous sommes bien peu de choses et notre existence est particulièrement éphémère par rapport à la date de la création du monde, une minuscule poussière de temps.
Tiens, encore un truc, la création : avant, il n’y avait rien, ce qui est déjà difficile à concevoir et tout à coup, sans rime ni raison, paf ! Le Big-Bang surgit du néant et, pourtant, dans le néant, il n’est supposé ne rien y avoir, alors… ? Et ce néant jusqu’où va-t-il ? Hé bien, nulle part puisque le néant c’est : Rien.
Rien, c’est vite dit, parce que, quand même, le vide intergalactique, ce n’est pas rien.
Bien ! Les mythologies, diverses et variées, tentent de nous rassurer avec des explications toutes plus folles les unes que les autres ; les grands prêtres des religions nous appâtent pour mieux nous assujettir, chaque religion décrétant qu’elle est la seule vraie et que son Dieu est le vrai Dieu, les autres étant évidemment de pâles imitations.
Où est la vérité ?
Quelquefois, je me dis que les galaxies ne sont que les cellules d’un grand corps d’une sorte de géant et, nous, nous sommes dedans, un peu comme les cellules de notre propre corps. Je sais, c’est idiot, mais pas plus que les religions qui très sérieusement expliquent l’inexplicable. Et dans ce grand corps sommes-nous des anticorps ou des agents pathogènes ? Et lorsque je fais un pet, cette flatulence remonte-t-elle à la bouche du grand corps en un rot discret, néanmoins nauséabond ? Et nos guerres ne sont-elles que des maux de ventre ?
Cela dit, je sais que tout est relatif, plus je vais vite, plus la notion d’espace diminue, ainsi si je vais à la vitesse maximum, celle de la lumière, environ 300 000 km/seconde, j’enfonce le record de Jules Verne, le tour de la terre en 80 jours, car en une seconde je ferai 7 tours et demi de la terre et en un peu plus d’une seconde je peux aller sur la lune, là je parle de l’astre, hein, il ne faut pas confondre, restons sérieux.
Bref, tout cela est certainement très passionnant, mais si au lieu de regarder tout le temps les étoiles qui brillent dans le ciel, nous regardions où nous mettons les pieds, nous marcherions peut-être moins dans la merde et tous les grands sages qui à l’échelon intergalactique sont de jeunes demeurés vous le diront, restons terre à terre , soyons pragmatiques.
Mais avant tout, restons Français et faisons comme notre emblème national qui, bien qu’ayant les pieds dans le fumier, chante sa joie de vivre en montrant son beau plumage à ses compagnes admirativement indulgentes ; ça, au moins, c’est du concret positif.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Joie et tristesse - 24 mai 2017

Bon, ben, c’est fait ! Nous avons échappé au pire et nous avons maintenant, à la tête de notre pays, une équipe dirigeante rajeunie, porteuse d’espoir.
En effet, les projets d’avenir sont surtout le fait des jeunes, les anciens, eux, sont plutôt gardiens des traditions et se projettent moins vers le futur et pour cause.
Donc, nous avons une équipe dynamique qui veut aller de l’avant, à condition évidemment que le peuple lui donne une majorité pour gouverner...à défaut, ça pourrait bien être la pagaille.
Quant aux perdants de la présidentielle, pour eux c’est la débâcle et le temps des regrets : je n’aurais pas dû faire ci, mais faire ça et patati et patata, j’aurai dû ratisser différemment pour ramasser plus de voix, etc., etc. ça laisse entrevoir le peu de sincérité des convictions des uns et des autres.
Bien ! Et maintenant, nous voyons les ralliements au vainqueur se multiplier, c’est normal, car la raison du plus fort est toujours la meilleure, mais la vertu vaut mieux que force et, où entre la force, le droit s’efface.

Toutefois, la folie du monde, toujours à l’œuvre, s’impose à nous, comme le montre l’horrible attentat du 22 mai 2017 qui a cruellement frappé la population de Manchester.
Et ailleurs, cette même démence, tous les jours, entretient la guerre, la famine, la souffrance.
Nous sommes tous concernés, c’est pourquoi, au-delà de notre petite sphère, soyons ouverts sur l’univers.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi.

Elections 1er tour - 22 avril 2017

L'Europe, l'Europe, l'Europe...
Pauvre Europe qui portent tous nos maux, elle est même traitée par certains de dictature.
Ceux qui savent ce qu'est une dictature ne diront évidemment pas ce genre de choses .
L'Europe n'est pas parfaite, c'est sûr, mais il nous appartient à nous les Européens d'en améliorer le fonctionnement et non de détruire ce qui est quand même une source de paix dans nos frontières européennes.
En effet, combien de guerres entre pays européens avant la construction de l'Union européenne et combien après ?
Rien que pour cela, il faut sauver l'Union européenne, elle apporte plus de compréhension entre les peuples et l'Union fait la force.
Ce n'est certainement pas en se repliant sur soi et en rejetant nos voisins à la mer que nos vies vont s'améliorer.
Donc, je ne voterai pas pour une ou un prétendant à la présidence de notre république qui propose de sortir de l'Union européenne.
Je ne voterai pas non plus pour des gens corrompus.
Et encore, pas non plus pour des gens qui se vente de principes religieux, on sait où cela peut mener.
Quant à ceux qui disent "faites ce que je dis et pas ce que je fais", je les rejette.
De même, tous ceux qui n'ont que le mot sacrifice à la bouche, je les bannis.
Les prétendants, victimes de complots, je les élimine de la liste des futurs présidents possibles.
Et ceux qui s'inclinent devant des forces obscures, je les balaye.
Bien, voilà déjà un premier tri, après il va falloir réfléchir...qui reste-t-il ?
Je suis pour ceux qui ont encore le rêve d'une vie harmonieuse pleine d'aventures positives.
Heu, pas grand monde. Zut  alors !
Néanmoins, restons résolument optimistes
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Mensonges - 24 mars 2017

Existe-t-il une école du mensonge ? Ou une école de la mauvaise foi ?
Je pense que non, ça ne doit pas exister.
Et pourtant, lorsque l'on souhaite obtenir tel ou tel objet ou telle ou telle fonction et, ce , d'une façon obsessionnelle, il arrive un moment où, à nos yeux, tous les moyens deviennent bons.
Et, contrairement à ce que l'on pourrait croire, tout le monde est capable de ce tour de passe-passe, il suffit de se mettre en situation imaginative et de jouer le personnage qui agit.
Regardez un enfant qui joue, il ne fait pas autre chose.
Les adultes, c'est pareil, c'est la même démarche.
Le mensonge est en nous, brrr...
Bon, parfois ce n'est pas facile de garder son sérieux, tellement c'est jouissif de tromper notre interlocuteur avec nos petites histoires.
D'ailleurs, j'ai observé que certains candidats à la présidence de notre république avaient parfois, aux coins des lèvres, un petit sourire malin qui ne trompe pas. Méfions-nous.
Vous me direz que pour quelques-uns il n'y a plus à se méfier, car on sait ; mais, crânement, ça ne les empêche pas de continuer à faire comme si de rien n'était.
Ça me scie !
Revenons-en à la théorie du complot : rien n'est vrai, tout est faux et tout ce que l'on raconte de mauvais sur moi n'est que mensonges destinés à me détruire.
Pourquoi ferait-on cela ?!
Je ne sais, mais jouer les victimes que l'adversité ne peut abattre permet aussi de donner de soi une image forte.
Bref, la tragi-comédie serait risible si les enjeux ne nous concernaient pas, nous , les « honnêtes » citoyens.
Il n'en reste pas moins vrai que quelques-uns de nos politiques n'ont plus aucune notion de la réalité, l'argent de la république, nos impôts et taxes, étant utilisé sans compter à leur usage, comme une manne céleste, pour leur permettre de mener un train de vie princier.
C'est choquant, non ?!
Hé bien, eux, ça ne les choque pas du tout et ils trouvent même naturel de se faire offrir des costumes à 15000€ par des amis totalement désintéressés et de faire profiter leurs proches de la manne céleste.
Et ne nous trompons pas, il ne s'agit pas de corruption, absolument pas, parole d'honneur. (Honneur : Respect de principes moraux par quelqu’un qui entraîne la fierté de cette personne et qui mérite la considération des autres)
Non, mais, je rêve là, je me frotte les yeux, je secoue la tête pour échapper à cette vision irréelle, mais il n'y a rien à faire, ces gens-là vivent bien dans une troisième dimension.
Le plus incompréhensible, c'est que nos prétendants au trône se réclament tous, peu ou prou, héritier des idées et des pratiques du Général de Gaulle, alors qu'il est raconté que notre général payait lui-même ses factures d'électricité de ses appartements à l'Élysée, ses frais de téléphone personnel, et même les timbres de ses courriers ; avouez que les agissements de ces messieurs dames ne se rapprochent guère de cet exemple.
Et, à propos de prétendants au trône : ces histoires ont un goût de chiottes.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Dilemme - 24 février 2017

On est mal , on est mal, on est mal !
Les femmes et hommes politiques tombent les uns après les autres sous le coup d'accusation d'abus financiers divers et, évidemment, ce ne sont, à les entendre, que des attaques perverses injustifiées, des complots uniquement inventés par des adversaires sans foi ni loi, pour les discréditer.
Malgré tout, nous sommes bien obligés de constater les faits : l'argent des contribuables est détourné vers des destinations imprévues.
Parfois même, directement ou indirectement, l'élu profite de cette manne céleste d'où s'écoule un parfum de scandale.
Mis en cause, l'élu ment éhontément, il se contredit sans vergogne, crie au scandale, à la trahison, alors que le seul traître, c'est lui.
Nous n'en croyons pas nos oreilles.
Le problème avec ces traîtres, c'est qu'ils salissent l'ensemble des hommes et femmes politiques ; ils jettent l'opprobre sur des personnes honnêtes et dévouées au bien de leurs concitoyens.
Les pratiques douteuses finissent par paraître normales alors qu'elles sont tout simplement inadmissibles.
L'électeur, ne devrait jamais voter pour un candidat « profiteur », pour un candidat « faites ce que je dis, pas ce que je fais », et pourtant … Bof !
Ces corrompus n'ont pas d'amour propre, ils ont un tel mépris pour nous, électeurs, que nos états d'âme ne les touchent absolument pas, seuls comptent leur élection et les apparats qui en découleront.
Je crois qu'il est plus que temps de dire, à ces prétendants au trône, que le peuple n'en veut plus.
Le peuple n'en peut plus !
Nous allons donc, dans un peu plus de deux mois, choisir parmi ces gens là, le président de notre état.
Choix cornélien !
Ça ne va pas être facile.
C'est le moment de dire : Bonchoix mademoiselle, bonchoix madame, bonchoix monsieur.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Culture - 31 janvier 2017

Terminons, en beauté, ce premier mois de l'année nouvelle, cultivons-nous.

Rappelons-nous, pour la mise en bouche, la définition de certains mots.

Népotisme : d'après un vieux Larousse, il s'agit de la faveur dont jouissaient, auprès de certains papes, leurs neveux, leurs parents.

Et, par extension, l'abus qu'un homme en place fait de son crédit pour procurer des emplois à sa famille.
Tiens, tiens !

Despote: Souverain qui gouverne arbitrairement.

Et, figuratif, enclin à vouloir dominer ceux qui l'environnent
Donc, il semble que derrière ces mots, se cachent des abus d'autorité et d'influence, voire de clientélisme


Clientélisme : Fait pour un homme politique ou un parti de chercher à élargir son influence et sa clientèle par des moyens plus ou moins démagogiques.

Démagogie : Politique par laquelle on flatte, excite, les passions populaires pour accroître sa popularité.

Politique : Personne qui nous gouverne ou adjectif aux multiples significations

Liberté politique : Droit pour le peuple de se donner des lois directement ou par le choix de représentants

Profiteur : Personne peu scrupuleuse qui cherche à tirer un profit abusif de toute chose
ien, bien, bien ; bien, bien !

Exercice : pouvons-nous tirer un quelconque enseignement des définitions qui précèdent ?

Hummm... ?

Racisme :Idéologie fondée sur la croyance qu’il existe certaines races supérieures qu’il faut préserver de tout croisement et qui sont destinées à dominer les autres. Ensemble d’idées, d’attitudes et de pratiques inspirées par cette idéologie, qui opèrent une discrimination et une hiérarchisation entre des groupes humains

Corporatisme : Attitude consistant à défendre exclusivement les intérêts de sa profession ; esprit de corps.

Religion : ensemble de croyances et de dogmes définissant le rapport de l’être humain avec une puissance divine ou avec le surnaturel. Doctrine ou valeur érigée en absolu.

Je suis heureux que ceux qui mettent les doigts dans le pot de confiture, c'est-à-dire pris la main dans le sac, bref, pris en flagrant délit d'abus de toutes sortes, soient découverts.
Mieux vaut avant qu'après.
Mais, ne rêvons pas, les jeux d'influence ne vont pas disparaître, ils font marcher le monde depuis que le monde est monde.
Alors ? me direz-vous, et ma liberté dans tout ça ?
Alors, rien, c'était juste pour causer, mais, aussi, parce que, quand même, il ne faut pas exagérer.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.




Bonne Année - 24 janvier 2017

Eh bien, ça y est, nous avons changé d'année.
2017 sera donc l'année du renouveau, notamment politique, ouf !
Election d'un président de la République , élections des députés.
Bon, ils se réclament tous de l'anti-système, mais ils sont tous dedans (le système) depuis des années et des années ; comment pourraient-ils être en dehors ?
Mystère !
Bien, de l'autre côté de l'eau, ce sont les milliardaires qui sont maintenant au pouvoir, mais ils vont rapidement s'apercevoir qu'un pays n'est pas une entreprise et que les exclus raisonnent aussi bien qu'eux, si ce n'est mieux ; alors que feront-ils après ces constats ?
Mystère !
Par ailleurs, la Chine prône l'ouverture des frontières et les Etats-Unis leur fermeture, heu... il doit y avoir une erreur, non ?
Quant à nos voisins du Royaume-Uni, ils cherchent comment quitter l'Europe tout en y restant, ça ne va pas être facile ! Non, mais...quelle erreur, quelle erreur ! Un avenir heureux n'a jamais été dans le repli sur soi !
L'Union européenne est l'association économique et politique de 28 Etats appartenant au continent européen : l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la Bulgarie, Chypre, la Croatie, le Danemark, l'Espagne, l'Estonie, la Finlande, la France, la Grèce, la Hongrie, l'Irlande, l'Italie, la Lituanie, la Lettonie, le Luxembourg, Malte, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République tchèque, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Slovaquie, la Slovénie et la Suède.
L'Union européenne est un gage de paix, car elle force les dirigeants de nos pays à se rencontrer et à se parler régulièrement, évitant ainsi bien des incompréhensions.
Chaque pays a, hélas, tendance à tirer un peu la couverture vers soi et je ne parle pas que de nos amis anglais.
Tout cela n'est pas très sage.
Pendant ce temps-là, notre ami russe fait sa petite tambouille dans son coin et va s'implanter durablement au Moyen-Orient, tout en recréant sa force diplomatique, au nez et à la barbe des Occidentaux.
L'Europe de l'Atlantique à l'Oural, c'est une logique dont parlait déjà le général de Gaulle.
Puisque les Etats-Unis (enfin, le président) nous rejettent ; puisque l'Angleterre nous fuit, pourquoi ne nous tournerions-nous pas vers nos voisins du continent européen, notamment la Russie, après tout, quoi de plus naturel.
Vous observerez que je n'évoque pas, en ce début d'année, tous les détraqués, tous les pourvoyeurs de la misère, tous les serviteurs de la torture, tous les adorateurs de la mort ; et pourtant dans ceux qui nous dirigent ou qui vont le faire, certains s'en réclament.
Pendant ce temps-là, on me dit que le parlement turc vient d'adopter une réforme constitutionnelle qui pourrait conduire à un système autoritaire...les milliers de Turques actuellement emprisonnées et torturées dans leur pays se demandent ce qu'ils vont devenir.
Tout cela est bien beau, mais qu'en est-il de nos voitures dûment contrôlées et de ce fait jugées aptes à circuler et pourtant interdites, partiellement, par une décision inique ?
N'est-ce pas une incitation à la rébellion ? En tous les cas, je ne voterai pas pour ces gens-là qui imposent à leurs concitoyens, jour après jour, toujours plus de contraintes qui pèsent plus lourdement pour les plus démunis, rendant la vie sans arrêt plus difficile, et, ce, sous des prétextes les plus fallacieux, alors que, toujours, la solidarité devrait prévaloir.
Est-ce que parce qu'il s'agit de préoccupations dérisoires au regard des malheurs du monde que nous devons tout laisser faire ?
Que nenni !
Il y a -t-il une morale à cette histoire ?
Oui, en ce début d'année, restons vigilants et, contre vents et marées, soyons résolument optimistes.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

C'est Noël - 24 décembre 2016

C'est Noël,
Faites l'amour, pas la guerre !

Les bombes de Mossoul sont-elles moins meurtrières que celles d'Alep ?
J'en doute, mais peut-être que leur nombre est moindre, néanmoins une bombe reste une bombe conçue pour tuer, alors, sommes-nous moins fautifs ?
Tous souhaitent chasser les islamo-fascistes qui soumettent férocement les populations de Palmyre et autres contrées.
Et que dire de toutes les puissances qui font pleuvoir un déluge de feu, depuis si longtemps, sur les populations du Yémen ?
La guerre est un crime et ceux qui la fomentent des criminels, les guerres existent au mépris des populations en fonction d'intérêts divers, stratégiques, idéologiques, financiers ou personnels et les chefs guerriers qui ne sont pas tous des dictateurs sont tous des meurtriers.
Et, nous, La France, sommes le 3e plus gros exportateur d'armes, derrière la Chine et les Etas-Unis et devant le Royaume-Uni et la Russie.
Condamner la guerre et vendre de quoi la faire, est-ce du cynisme ?
Conséquemment, à quoi sert de crier haro sur le baudet si nous sommes partie prenante ?
Qui arme les fanatiques ? Comment quelques bandits peuvent-ils se transformer en une armée et conquérir des pays ?
Et si l'argent des guerres était rendu au peuple ? Le budget de la défense en France c'est 33 milliards ; bien sûr, on ne peut pas supprimer nos systèmes de défense, et peut-être ne faut-il pas, de par le monde, laisser la veuve et l’orphelin sans protection.
Donc, que faire ?

Faites l'amour, pas la guerre.

Il paraît que le monde est beaucoup moins violent aujourd'hui qu'il y a un ou deux milliers d'années, périodes durant lesquelles le risque de mourir par les armes était cinquante fois plus élevé qu'actuellement.
Bon, tant mieux, nous nous améliorons, même si nous y mettons le temps.
Peut-être que toutes les âmes défuntes qui circulent dans le ciel nous influencent ou que les anges reconnus sous des formes diverses par toutes les religions nous conseillent mieux, allez savoir.
Il faut dire que depuis le début de l'humanité 108 milliards d'individus sont nés et il n'en reste plus que 7 milliards et demi sur terre, faites le calcul, il y a du monde au ciel pour s'occuper des pauvres terriens.
Pauvres terriens qui se reproduisent de moins en moins.
Partant de là, qui va payer nos retraites ?
Une solution, en 2017 :

Faites l'amour, pas la guerre.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

La parole permanente - 24 novembre 2016

 Aujourd'hui, je veux dire à notre époque, les réseaux sociaux ont envahi notre espace, l'internet et le téléphone portable ont révolutionné notre mode de vie.

Tout ça en très peu de temps, à peine soixante-dix ans. Si quelques privilégiés possédaient le téléphone à l'issue de la dernière guerre, la majorité des gens vivait sans cet outil moderne, seule la radio animait la vie quotidienne.

Pour les plus jeunes, c'est difficile à imaginer, mais, dans les années 1950, il existait même encore quelques carrioles tractées par des chevaux, dont les corbillards par exemple ; celle du rémouleur l'était par un chien.

Bref, petit à petit, la technique s'est répandue dans tous les foyers, dans les rues et les campagnes, la marine marchande à voile a disparu des pays occidentaux et les espaces de travail ne connaissent plus le repos.

Beaucoup d'entre nous communiquent sur « Face de bouc », voire par diffusion de vidéos sans se soucier le moins du monde que la population mondiale peut partager leurs bêtises, leurs colères, leurs déprimes et leurs joies, ça pourrait devenir de l'exhibitionnisme si nous n'y prenions pas garde.

Mais ce n'est pas le pire, non, le pire ce sont ces commentaires immédiats sur tel ou tel événement, émis sur les réseaux des téléphones portables ; sans aucune réflexion, sans aucun recul.

Et le pire du pire, c'est que les hommes et les femmes politiques s'adonnent à cette pratique regrettable, ce qui fait qu'il y a énormément de crétineries qui sont ainsi répandues et ça ne rehausse pas notre considération pour nos élus et, finalement, c'est bien fait pour eux, mais ça n'en est pas moins fâcheux.

Comment des gens placés aux plus hauts postes de notre république peuvent-ils réagir ainsi à chaud, sans réfléchir ? A mon humble avis, ce besoin de se mettre toujours en avant sur la scène publique, quitte à passer pour un idiot et à dire après coup que ce qui a été écrit ne représente pas sa pensée, ce n'est pas digne.

Quant au chef de l’État qui fait part de ses états d'âme à des journalistes, révélant au passage de lourds secrets liés à sa fonction, c'est navrant !

Car, enfin, nous les Français, qu'attendons-nous d'un Président de la République.

Hormis qu'il dirige correctement notre pays, nous souhaitons qu'il soit discret, qu'il ait un sens élevé de sa fonction, qu'il ne défraie pas les chroniques mondaines par ses petits ou grands écarts de conduite, qu'il ne parle pas pour ne rien dire, qu'il est de l'estime pour tous les citoyens, qu'il possède du discernement et une bonne dose de compassion bref, et, enfin, que ce soit un humaniste (théorie qui vise l'épanouissement de l'être humain) en dehors de toute religion, car je ne peux imaginer que l'un de nos dirigeants puisse puiser son inspiration dans des théories bibliques ou dans les paroles d'un grand prêtre.

Et à propos de la personnalité des candidats à la présidence, observons aussi ceux qui racontent n'importe quoi en nous promettant la lune et qui mentent éhontément sur leurs adversaires, ils sont à exclure de nos votes.

Oui, d'accord , mais qui reste-t-il ?

Bonne question, je vous laisse y répondre.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Le voile permarnent - 12 novembre 2016


Les pays bien pensants, c'est-à-dire la majorité des Occidentaux, s'offusquent devant le déferlement des bombes lancées par les dirigeants syriens et par leurs alliés russes.
C'est une honte, c'est un scandale ! Il y a crime de guerre.
Bien sûr, réduire en poussière les hôpitaux et les écoles et toutes les habitations, c'est mal, même si des guerriers ennemis s'y réfugient en pensant ne pas y être débusqués et tant pis pour les innocents.
Ça me rappelle toutes ces villes rasées en France, par nos alliés, pour chasser l'ennemi de nos terres. Bon, le résultat est là, nous sommes chez nous, en France.
Crimes de guerre, crimes de guerre, mais la guerre elle-même n'est-elle pas le premier crime !
Alors, je pose la question : les bombes que nous, Français, déversons en Syrie, en Irak sur des points x et y pour soutenir les forces légales des pays, enfin, légales pour nous bien entendu, ces bombes font-elles du bien aux populations qui s'en trouvent déchiquetées ?
Et d'ailleurs, nous, les Français, à qui vendons-nous nos armes ? Car, oui, il faut le rappeler, la France est le deuxième exportateur mondial d'armement en tous genres. Notre chiffre d'affaires dans ce domaine a doublé en 2015 par rapport à 2014.
A qui profite le crime ?
La Guerre est donc une bonne affaire et quand nos politiques s'insurgent contre tel ou tel événement guerrier, ils devraient, avant, se poser la question de savoir si ce n'est pas avec nos armes qu'il fut commis.
16 Milliards de chiffres d'affaires en 2015 et encore plus en 2016, nos dirigeants ont trouvé une excellente ressource dans la vente des armes.
Un vendeur d'armes a-t-il les mains couvertes de sang au même titre que l'utilisateur des armes ? C'est une simple question, je ne vois pas en quoi elle pourrait être choquante.
Dans la vie, il faut assumer ses actes.
Nous, Français, fabriquons des armes pour nous défendre contre une agression éventuelle, c'est compréhensible et nous faisons là, preuve de prévoyance, mais si nous répandons partout sur la planète ces objets de destruction au risque de prendre en retour une bombinette sur la figure, ne nous étonnons pas qu'ils soient utilisés pour répandre la mort.
Et de cette mort répandue, de tous ces martyrs, de tous ces estropiés, de tous ces orphelins, de toutes ces veuves, de tous ces veufs, de toutes ces horreurs, nous en sommes, tous, coresponsables, puisque nous en profitons.
Nous sommes tous des criminels.
C'est horriblement dérangeant, n'est-ce pas.
Afin de ne pas voir, voilons-nous la face, peut-être trouverons-nous, en nous, des nuances déculpabilisantes.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Candidature pour poste de direction - 3 novembre 2016

Je sais, par expérience, que l'embauche d'une personne destinée à travailler dans notre société est une lourde charge, surtout si cette personne est appelée à avoir quelques responsabilités au sein de l'entreprise ; il ne faut pas se tromper.
Je dois, prochainement, engager une personne pour gérer toute notre entreprise, la conduire et assurer son avenir, vais-je accepter un candidat qui a déjà connu une faillite ?
D'évidence, non !
Pas plus que je ne vais me laisser prendre par ses belles paroles n'ayant pour but que de m'endormir ; aie confiance, aie confiance...
De même, cela vous étonnera peut-être, mais j'éviterai de prendre un gars qui a déjà piqué dans la caisse ou l'un de ces vampires qui vous sucent jusqu'à la moelle.
Celui ou celle qui aurait des idées subversives m'inquiéterait plutôt, idem pour les idées étriquées qui mènent au repli sur soi, ce qui en matière commerciale n'est pas une bonne stratégie.
Donc, qui embaucher ?
Je vois une personnalité forte, humaniste, qualifiée, bonne gestionnaire ne dépensant pas plus que ce que gagne la société, acceptant néanmoins d'investir une bonne part des bénéfices dans le développement de l'entreprise, ayant une bonne projection dans l'avenir sur le long terme. Il faut aussi que cette personne soit juste et, pour le bon fonctionnement social, qu'elle refuse les privilèges de castes et les rentes de situation et, bien sûr, qu'elle fasse passer les intérêts de la société avant les siens.
Je fais court, mais en bref, voilà le profil.
Ça paraît facile.
Eh bien, pourtant, je ne trouve personne.
Le poste à pourvoir est très intéressant bien que les membres de la société soient parfois un peu turbulents et, à juste titre, exigeants.
Les postulants au poste sont nombreux, mais, hélas, dans ce panier de crabes, bien peu, et c'est un euphémisme, possèdent les critères requis.
Ce n'est pas facile.
Je me demande comment je vais faire pour trouver le bon candidat devant diriger notre société : la France.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Restons Français - 24 août 2016

Hé bien ! Voilà une période estivale durant laquelle il n'y eut guère de trêve, je parle de celles des confiseurs.
Vous me direz, à juste de titre, que la trêve des confiseurs c'est en hiver, à la fin de l'année.
Effectivement, vous avez raison donc je retire ce que j'ai écrit ; d'ailleurs, il n'y a jamais eu de trêve politique en été, bien au contraire, chacun s'employant à profiter de ces instants de relâche pour passer en douce qui un décret, qui une augmentation.
Bon, en tous les cas, le burkini a fait parler de lui ; à entendre les arguments des uns et des autres, je ne sais plus si c'est un bien ou un mal, est-ce une libération pour ces musulmanes de pouvoir se baigner en toute tranquillité ou est-ce une privation de liberté de plus, une oppression de plus ?
Des Marseillaises disent que cela se produit depuis longtemps sans pour cela choquer les voisines en monokini, chacun vivant sa vie en admettant que celle du prochain peut-être empreinte d'une tradition ou d'une culture différente.
Je serai plutôt de ce dernier avis, toutefois il faut que les Français restent des Français et n'aient pas peur de l'être, que les traditions perdurent dans chaque contrée, que nos racines soient reconnues, préservées, soignées, car elles sont l'essence même de nos vies, comme celles d'une plante, ce sont nos racines qui nous nourrissent, si on nous les coupe (les racines) nous mourons.
Arrêtons d'avoir honte de notre passé, de ce que nous sommes.
Nous parlons de nos ancêtres : « les Gaulois », mais nous savons très bien que la France est multicolore, il n'y a qu'à regarder nos sportifs olympiques ; hé bien, ça n'empêche pas que pour tous les Français, de toutes origines, nos ancêtres sont les Gaulois dont nous avons hérité des traditions et ils n'avaient pas peur de leur ombre, ni des ripailles, ni de râler, la seule chose qu'ils craignaient c'était que le ciel leur tombe sur la tête.
Pourquoi me casse-t-on les pieds avec le racisme, les racismes, moi, j'aime tout le monde...mais pas toutes les idées et pas du tout l'autoritarisme et encore moins la tyrannie. Je suis un Gaulois, du Nord, d'accord, mais Gaulois quand même.
Tous les gens qui se font naturaliser Français ont pour ancêtres les Gaulois, ils héritent instantanément de nos traditions, de nos défauts, de nos qualités, de notre culture, mais chacun garde ses racines, car on ne peut les changer, ni les couper, cela les tuerait et appauvrirait la société française.
L'Auvergnat est Auvergnat et Français, de même que le Breton, le Normand, ou le Flamand, etc., cela empêche-t-il d'être Européen ?
Ben, non bien, sûr !
Toutefois, je mets un bémol à l’enthousiasme européen, en effet, il est plus que temps de redonner la parole aux peuples, de supprimer les despotes de la Commission européenne qui semblent trouver inutile de s'en remettre aux représentants des peuples, sinon, tel le Royaume-Uni , chacun reprendra ses billes et l'Europe divisée, c'est l'Europe des guerres.
Il est important que nous gardions nos spécificités et que nous ayons des règles communes pour bien vivre ensemble.
C'est compliqué ? Ha, bon.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Nous les provinciaux - 24 juin 2016

Nous les provinciaux, nous avons des avis simples et des réactions saines, c'est pourquoi nous n'allons pas vivre à Paris qui reste néanmoins notre capitale bien aimée quoiqu'en pensent les Parisiens (tête de chien).
J'ai écrit « néanmoins », mais j'aurais dû, s'agissant de pollution, écrire « nez en moins ».
En effet, certains me font remarquer que la voiture pollue et que la pollution est responsable de problèmes respiratoires chez l'homme, pouvant entraîner la mort.
Certes, c'est fâcheux.
Cependant, on pense parfois avoir de bonnes idées et puis il s'avère que non.
La production d'électricité est encore très polluante, car nous avons développé des méthodes de production foireuses au détriment de méthodes écologiques.
Vous me direz qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire et j'ai bon espoir que ça s'améliore un jour.
Mais, tout récemment, un automobiliste écolo, à Singapour, conduisant une voiture électrique a été taxé comme un gros pollueur, car la consommation d'énergie de sa belle voiture électrique au lieu d'être mesurée à la sortie de l'échappement (évidemment avec une voiture électrique ce serait difficile) , a été calculée à l'origine de la production de l'énergie utilisée. Cela a permis de tenir compte du CO2 (dioxyde de carbone), émis lors de la production de l'électricité nécessaire au fonctionnement de l'automobile et ce n'était pas brillant.
Comme quoi...
J'ai lu que, sauf en île de France, la voiture n'est pas la grande responsable de la pollution (51 % en île de France, quand même), l'industrie et le chauffage la supplantent largement.
Bien, mais la question est : faut-il pénaliser les personnes qui ne peuvent changer leurs vieilles voitures qui respectent les normes en vigueur , car répondant aux normes du contrôle technique obligatoire.
Évidemment, non.
Pour être équitable il faudrait interdire la circulation automobile, à tels et tels moments et en tels lieux, à tout le monde et, bien sûr, mettre en place, en remplacement, les transports en commun adéquats qui aujourd'hui débordent de partout et éviter de remplacer nos transports ferroviaires par des transports routiers, n'est-ce pas monsieur le ministre. Et ce, à un prix moindre que celui de la voiture personnelle.
On a vu que la voiture électrique est finalement, aussi, une grande pollueuse, alors, que faire ?
D'abord, il faudrait éviter les grandes concentrations urbaines : je reviens de Paris, c'est dingue ! Il y a des voitures partout en files bloquées, des cheminées d'usine qui fument à droite et à gauche, des avions qui sillonnent le ciel...j'en tousse encore.
Si nous avions le temps, nous pourrions préconiser le retour de la voiture à pédales et la navigation à voile ; tiens, à ce propos, j'ai visionné des vidéos d'essais d'avions à pédales, hé bien ce n'est pas encore au point, dommage.
Bref, il va falloir faire confiance à nos inventeurs, peut-être en produisant de l’électricité moins polluante, par exemple les marémotrices ou la houille blanche.
Et puis aussi, changer un peu de modes de vie
Mais ce n'est pas si facile d'être un homme libéré.
Bon, il faut voir.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Révolte - 3 juin 2016

J'ai entendu dire que la mairie de Paris interdira, dès le 1er juillet 2016, la circulation des véhicules automobiles immatriculés avant l'année 1997, sous prétexte de pollution.
Ça me révolte !
Car qui possède de vieilles voitures ? Je vous le demande, hé bien, ce sont ceux qui n'ont pas assez de revenus pour en acheter une plus récente.
Ceux qui ont le bonheur d'avoir un travail ne gagnent pas non plus, automatiquement, trois ou quatre fois la valeur du SMIC, ils n'ont pas une voiture de fonction avec ou sans chauffeur, ce ne sont pas des nantis comme ceux qui inventent ces lois débiles.
Pollution, pollution ? Et construire des voitures neuves ça ne pollue pas peut-être.
Cette histoire est un vrai scandale !
Encore une fois les politiques n'ont aucun sens des réalités, il serait plus que temps qu'ils aillent faire un stage en usine ou dans les champs, dans la vraie vie où on en bave et où on ne peut pas acheter un véhicule dont le prix représente plusieurs mois, voire plusieurs années de salaire, alors que l'on peine déjà à bien se nourrir.
Même ne plus payer les impôts qui servent à engraisser ces faiseurs de lois ne permettrait pas de régler la note.
Les Français en ont vraiment plus qu'assez de toutes ces contraintes à la con !
Etonnez-vous, après, que souffle un vent de révolte.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Rien de neuf - 24 mai 2016

Vous êtes salarié.
Donc, le matin, guilleret, vous partez au boulot et le soir, après une journée bien remplie, parfois stressante, vous rentrez chez vous, complètement rincé.
Vous n'avez pas du tout le loisir, ni, d'ailleurs, la force, d'avoir un deuxième travail.
Quand bien même, vous le voudriez, le code du travail, un truc peu compréhensible, censé défendre vos intérêts, vous interdit de dépasser le nombre d'heures autorisées, car il faut partager et laisser à chacun la possibilité de travailler ; je ne rigole pas, c'est sérieux.
Je ne parle pas de votre salaire, en effet, je sais que c'est un salaire de misère.
En revanche, certains, et pas des moindres, trouvent le moyen, en plus de leur job de ministre, de créer un nouveau parti politique, d'écrire un livre, de se promener de-ci, de-là, de faire de beaux discours, etc.
Vous le pourriez, vous ? Moi pas !
Vous me direz que c'est facile, étant donné que le travail incombant aux ministres est réalisé, en réalité, enfin, en principe, par une foule de fonctionnaires et de sous-fifres grassement payés.
Serait-ce que l'occupation de ministre n'est pas un plein temps ?
Pourtant, la rémunération de cette fonction pourrait laisser penser qu'un ministre se donne à fond et intégralement dans l'accomplissement de sa mission, hé bien, non.
Ce n'est pas étonnant que tout parte en vrille dans notre beau pays.
Ces messieurs dames soignent leurs carrières et, du coup, ils ne voient pas que les sous-fifres font mu-muse avec les textes régentant notre vie, créant des citoyens très mécontents qui vont bloquer l'économie du pays.
Hé ! Ho ! Nous sommes là !
C'est la merde !
Y'a quelqu'un ?
Non, personne !
Bon, ne soyons pas défaitistes, rêvons, dans un an, ça ira mieux...hum...
Et puis, bientôt, s'ouvrira la période des vacances, c'est chouette, comme dit le hibou.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Mais que se passe-t-il ? - 24 avril 2016

Des gens meurent dans les pires souffrances, ils quittent leurs pays pour fuir la guerre et la famine et, nous, devant cette vague humaine d'affligés, nous ne savons comment nous défendre de cette invasion perturbante.
Sans doute que l'aspiration de tous ces pauvres gens est d'abord de pouvoir rester chez eux, mais devant le feu de l'enfer, pour protéger les siens, souvent il n'y a que l'exode, hélas !
Peut-être que les intérêts de certains se moquent pas mal de ces milliers de vies perturbées ; enfin, « peut-être », non, ce n'est pas le bon terme, disons plutôt : certainement et cyniquement.
La guerre cela rapporte, aux marchands d'armes d'abord et, ensuite, aux trafiquants de tous bords dont des pays, des dirigeants font partie, hé oui, soyons réalistes.
La misère n'arrive pas toute seule, elle est portée par une tripotée de salauds dont des pays, des dirigeants font partie, hé oui, soyons réalistes.
En vertu de quoi, tout cela ?
« En vertu » quel drôle de terme pour évoquer des crimes! Bref, disons-le, parfois pour acquérir ou défendre ou préserver nos intérêts, à nous, les nantis.
Ce n'est pas joli, joli, et , à choisir, je préférerais vivre plus simplement, sans diamants, sans pétrole ou simplement les payer normalement à leurs propriétaires...mais on ne va pas refaire le monde, hein ?
Si ?!
Chiche
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

J'en parle - 24 mars 2016

Comment pourrais-je ne pas en parler ? Pourrais-je émettre encore quelques futilités alors que nos frères et sœurs sont en pleurs ?
Les cinglés dénaturés ont encore frappé, cette fois au cœur de l’Europe, en Belgique, ce 22 mars 2016.
Ils ont endeuillé l’Europe au mépris de leur propre vie, stupidement et égoïstement, et, qu’espèrent-ils, ces pauvres dégénérés, en tuant aveuglément des innocents, sans discernement, toute vie sur les lieux du crime étant d'avance sacrifiée ?
Non, mais, il faut vraiment être con : ils pensent aller au paradis !
Là, les attendraient, pour l’éternité, diverses récompenses, dont les fameuses 72 vierges qui, pas toujours prêtes, laisseront la place à de beaux éphèbes ; toutes et tous sont aussi bien réservés à l’homme qu’à la femme puisqu’il s’agit de félicités ésotériques.
Pas de pot, les gars, les vierges ne sont qu’un leurre, vous allez tout simplement cramer pour l’éternité dans le feu que vous avez allumé.
Vous auriez mieux fait de profiter sur terre des bienfaits qu’elle vous offre, faites l’amour , pas la guerre.
Bon, il est évidemment impossible de raisonner avec des abrutis à l’esprit tronqué, à la vue basse et aux idées courtes.
Les actes terroristes ont toujours été exécutés par des exaltés agissant naïvement pour divers despotes et tyrans, ce sont ces derniers qu’il faut réduire en poussière, car, de la chair à canon, les bourreaux en trouveront toujours.
Mesdames et messieurs les politiques, en respect pour nos morts et leurs familles éplorées, arrêtez , tout simplement, de traiter avec les commanditaires, directs ou indirects, de ces actes odieux.
C’est mon avis sur la vie, ça n’engage que moi

Questions - 24 février 2016


Qui suis-je, où vais-je, dans quel état j’erre ?
Et d'étagère en étagère, où suis-je ?
Dois-je me poser des questions existentielles, ou simplement apprécier le moment présent ?
Finalement, rien n'empêche un peu de mysticisme, en évitant les mystifications, bien entendu.
Quant à vivre le moment présent, je ne vois pas comment faire autrement, car même en vivant dans le passé, c'est toujours le moment présent, de même en se projetant dans l'avenir.
Toutefois, certains vivent tellement le moment présent qu'ils ne pensent pas à l'avenir.
Ainsi, certaines promesses nous font plaisir lorsqu'elles sont faites, mais nous sommes déçus lorsque nous constatons que c'étaient des promesses en l'air. Comme quoi, de temps en temps, il faut regarder dans le passé qui est plein d'enseignements et c'est plus facile que de regarder dans le futur.
Évidemment, nous devrions être moins crédules et sans doute plus exigeants.
Mais, enfin, le monde est compliqué, je veux dire la vie sur la terre ; ailleurs, dans cet univers en perpétuelle expansion dans lequel nous ne sommes qu'une micro poussière, je ne sais pas.
A qui la faute?
Sur la terre, nous , les humains , nous sommes la seule espèce à nous auto détruire et à détruire notre environnement, il faut vraiment être c.. stupide pour agir de la sorte, non ?
Paradoxalement, nous serions les seuls à être pourvus de la raison, donc, à être...raisonnables. Hé bien, ce n'est pas très brillant.
Une petite guerre par-ci, une petite guerre par-là et, hop ! J’occupe la place, je te pique ton pétrole et tes diamants.
Combien de morts ? Combien de martyrs ? Combien de traumatisés à vie ? Des centaines de milliers, des millions ? Bof ! Et les tortures? Bof !
J'opprime, tu opprimes, ils ou elles oppriment, ainsi raisonnent ceux qui veulent toucher des primes.
Et après ? Nous naissons nus, nous mourrons nus, entre-deux c'est le moment présent, de l'avant et de l'après nous ne savons rien ; et, à propos de savon, nous devrions, chacun d'entre nous, nettoyer devant notre porte avant d'aller prêcher la bonne parole et enseigner toutes les nations.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Empreinte - 21 janvier 2016

Sommes-nous marqués de façon indélébile dès notre naissance ?
Indéniablement, au départ, nous absorbons instinctivement notre environnement, la culture de nos proches, le mode de vie du peuple dont nous faisons partie, la famille dont nous sommes issus.
Vivre dans ces acquits est rassurant et nous protège. Même si c'est parfois contraignant, nous pouvons nous complaire dans certains rites et croire que ce que l'on nous a appris est la seule vérité ; c'est la voie la plus spontanée, la plus commode.
Ouais, ben, seulement faut pas croire tout ce que l'on vous raconte.
Evidemment que je suis formaté par mon éducation, et alors ?! Est-ce une raison pour trucider tout le monde ? Est-ce une raison pour ne pas réfléchir sur toutes ces contraintes datant de Mathusalem (avis aux soiffards : il ne s'agit pas d'une bouteille de champagne, mais du personnage de l'Ancien Testament [culture commune aux chrétiens et aux juifs]).
Bien naturellement la vie en collectivité impose des règles, comme la nature impose ses lois, même à nous, les Français, qui sommes imprégnés par toutes les cultures, africaine, grecque, égyptienne, celtique.
Règle première
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
Règle 2
1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.  2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.
Règle 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

C'est beau, hein !
Nous qui profitons de la liberté, gardons-la, ne la laissons pas tomber, défendons-la.
Non, ne la laissons pas tomber, elle est si fragile et être libéré ce n'est pas toujours si facile.
Allez et enseignez toutes les nations.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

L'homme transcendé - 13 décembre 2015

L'homme, par essence, est libre et, parce qu'il est libre, il peut tout imaginer et créer son environnement.
Paradoxalement, il n'a qu'une hâte, c'est de s'entraver ; est-ce par peur de dépasser ses possibilités ?
Toujours est-il qu'ainsi naquirent les dieux dont les existences sont rappelées dans mon livre « poèmes prenants ».

Dieu, Allah, Shiva et cie

L’homme créa Dieu
et le mit dans les cieux.
Par son intercession,
il étend sa domination.

Dieu est bon,
l’homme parle en son nom.
Dieu est juste
quoiqu'en dise Belzebuth.

Allah est grand,
c’est écrit dans le Coran.
Mais qui est le plus grand,
quel est le Dieu des dieux,
celui qui n’est pas odieux,
celui au nom de qui,
jamais, ne s’éleva un cri.

Où sont toutes les divinités
dont nous fûmes les invités,
qui nous dictent nos actions,
réalisées sans rébellion.

Où est tu Chachalmeca,
dieu des morts
et toi déesse Na,
délivrez-nous des sorts
jetés par vos pairs,
Pluton aux enfers,
le tonnerre Thor
et Ah Puch, encore la mort.

O Uruk, dieu du ciel
et Kami du soleil,
reine du monde,
entrez dans la ronde
des dieux et du mystère.

Regardez, voici Jupiter
et Brahma sorti de Vishnou,
on se fiche de nous.
Osiris, a ressuscité Odin
qui nous considère avec dédain.

J’appelle Bao Gong, la justice
et le chien embaumeur, Anubis,
que viennent Chih Jih, dieu du jour
et Xochipilli, dieu de l’amour,
avec Zeus, Shiva et Horus
et qu’accourt Bacchus
qu’ils détruisent Minerve
qui nous énerve,
qui mélange la sagesse et la guerre,
qu’Aker lui ouvre les portes de la terre.

Par tous les dieux de l’univers,
j’ai le cœur à l’envers.
Ils tuent mes frères,
ils répandent la misère,
ils violent ma mère
et ma mère, c’est la terre.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Coup de gueule - 30 novembre 2015

Depuis quelque temps j'entends beaucoup de bêtises dites à propos des religions pratiquées ou non par les Français, il y aurait même une recommandation qui circulerait pour ne pas, au moment de Noël, édifier des crèches dans les lieux publics.
Bon.
Je suis allé consulter diverses statistiques pour apprécier la réalité des choses et il s'avère que , approximativement, la population se réclame à : 60 % du christianisme, 30 % sans religion, 8 % de l'islam, 2 % de diverses autres religions.
Ça remet déjà les idées en place.
D'autre part, il existe dans les pays des traditions qui, « païennes » à la base, ont été récupérées par les religions, notamment, chez nous, par les religions chrétiennes.
Ainsi, Pâques a remplacé nos lointaines fêtes du printemps.
Quoi qu'il en soit, en Europe et particulièrement en France, les traditions sont depuis, près de deux millénaires, d'origine chrétienne.
Dans un pays laïc, chacun fait évidemment ce qu'il veut et c'est très bien ainsi et si 70 % de la population souhaite fêter Noël, je ne vois pas pourquoi l'en empêcher, d'autant plus que c'est la fête des enfants et rien n'empêche une personne de confession X ou Y de s'y associer, ce qui se pratique d'ailleurs, fort heureusement.
Oserais-je dire que ça fait partie de notre folklore ? Oui, alors pourquoi en rougirions-nous.
C'est très bien d'avoir des fêtes qui égayent notre vie tout au long de l'année, d'autant qu'il n'y a pas obligation d'y participer.
Il n'est donc pas question d'interdire de fêter tel ou tel événement sous prétexte qu'il est religieux ; au contraire, notre droit est de profiter de tout ce qui nous semble bon, quelque soit sont origine religieuse et, ce, au nom de la laïcité.
Quant aux tarés qui veulent dominer l'univers en nous trucidant sous des prétextes fallacieux, tous plus idiots les uns que les autres, nous savons tous qu'il s'agit de dictateurs sanguinaires voulant asservir un maximum de populations et, si possible, le monde.
Quelle réponse donner à ces égarés, alors que la nation pleure encore ses morts et que notre compassion est totalement tournée vers les familles décimées.
Hé bien, la réponse est de ne pas nier, mais d'assumer ce que nous sommes, en toute liberté, en toute égalité et en toute fraternité et d'agir en conséquence ; agir, ne pas subir.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Cabanon - 14 novembre 2015

J'ai lu quelque part qu'il existait une taxe « cabanon » inventée par le gouvernement Fillon en 2010 et mise en application en 2012, cette taxe s'étendrait d'ailleurs aux combles perdus des maisons et aux vérandas.
Je cauchemardise !
Je crois que certains mériteraient vraiment d'être enfermés au cabanon.
Tiens, c'est amusant, j'avais écrit, « je crois », « je croix ».
Hé bien, oui ! (comme aurait dit le général de Gaulle), certains sont de vraies croix que nous porterons toutes notre vie ; tous ceux qui voulant gérer notre pays, mais ne le sachant, camouflent leur incompétence derrière l'instauration de taxes et autres contraintes tuant tout enthousiasme.
Surveillons donc la loi de finances 2016, pour voir si ce genre de stupidités sera maintenu.
Tout ça ne me motive pas pour les prochaines élections régionales dont on n'entend, d'ailleurs, pas beaucoup parler.
De quoi s'agit-il ? Il faut élire nos représentants pour les nouvelles régions définies par le gouvernement, ces fameuses nouvelles régions visant à diminuer le nombre d'élus avec la disparition future des départements...bon, je veux bien, mais ce n'est pas très clair.
Ces élections motivent ma toux, ou plutôt l'épais brouillard qui entoure ce projet nébuleux.
Bientôt nous serons en 2016 et en 2017 auront lieu les élections présidentielles, le grand cirque va donc bientôt reprendre, bien que je n'ai guère l'impression que cela se soit arrêté.
Donc, bientôt plein de belles promesses, de grandes déclarations d'amour, etc., et bla, bla, bla.
Alors ?
Ne comptons que sur nous-mêmes.
Ah, oui, un dernier point, je salue la fermeté de nos dirigeants qui ont annulé le déjeuner prévu avec le dirigeant iranien qui ne voulait pas voir de vin sur la table ; non, mais, sans blague !

Ainsi était mon avis sur la vie avant d'apprendre les horribles attentats commis sur notre territoire en ce soir du 13 novembre 2015...

Tout devient dérisoire devant tant de douleur et de cruauté.

Plus de 120 morts, plus de 200 blessés !
Au nom de quoi ? Commis par qui ? Une bande de cinglés qui pensent récolter le paradis en répandant partout le feu de l'enfer ! Comment peut-on tuer pour des théories aussi primitives que le paradis et l'enfer, sans parler des dieux ?
Ils doivent être déjà bien perdus, ces tueurs, pour créer ainsi la désolation.
En réalité, les tarés qui instrumentent tout cela sont, eux, plongés dans la réalité du pouvoir, de la possession, de la domination et de la jouissance sadique, ils sont persuadés qu'un jour ils domineront le monde, cette utopie dévastatrice n'a rien à voir avec une quelconque théologie.
Hélas, on ne peut les laisser faire.
L'union contre la terreur est impérative.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Consternation - 14 octobre 2015

Des morts, des morts et encore des morts ; attentats, crimes, terrorisme, guerres, occupations... ainsi vont les nouvelles.
C'est la saturation.
Tous ces morts ne sont bien souvent que des dommages co-latéraux à la convoitise, à l'expression d'ambitions diverses, perverses, bien évidemment, d'une bande de cinglés.
Vous me direz, s'il n'y avait pas les moyens de communication modernes, nous ne serions même pas au courant de l'existence des dictatures qui perdurent à quelques heures d'avion et nous pourrions vivre plus sereinement.
Oui, mais qu'est-ce que ça changerait ?
C'est peut-être un peu égoïste et terrible à dire, mais tant que nous ne sommes pas touchés, nous qui vivons tranquillement en France, on se sent parfois peu concerné.
C'est le phénomène de masse, cinq mille morts dans un tsunami ou un effondrement de montagne, ça touche moins que deux morts à côté de chez soi, est-ce normal ?
Il faut bien se protéger de toutes ces annonces catastrophiques, non qu'elles n'existent pas, mais nous ne pouvons accumuler en nous, sans dommages, tous les malheurs de la terre.
Comment tout cela est-il possible ?
C'est facile, la raison du plus fort, même fou, sera toujours la meilleure.
Pour éviter de subir le joug du dictateur, soyons forts, en nous d'abord, chez nous ensuite...j'en entends qui disent, on n'est plus chez nous, OK, ce n'est pas faux, mais raison de plus.
Il est vrai que depuis quelque temps nous voyons déferler sur l'Europe des vagues humaines poussées par la folie de leurs dirigeants et par l'envahisseur religieux.
Faut-il résister ? La chanson dit : « et s'il suffisait d'aimer », bon, c'est sûr !
Toutefois, j'aimerais bien que l'on ne vienne pas me déranger dans mon jardin en me rappelant, sans arrêt, ma condition de mortel et mon appartenance à une espèce dégénérée où l'on s'entretue et avec laquelle je devrais rester solidaire.
Hé bien, non.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Le bien est-il un mal nécessaire - 8 juillet 2015

Tout le monde c'est ce qu'est la conscience : je sais ce que je fais, j'en suis conscient ; j'ai conscience de ce qui est bien ou de ce qui est mal, c'est naturel.
Toutefois, celui qui a une conscience déformée, détournée par un lavage de cerveau, celui qui pense que le mal qu'il fait est un bien, est-il inconscient ?
Croyez-vous que je pense à un terroriste ? Croyez-vous que je pense à certains dictateurs ? Croyez-vous que je pense à des gens qui nous seraient plus proches ? Que nenni, à personne en particulier et à tout le monde en général, oui-da.
L'innocent à qui l'on inculque des notions erronées du bien et du mal n'est évidemment pas responsable de ses agissements déviants, il est inconscient de son déviationnisme, enfin, jusqu'à un certain point.
En revanche, celui qui décrète, par intérêt personnel, que le mal est un bien ou qui essaie, pour un intérêt partisan, de convaincre ces congénères qu'il faut souffrir pour être beau, celui qui dit que la guerre est nécessaire pour le peuple, celui-là, même s'il se convainc qu'il agit pour une bonne cause, il sait que c'est mal, celui qui asservit une personne ou un peuple sait que c'est mal.
Le mal et le bien sont-ils gravés dans notre subconscient, sommes-nous omniscients sur le sujet, je crois bien que oui.
Bon, ok ; alors si un individu fait une mauvaise action et que je suis amené à lui infliger une punition, je vais fatalement lui faire du mal, enfin, un truc pas agréable, j'en suis conscient ; dans ce cas est-ce mal, puisque c'est pour son bien et pour le bien de la communauté que je défends ; ou alors, finalement, son cas ne me préoccupe pas, seul m'importe le sort de ma communauté.
La taupe qui détruit ma pelouse mérite-t-elle la mort ? Après tout, elle est inconsciente du dérangement qu'elle crée, d'ailleurs elle aère la terre, c'est plutôt bien et en plus c'est l'un des seuls prédateurs de certains vers et larves, pour le bien des cultures.
A quoi sert l'un, à quoi sert l'autre ? Où est l'intérêt général ? Au fond de moi, le sais-je ? Dois-je penser à l'intérêt de mes proches, de mes concitoyens ou de l'humanité ? Intérêt immédiat ou à long terme ? Car après tout, ma vie est éphémère.
Me voilà bien hésitant, bloqué dans mon action, j'opte pour le bien-être immédiat ; ah, oui, mais cigale ou fourmi, faut-il choisir ? Je prends un peu des deux.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Jouissance - 6 juin 2015

Comme chacun et chacune, je suis né nu, centre du monde, objet immédiat de toutes les attentions ; hélas, cet état ne dura pas et je devins rapidement un parmi d'autres, comme tout le monde ; néanmoins, je demeurais, à mes yeux, le centre de l'univers, comme tous les bébés.
Est-ce ainsi, de cette frustration originelle, que naît la colère ?
Pourtant j'avais pour mon entourage, au début de la vie, un œil bienveillant, mais des attaques diverses et répétées, au fil des ans, me tannèrent le cuir qui rapidement devint une armure.
Dans une armure, on est seul , heureusement, car c'est étroit ; seul, donc, évidemment, un peu tourner vers soi, et avec ma colère, aïe.
Qui suis-je, où suis-je, d'où viens-je, où vais-je ? Autant de questions auxquelles personne ne sait répondre.
Toutefois, j'ai fait une enquête (oui, parfaitement) : premiers résultats, je suis né nu, et vais, un soir, une nuit, un jour, mourir nu ; je suis venu sans rien et repartirait sans rien... apparemment du moins et , c'est bien connu, il ne faut pas se fier aux apparences.
Peut-être, après tout, arrivons nous avec une sorte de bagage d'actions passées, à effacer ou à cultiver et à emporter lors de la mort...ce qui supposerait, bien sûr, qu'il y ait un avant et un après notre vie sur terre.
Quoi qu'il en soit, pourquoi certains hommes (ou femmes, of course) seraient-ils méchants et pas les autres, par exemple Staline, Hitler sont de vrais méchants, bouh, les méchants !
D'autres sont de faux gentils, fomenteurs de guerres et responsables de milliers de morts, pour des intérêts pas toujours avouables, suivaient mon regard...
Du président au balayeur, dans notre société, nous avons tous le pouvoir d'emmerder nos concitoyens, mais pourquoi, pourquoi ? La jouissance de se sentir fort au détriment d'autres individus, wouah ! que c'est bon ! Oui, mais c'est méchant, très méchant.
Donc la méchanceté serait guidée par la jouissance, alors que la colère le serait plutôt par la frustration, mais la colère peut rendre méchant et engendrer ainsi de la jouissance, attention !
En bref, le pouvoir peut être néfaste, notamment si celui qui le détient fait ch... les autres et c'est un pouvoir que nous avons tous... vous commencez à comprendre nos problèmes ?
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Rien de nouveau - 24 avril 2015

7 mois sans rubriques ! Mais que se passe-t-il ?
Juste un déménagement et quelques travaux (hum !) qui ont pris tout mon temps, excusez-moi et ce n'est pas fini, mais j'ai décidé (c'est beau, non ?) de consacrer quelques minutes au « temps qui passe ».
Donc, depuis le mois d'août 2014, que s’est-il passé ?
Ha, oui, avant, peut-être voulez-vous savoir vers quel coin ensoleillé nous avons traîné nos savates ? Hé bien, après mures réflexions, nous sommes restés là où nous étions, nous avons juste changé de maison.
Certains ont trouvé cette lubie un peu folle, nous aussi d'ailleurs, mais changement d'herbage réjoui les veaux et finalement le soleil vient naturellement vers nous, c'est une question de réchauffement climatique.
Pourrions-nous dire qu'à part notre déménagement il ne s'est rien passé ?
Nenni !
Quand je regarde autour de moi, je constate quand même qu'il n'y a pas que nous qui avons déménagé ; il y a des heureux et des malheureux ; je parle de nos élus, apparemment il y a eu un beau remue-ménage.
Gauche, droite, droite, gauche, pif ! Paf !...Et maintenant que va-t-il advenir de nous ? Rien de spécial, pourquoi ? Hé bien je vais vous le dire.
Depuis la nuit des temps l'homme se lamente sur son présent, sur l'indiscipline de ses enfants, sur l'avenir incertain et sur la qualité de la vie qui n'est plus ce qu'elle était, mais à part le ciel qui pourrait nous tomber sur la tête qu'avons-nous à craindre puisque nous sommes là ?
Nous profitons d'un monde qui n'a jamais connu une telle évolution technologique, n'est-ce pas exaltant !
Alors, je vous l'avoue, j'en profite.
Ce temps passé à réaliser exclusivement des travaux m'a permis de constater que, comme dans les séries télévisées, on peut impunément sauter quelques épisodes de la vie politique de notre pays sans perdre le fil de l'histoire, car le scénario est toujours le même, se déroulant indéfiniment , depuis la nuit des temps et le peuple, à juste titre, s'en gausse.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Bande de... -24 août 2014

Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige, que le soleil brille, que l'azur soit serein, l'homme reste le pire prédateur de tout ce que porte la terre ; il détruit, pille, viole, torture, asservit ; j'en passe et j'en oublie.
Quel été, quel été !
La météo enregistrée fut la pire de tous les temps connus.
Est-ce pour cela qu'une bande de cinglés entretient la guerre un peu partout et notamment en Orient ? Et qu'une bande de tarés occidentaux attise les feux de façon plus ou moins discrète ?
Il est à noter, quand même, que la majorité des populations n'aspire qu'à une chose : vivre en paix et en harmonie, sans être braquée à tous les coins de rue.
Bon, je ne souhaite pas continuer sur ce ton, mais ça commence à bien faire. Qui arme toutes ces bandes de dégénérés ? Et à qui profite le crime ?
Les échiquiers mondiaux sont-ils réservés à quelques membres occultes des classes dirigeantes ? Je le crains, je le crains. Nous sommes les pions que l'on sacrifie allègrement.
C'est la théorie du grand complot. Je n'y crois pas, bien évidemment, mais je me pose parfois des questions...
Et chez nous ? Comment ça va ?
Bof ! Au plus mal, merci.
Je plaisante, rassurez-vous, tout va bien ; il fait un petit frais, c'est vrai, mais c'est une incitation à se réchauffer, un peu d'exercice fait du bien à notre organisme.
Toutefois, cet été, avec toute cette pluie, il ne fut pas nécessaire d'arroser et il paraît que cette alternance de pluie et de soleil est extrêmement favorable à la qualité du raisin et donc, à terme, à la qualité de nos vins ; voyez, il y a encore de quoi se réjouir et de multiples raisons de faire des fêtes conviviales..
Et, d'ailleurs, rien ne sert d'aller voir ailleurs, l'herbe ne pourra jamais y être plus verte que chez nous !
Restons résolument optimistes
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Frilosité - 24 juin 2014

Avez-vous observé que de nombreuses personnalités, notamment politiques, arborent autour de leur cou des écharpes surdimensionnées ? Seraient-ils tous délicats de la gorge ? Souffriraient-ils tous d'une extrême frilosité ?
Ou alors, c'est une réminiscence monarchique : « ralliez-vous à mon panache blanc », sauf que la blancheur de l'âme de certains laisse à désirer.
Ou alors, c'est une façon de se sentir protégé, comme dans un cocon, ce serait un peu con-con.
Ou alors une sorte de marque de ralliement : « j'en suis » ; quoique actuellement ce serait plus j'essuie, j'efface mes traces.
Pour ma part, j'ai de plus en plus tendance, je l'avoue, à me méfier des membres de la secte des écharpes.
Bon, c'est vrai je vis en Normandie et ici on se méfie de génération en génération, je subis certainement cette influence.
D'ailleurs, quand je vois ce que je vois et que j'entends ce que j'entends, j'ai même un doute sur ma bonne perception de l'environnement, pourtant les médias confirment bien des faits auxquels je ne puis croire d’emblée.
Nos dirigeants politiques auraient, semble-t-il, un problème avec l'argent. Un problème de gestion ? Un problème d'utilisation ? Un problème avec les réalités quotidiennes des citoyens ? Un peu beaucoup de tout ça.
Et aussi, hélas, un gros problème de sincérité !
Un peu comme un enfant gâté qui a tout, mais qui reste insatiable alors que son entourage lui donne tout et n'a plus rien.
Comment faire pour que nos dirigeants politiques prennent réellement conscience des difficultés du peuple ?
Une seule solution pour le simple quidam, s'exprimer par le vote.
Ouais...Ben, justement, quand je vois les derniers résultats, le doute m'étreint.
Et, à propos de trains, nous sommes comme eux, nous ne savons pas si c'est le quai qui est trop étroit ou la locomotive trop large, mais il est sûr que la voie est mal entretenue.
Il y a aussi celui qui part et qui revient et celui qui s'arrête, mais qui continue, on ne sait plus très bien.
Une chose est remarquable, c'est l'ignorance des uns et des autres sur ce qui se passe dans les sphères dont ils sont responsables, c'est incroyable et justement, comme beaucoup, je n'y crois pas.
Enfin, soyons positif, à démêler le vrai du faux de leurs propos, les frileux restent distrayants.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

L'Europe - 24 mai 2014

Une élection peut en cacher une autre, après les municipales qui ont révélé, si besoin était, certaines frustrations, voici les élections européennes ; que se cache-t-il derrière elles ?
Les palabres des uns et des autres ne nous éclairent pas beaucoup, toutefois je suis surpris que des gens qui sont opposés à l'Union européenne se portent candidats pour en être députés, bien qu'il puisse s'agir d'une stratégie pour mieux éparpiller les étoiles du drapeau de cette union, évidemment.
Bref, jour après jour, nous voyons certains de nos hommes et femmes politiques empêtrés dans des affaires louches de corruption dignes de mafieux, étonnons-nous après cela que l'on constate une perte de confiance et qu'il y ait la tentation de se replier sur soi-même.
Le plus étonnant c'est que des électeurs continuent à voter pour ces gens-là qui auraient donc bien tort d'arrêter de se servir dans la caisse sans vergogne.
Et, pendant ce temps-là, dans d'autres pays, plus orientaux, les gouvernements auto proclamés emprisonnent des citoyens qui ont osé danser ou rétablissent la peine de mort pour les enfants à partir de 7 ans ; ce n'est plus de la connerie, c'est du sadisme !
Chez nous, on rabote les quais pour permettre aux nouveaux trains de circuler, car ils sont un poil trop larges pour pouvoir entrer en gare ; c'est quand même moins grave que de trucider son prochain, même si c'est un peu cher comme distraction et j'espère aussi que l'on ne va pas s'apercevoir que cet embonpoint confortable interdit aux trains de se croiser.
Bien ! Ce dimanche 25 mai 2014, il y aura donc les élections européennes et...la fête des Mères.
D'après Wikipédia, les premières traces de célébration en l'honneur des mères sont présentes dans la Grèce antique lors des cérémonies printanières en l'honneur de Rhéa (ou Cybèle), la Grande mère des dieux et notamment mère de Zeus. Ce culte était célébré aux Ides de Mars dans toute l'Asie Mineure. Une fête religieuse romaine célébrait les matrones le 1er mars lors des Matronalia (« matronales »), les matrones étant les divinités de la fertilité et de la fécondité et non des femmes corpulentes d'âge mûr ou des accoucheuses illégales.
Quoi qu'il en soit, dans la France moderne, nous trouvons la trace d'une fête des Mères en 1906 et aussi en 1918, puis l'inscription officielle au calendrier par le régime de Vichy en 1941, histoire sans doute de dynamiser la production d'enfants et de s'octroyer une bonne action, mais, ne l'oublions pas, c'est une fête qui remonte à l'antiquité et sans doute même bien avant.
Conclusion, contrairement à la fête des pères ou des grand-mères, ce n'est pas un événement commercial, mais une célébration de la vie, du printemps, du renouveau par l'intermédiaire de celles qui donnent la vie.
C'est beau, non !?
Alors, ne nous en privons pas, faisons la fête.
Mais, j'y songe, les élections européennes à cette date, est-ce un signe de renaissance ? Ou de re con naissance ?
Et, à défaut de donner la vie, la création de l'Europe n'a-t-elle pas permis de créer des rapprochements amicaux entre des peuples qui entretenaient de vieilles rivalités haineuses destructives.
Alors, oui, je suis pour l'Europe, je vote pour la vie.
Et je ne fais toujours pas de politique.
C'est mon avis sur la vie ça n'engage que moi.

Pâques - 24 avril 2014

Les élections, la guerre, le remaniement du gouvernement, le blocage des prestations sociales, le blocage du montant des retraites et, enfin, Pâques !
Nous prendrait-on pour des cloches ?
Mais qu'est-ce que Pâques ?
A priori, c'est la commémoration, par les chrétiens, de la résurrection de Jésus, fils de Dieu fait homme et mort sur la croix, c'est une histoire qui peut paraître bizarre, mais c'est ce qui se raconte.
Pâques c'est aussi, et avant la fête chrétienne, une fête juive durant laquelle on sacrifie l'agneau que l'on offre à Dieu, à l'origine c'était pour se prémunir contre l'une des plaies d’Égypte, il me semble.
Bon, d'accord, mais en réalité de tout temps, l'homme, même préhistorique, a fêté l'arrivée du printemps, la renaissance de la nature et après les religions sont venues greffer leurs fêtes sur cet événement ; dommage.
Toutefois, l'homme, par la prise de conscience de lui-même, est devenu mystique, c'est-à-dire qu'à partir du moment où il a réalisé qu'il ne comprenait pas, il lui a bien fallu inventer un truc pour expliquer, d'où l'invention des puissances supérieures, des dieux, etc., mais la première religion, si l'on veut, c'est l'animisme, le respect de tout ce qui est vivant dont la nature ; l'homme a très vite ressenti en lui une force existante, répandue partout dans la nature et, se respectant lui-même, il respecta aussi son environnement, l'animiste est le premier écologiste.
Soyons tous des animistes !
Le renouveau, les fleurs qui dispersent leurs couleurs et leurs parfums, les petits oiseaux qui chantent, les hommes heureux de la douceur du temps, ça se fête.
Aaaah, évidemment, il y a toujours les ambitieux, les matérialistes, les envieux, les donneurs de leçons, les égoïstes, les empêcheurs de tourner en rond, les chefaillons qui viennent gâcher la fête et qui n'auront de cesse que lorsqu’ils nous auront entraînés dans leur délire.
Font chier ! comme dirait l'un de nos jeunes sénateurs.
Nous naissons nus, nous mourrons nus, nous venons d'où ? Pour aller où ? C’est angoissant ! Alors entre-deux j'aimerais bien pouvoir flâner tranquillement et profiter en paix du soleil qui brille et de l'eau rafraîchissante du ciel et des rivières.
C'est pourquoi, en cette période de renouveau, je propose de partager nos âmes, vous savez ce machin immatériel qui fait que l'on ressent des choses inexplicables.
Est-ce à dire que l'on va pouvoir vivre de l'air et du beau temps ?
Que nenni, il faut souffrir pour être beau.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Théorie du genre - 24 février 2014

 Qu'est-ce que c'est que ce truc-là : la « théorie du genre » ?

En réalité, au départ, une simple étude sur les différences, ou pas, entre un homme et une femme.

Pourquoi existe-t-il, ou pas, des inégalités entre hommes et femmes ?

Puis, la théorie voudrait qu'il n'y ait plus de différences : nous sommes tous pareils, toutes les tendances sexuelles se valent, etc.

Bon, vous me connaissez, je ne suis pas contrariant, je suis pour que chacun vive à sa façon tant que c'est son désir réel ou plutôt son ressenti physique, physiologique, biologique, psychologique, bref, son ressenti.

Vivre en harmonie avec soi-même, accepté par tous, c'est l'idéal.

Suis-je d'accord pour que mon mode de vie puisse, d'une façon quelconque, être sanctionné par la société ?

Ben, non, évidemment.

En quoi le fait que je sois homme, femme, brun, blond, noir, jaune, blanc pourrait-il décider de ma vie ; en voilà une idée !

Pourquoi viendrait-on me reprocher d'être ce que je suis, tel que je suis né.

Bien, vous voyez c'est très simple et ça ne casse pas trois pattes à un canard, c'est une évidence de vie, une sorte de Lapalissade.

Oui, mais, comme des inégalités ont été, au fil des siècles, mises en places par les coutumes, les sociétés, les plus forts, les plus dominateurs, les despotes, les tyrans, les religions, et comme ça continue, il est apparu qu'il serait peut-être opportun de rappeler à nos chers écoliers, ces principes de vie, de base, que sont l'égalité entre tous et le respect de la liberté de chacun.

Aïe, aïe,aïe ! Ça bouscule !

Quelqu'un me disait, il y a déjà quelque temps : « Dans la vie, il y a les dominants et les dominés, je préfère être dans la catégorie des dominants ».

Bien sûr, bien sûr, et il vaut mieux être dans les dirigeants que dans les dirigés...j'ai failli écrire digérés et ce n'était pas idiot, car les dominés, sont arrangés aux petits oignons par les dominants, cuits à petit feu, croqués, digérés et quand ils ressortent ça ne sent pas bon pour eux.

Il faut que ça cesse !

Toutefois, j'ai vu sur un livre destiné aux petits enfants, une sorte d'aide pédagogique pour les professeurs des écoles, que, nus, nous sommes différents les uns des autres ; vous me direz que montrer des gens nus aux petits enfants, ça pourrait leur donner des idées...Eh bien, c'est justement fait pour ça ; que les petits enfants parlent entre eux, avec leur fragile innocence c'est naturel, mais avec un adulte...hum, ça peut perturber.

Enfant, j'eusse été très étonné qu'un livre de la sorte circule ouvertement sur nos bureaux, sous le manteau oui, mais sur le conseil du professeur, certainement pas.

Donc, il s'agit de faire prendre conscience aux enfants, que nous naissons nus et mourons nus et qu'entre ces deux moments, nous sommes nus sous nos vêtements, tous égaux.

Ça me semble un concept un peu concon et dangereux permettant à un enseignant aux tendances libertines ou déviantes, ça peut exister, de pervertir l'esprit malléable des enfants.

Bref, prudence, prudence.

Et pendant que nos politiques nous amusent avec ces crétineries risquées, les choses sérieuses n'avancent pas, entre atermoiements, tergiversations, procrastinations, reculades et renoncements, les réformes tant attendues pour faire des économies, relancer nos industries, créer de l'emploi, engendrer l'espoir ne sont pas visibles.

Cela dit, on peut toujours affirmer les pires inepties, la nature aura toujours le dernier mot, les femmes et les hommes continueront à peupler la terre.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Bonne Année 2014 - 24 Janvier 2014

Une poupée à l'image, grandeur nature, d'une star du porno a été volée dans le comté de l'India-river, en Floride. La star est fort jolie et la poupée est équipée en divers endroits d'appareils vibrants, coût de l'objet dans les 300$ ; le voleur est introuvable, je suppose qu'il est doit être occupé.
En Allemagne, le parti « pour le travail, l'État de droit, la protection des animaux, l'encouragement des élites et la démocratie participative » a eu une initiative bienheureuse : pour animer sa campagne électorale, il diffuse sur son site internet, en guise d'accueil, un petit film montant les ébats d'un couple qui manifeste son plaisir par des gémissements.
En France, le Président de la République ferait de petites escapades pour aller retrouver une nouvelle maîtresse, délaissant celle de l'Elysée ; son garde du corps, mis dans la confidence, ce qui apparaît normal comme garde du corps du Président normal, apporterait les croissants lors du réveil matinal, c'est très délicat de sa part.
Ce vent de folie gonfle d'espoir ce début d'année 2014, car, quoi de plus enivrant que l'amour.
Des particules de substances aphrodisiaques doivent certainement circuler dans l'air ambiant, doit-on considérer cela comme une pollution ou comme un bienfait ?
Chez nous, dans les 36682 communes de France, les élections municipales se dérouleront à la fin du mois de mars, d'ici là que va-t-il se passer ?
La campagne électorale sera-t-elle animée par des esprits lubriques, nous parlera-t-on du rapprochement des partis, de fusion des programmes ? Je me le demande.
Venus, Turan, Inanna, Ishtar ou Aphrodite, c'est toujours l'amour et l'amour est toujours une déesse, mais pas seulement de l'amour, elle l'est aussi de la fécondité et de la santé. A propos de Turan il ne s'agit pas d'une erreur, il ne s'agit pas du footballeur, mais bien de la déesse étrusque bienveillante.
Oui, notre déesse est gentille et voluptueuse, c'est normal, c'est l'amour.
A propos de Déesse, c'est une présidente qui a été élue pour voler au secours de la Centrafrique, Catherine Samba-Panza !
Je souhaite à la nouvelle présidente d'avoir la baraka pour faire fraterniser les Seleka et les anti-balaka.
Et, abracadabra ! Que 2014 soit une année d'amour.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Fraternité - 24 décembre 2013

Nelson Mandela est décédé, paix à son âme qu'il avait grande.
Quelle force de caractère ! Quelle persévérance !
Quel espoir en l'humain !
La vie de cet homme à la destinée hors du commun peut susciter en nous quelques méditations.
Vous êtes dès votre naissance considéré par d'autres comme étant de moindre valeur, mais vous décidez, néanmoins, contre vents et marées, de faire valoir votre égalité ; pour cela vous êtes maltraité, emprisonné durant 27 années.
Libéré, Nelson Mandela préconise aussitôt la réconciliation avec ses anciens tortionnaires, il devient président de son pays où il installe une vraie démocratie.
Heureusement que cette histoire s'est déroulée sous nos yeux, sinon nous n'y aurions pas cru.
Pour être complet, il faut ajouter que Nelson a rejeté les honneurs faits à sa personne, qu'après sa libération il a vécu dans la simplicité, qu'il a toujours montré une grande compréhension et une grande compassion envers tous, qu'après 5 ans de présidence il a passé la main, jugeant qu'il était plus sage de laisser le pouvoir à des gens plus jeunes pour assurer ainsi une continuité dans le processus de disparition de l'apartheid.
Et, mission accomplie, il est mort à l'âge de 95 ans.
Bien évidemment, le cheminement vers cet aboutissement fut extrêmement difficile et le commun des mortels aurait renoncé rapidement..
Alors, que sont nos petites misères comparées à tout cela ?
Je dirais qu'elles sont très importantes, car c'est justement en s'intéressant aux difficultés quotidiennes de chacun que Rolihlahla Mandela, devenu Nelson Mandela par la grâce de son institutrice, a avancé.
Un proverbe "Unbutu" l'a inspiré : " un individu est un individu à cause des autres individus " et disait-il : "  les gens sont des êtres humains, produits par la société dans laquelle ils vivent. Vous encouragez les gens en voyant ce qui est bon en eux ." et aussi : "Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de la haine, des préjugés et de l'étroitesse d'esprit " et "La pauvreté massive et les inégalités obscènes sont des fléaux de notre époque qui ont leur place à côté de l'esclavage et de l'apartheid " et " Vaincre la pauvreté n'est pas un geste de charité. C'est un acte de justice."
Ça me fait penser à une maxime que je lis sur les frontons de nos monuments publics "Liberté, Egalité, Fraternité" dont la mise en œuvre dans notre monde individualiste n'est pas chose aisée.
Bon, tout le monde n'est pas Nelson Mandela et personne ne nous oblige à faire de grandes choses, mais rien ne nous empêche d'être bienveillant avec notre entourage, ce serait déjà un bon début.
Et, oui, la haine est destructrice, pour soi-même d'abord et le pardon est salvateur, pour soi-même d'abord.
Notre sérénité déborde immanquablement sur nos proches au même titre que notre colère, si mauvaise conseillère et les successeurs de Nelson Mandela ont encore bien du travail
En réalité, ces réflexions m'ont entraîné bien plus loin, vers des régions intuitives que notre monde moderne a, hélas, oubliées, mais c'est une autre histoire.
Joyeux Noël !
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Sufficit -24 novembre 2013

Holà ! Ça suffit !
Liberté, Egalité, Fraternité, telle est la devise de notre république et, ma foi, j'y adhère complètement, sans restriction, aucune.
De quoi s'agit-il ?
Des images et des propos pour le moins tendancieux, divulgués sur le net, dans des journaux et sur les ondes dégradant non seulement l'image d'une personne, mais par assimilation aussi celle de tous les individus pouvant, à tort ou à raison, être jugés ressembler à la personne visée.
Des incitations très nettes à la haine faites pour exacerber "notre autoprotection", notre xénophobie latente.
Nous ne sommes pas obligés d'aimer toutes les cultures, toutes les idéologies et rien n'empêche dans commenter les travers et les dérives ou les absurdités...
Mais attention aux dérives qui sous des formes diverses nous entraîne, à notre insu, à devenir racistes, je pense notamment aux attaques répétées qui apparaissent sur le web et aux "blagues" pas toujours innocentes que l'on reçoit par courriel.
Le racisme c'est de la connerie, tout le monde est d'accord là-dessus, sauf les racistes bien entendu (comme aurait dit Brassens).
En début de ce monologue, je posais la question "de quoi s'agit-il ?", mais j'aurais pu dire"que constatons-nous ?", ou j'aurais aussi pu demander "qu'est-ce que les cons tâtent en nous ?" et j'aurais répondu : nos faiblesses.
Bref, l'orage semble pour l'instant apaisé, jusqu'au prochain, restons vigilants.
Tout ça ne va pas nous faire oublier les divers mouvements de révolte dus à une sorte de "ras-le-bol général" ; je dois dire que notre premier ministre a bien rattrapé le coup, ce n'est pas mal, il a su, par une idée simple : remettre à plat toute la fiscalité, rien que ça, redonner l'espoir à toute la nation.
M'ouais, seulement, il va vite falloir un résultat pour que le flan ne retombe pas.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi
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N'est pas saint qui veut - 1er novembre 2013

 J'ai lu et entendu le 30 octobre 2013 que l’Élysée fouillerait dans les archives protégées de la présidence précédente !

Archives protégées ?! Qu'es aquo ?

Comment pourrait-il y avoir des secrets sur les actions d'un président à l'autre ? Comment gouverner, alors ?!

Et qui aurait l'idée de laisser des traces de ses magouilles dans les placards de son successeur  ?

Bref ! Ce n'est pas clair et, franchement, il y a des moments où la réalité dépasse la fiction et crée mon affliction.

J'ai bien l'impression que toutes les règles sont à revoir chez nos gouvernants.

J'ai déjà crié, hélas, dans le désert, que gérer un pays ce n'est pas créer des taxes, mais consiste à s'attaquer à la racine du mal en commençant par supprimer, notamment, tous les abus, les passe-droits et autres avantages exorbitants et dérives connexes.

Un exemple, pourquoi les députés touchent-ils des primes en plus de leurs indemnités ?

Pour payer leur assistant parlementaire ; ah, bon, les assistants ne pourraient-ils pas être salariés directement par l'Etat ?

L'indemnité nette du député atteint près de 5200€, ce n'est déjà pas mal, ensuite s'ajoute 6400€ pour les frais de représentation, bigre ! Voilà déjà 11600€ de partis, concernant les frais n'oublions pas que le député voyage à l'œil en 1re classe sur le réseau SNCF et dispose de gratuités sur le réseau aérien, mais il est vrai qu'il faut se loger à Paris, quant à la bouffe, quoi que l'on fasse il faut bien se nourrir, mais, cela dit, je ne trouve pas que la gratuité du transport soit anormale, car les déplacements sont nécessaires à la fonction.

Après, pour payer les collaborateurs divers, il lui est encore versé une indemnité de 9000€, la vache !

Quand on sait que certains élus embauchent leurs proches à ne rien faire, on se pose des questions sur ce système pervers. Le népotisme, particulièrement durant la durée de ce statut d'élu, n'est pas acceptable, c'est la porte ouverte à tous les abus.

Le nombre de députés fréquentant l'hémicycle est aussi très fluctuant, on se dit que si le pauvre quidam était absent de son travail aussi souvent, il ne serait pas payé et aurait de gros, gros problèmes.

Je passe sous silence le député européen.

Bon, je caricature un peu, mais il y a, en France, 577 députés et 348 sénateurs qui touchent approximativement la même chose que le député, sauf que le montant de leurs indemnités, liées à d'autres mandats, se trouvent limitées ; 577+348=925 élus x 12000€=11 100 000€ x 12 mois=133 200 000€/an hors salaires des éventuels collaborateurs [familiaux ?] et si nous diminuions de moitié ce nombre débilitant d'élus ça permettrait peut-être d'éviter quelques taxes.

Vous me direz : c'est une goutte d'eau sur un budget qui prévoit un produit intérieur brut de 2.117 milliards et c'est vrai, mais ce serait un moyen de montrer que l'Etat peut gérer nos finances autrement qu'en piquant constamment dans nos porte-monnaies.

Quel rapport me direz-vous avec le début de ce texte ?

Aucun, c'est juste pour dire que pendant que tout ce beau monde joue avec nos impôts et se livre à une guerre intestine, le pays a la colique et ne reçoit pour soins que des saignées qui le mettent encore plus à plat.

Ce n'est pas très malin.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

La faute à qui ? - 24 octobre 2013

Les dépenses de l'Etat ne diminuent pas, à qui la faute ? Les impôts du citoyen augmentent, à qui la faute ?
Pas à moi en tous les cas !
C'est pourtant simple, il faut une vision d'avenir. Ça tombe bien c'est la spécialité de cette chronique.
Le premier truc, c'est de redonner l'espoir aux Français ; comment ? Tout simplement en montrant où l'on va et par quel chemin et en faisant ratifier le programme par un référendum ce qui évitera que des élus nantis défendent leur bout de gras au lieu de notre viande.
Bla, bla, bla, c'est le discours politique habituel.
Peut-être, mais c'est ce qui va se produire ; quand ? Je ne le sais, demain ou quand les poules auront des dents.
Bon, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise, nous avons de belles nouvelles voitures de police, anonymes, équipées de radar pour piéger l'automobiliste vache à lait, que demander de plus ?
Ne soyons pas trop exigeants. Que voulez-vous de plus ? Du boulot ? Du pouvoir d'achat ? Et puis quoi encore !
J'ai vu, pas plus tard qu'hier, que les recherches avançaient sur la voiture ayant pour combustible de l'hydrogène ; c'est bien, c'est une demande que j'avais formulée dans un « avis sur la vie » en juillet 2008 ; ça me fait plaisir d'être écouté de temps en temps et de constater que je ne prêche pas dans le vide. C'est un petit long, bien sûr, mais en 2017 ça devrait être prêt.
Comme quoi, la maxime : « tout vient à point à qui sait attendre » se vérifie.
Tiens, justement, 2017, n'est-ce pas la date de nos prochaines échéances présidentielles ?
Hélas, dans ma boule de cristal, au niveau politique, je n'attends pas grand monde pour mettre mes propositions en chantier, je vois bien une personne qui avance un peu seule, peu reconnue pour le moment, elle paraît sympathique et pleine de bonne volonté, mais aura-t-elle la « niaque » suffisante ? Je glisse son nom dans une enveloppe pour que vous puissiez constater dans 4 ans qu'une fois de plus, je ne me trompais pas.
Vous observerez que je n'aborde pas les sujets à la mode, guerre en Syrie, sans-papiers, expulsions...
Ho, quand même, je dois dire que j'ai été surpris que notre Président de la République prenne la parole au sujet de l'expulsion de cette famille Kosovare qui serait italienne, mais vivrait en France et dont l'histoire n'est pas très claire ; ne s'est-il pas fourvoyé ? S'il commente les difficultés que rencontrent quelques Français, il va avoir du travail.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Ça continue - 24 septembre 2013

Et voilà la taxe carbone est en route ! Les impôts, les taxes ! Zut ! Flûte ! Crotte ! C'est trop !
Et pendant ce temps là ces messieurs dames continuent à mener grand train.
Il y a des moments où je me demande si je ne vais pas me reconvertir dans l'anarchie, mais, à mon avis, tout ça va se payer au prix fort lors des prochaines élections.
Vous me direz que bon, la réaction est compréhensible, mais de gauche ou de droite de toute façon c'est pareil.
Certes, c'est pareil, mais faire perdre ceux qui nous affament, ça soulage.
Bien, je ne vais pas passer ma vie là-dessus, il y a des choses plus intéressantes à commenter.
Ainsi nous avons appris dernièrement que l'épreuve la plus difficile lors du concours (à Toulouse) pour prétendre à devenir avocat est de ne pas avoir de pose pipi, étonnant non ? Est-ce pour mieux apprécier plus tard les effets d'un harcèlement ?
Et, à propos de harcèlement, j'aimerais savoir qui harcèle qui en Syrie.
Voilà un pays où le dictateur régnait tranquillement après avoir consolidé son parti unique et installer sa famille dans l'économie du pays, au détriment des opposants et notamment des extrémistes.
Cela dit, souvenons-nous que, durant la première moitié du 20é siècle, la Syrie était sous protectorat Français et après avoir échoué dans la construction d'un grand Liban, nous sommes partis laissant le pays se dépatouiller avec ses voisins dont le nouvel Israël, j'écris « nouvel », car n'oublions pas que la première mention d’Israël apparaît sur la stèle de Mérenptah, vers 1200 av J.C., justement pour célébrer sa destruction.
Bref ! Depuis 1946, la Syrie vit sa vie et voilà qu'en 2010 un vent de liberté souffle sur les pays du Maghreb et, manque de chance, les dirigeants de la Syrie qui pensaient y échapper n'ont rien anticipé et doivent faire face à une vague de révolte qu'ils tentent d'arrêter par les armes.
Ce n'est pas bien, d'accord, mais la surprise c'est que les révoltés sont bien armés et qu'il y a parmi eux beaucoup d'extrémistes qui n'attendent que l'occasion d'établir une nouvelle dictature féroce et obscurantiste.
D'où viennent toutes ces armes ? Qui paye ? Comment quelques rebelles peuvent-ils tenir face à l'armée organisée du pays ? Autant de questions sans réponses.
Et que fait La France qui a vite oublié qu'elle n'est pas innocente ? Elle condamne, joue à l'apprenti sorcier, donne des leçons et se propose même d'aller larguer quelques bombes pour punir le méchant dictateur ; juste quelques morts innocents en plus, car les frappes « chirurgicales » n'existent que dans la fiction.
De quoi je me mêle ?! N'y a-t-il donc pas assez de problèmes à régler en France et l'argent des bombes ne pourrait-il pas être mieux utilisé chez nous ?
La Syrie fait-elle partie des gros producteurs de pétrole ? Non.
La Syrie est-ce le Mali ? Non...pas encore.
Bon, alors pourquoi la Syrie ? Quel est l'intérêt pour tous les pays de crier haro sur le baudet ?
Il semble que la Syrie dispose d'une situation géographique exceptionnelle, qu'elle soit le carrefour de plusieurs mondes : la Méditerranée, la Mésopotamie, la Perse, l'Inde, l'Asie Mineure, les terres du Caucase et l'Égypte ; est-ce un enjeu suffisant pour attirer toutes les convoitises ?
Le fait de nous mêler de ce conflit va-t-il renforcer notre image vis-à-vis d'autres pays ? Cela doit-il, à terme, nous rapporter quelque chose ? Mystère (encore un), nous ne connaîtrons jamais le dessous de cartes.
Bon, pendant ce temps là on ne parle pas d'autre chose, c'est déjà un point de gagné.
Mais, dans tous les cas, je ne pense pas que ça diminue les taxes que l'on nous impose.
Scrogneugneu !
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Alerte - 24 août 2013

Attention ! Attention !
Nos démocraties n'en sont plus, sous prétexte d'ultra sécurité, enfin, il semble, car bien sûr, nous ne sommes pas dans le secret des dieux, des journalistes ou des proches de journalistes sont questionnés de façon arbitraire, mais pas arrêtés, juste inquiétés puis relâchés, comment cela s'appelle-t-il ? De l'intimidation.
Bouh ! C'est laid ! Et digne d'une dictature.
Mais croyez-vous vraiment que cela ait lieu dans des pays sous dictature ? Non, car là, la répression serait plus radicale ; maigre consolation quand on sait que ce dont je vous parle se passe chez nous, en Europe.
L'Europe, l'Europe, l'Europe, il ne sert à rien de sauter comme un cabri, disait le Général de Gaulle, il faut prendre les choses comme elles sont ; comment sont-elles ?
Eh bien, nos autorités auraient tendance à justifier l’injustifiable et à nier certaines évidences, à taxer, à ponctionner et à spolier la majorité des peuples. Tiens, à ce propos, il paraît que la taxe « carbone » refait surface, décidément, quelle imagination pour sortir le pays du marasme !
Pendant ce temps-là, chacun fait sa petite cuisine, sans s'occuper des copains ; bref c'est du chacun pour soi, les riches deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres et quand j’entends un député dire que ses revenus son insuffisants (plus de 10000€ par mois), je pense qu'il mériterait de se retrouver immédiatement au SMIC.
Bon, cela dit, ce n'est pas nouveau, ça existe depuis que le monde est monde, c'est la loi du plus fort qui prévaut.
Mais, en démocratie, la loi du plus fort, c'est le peuple, enfin, théoriquement, car une fois les élections passées, les promesses qui n'engagent que ceux qui y croient, c'est à dire nous, se transforment, comme par enchantement, en mensonges.
Il y a le mensonge pernicieux, le mensonge joyeux, le mensonge par omission et le mensonge électoral, ce dernier peut-être fait par ignorance, par méconnaissance, par avidité, par amnésie ou par optimisme fugitif délirant.
Toutefois, je pense que beaucoup de nos politiques sont sincères et dévoués, mais je regrette qu'une fois aux affaires ils propagent un pessimisme constant et promulguent des lois scélérates qui découragent nos ambitions.
Fi des oiseaux de mauvais augure ! Allons de l'avant ! Arrêtons de subir ! Agissons ! Halte aux barrages juridiques !
Entreprenons !
Les Chinois, toujours en pleine expansion, ne manquent pas d'idées, ainsi l'un d'eux a créé un zoo, mais, manquant d'animaux sauvages, il faisait passer certaines bêtes pour d'autres jusqu'à ce qu'un enfant de 6 ans s'étonne d'entendre un lion aboyer ; bien que ne l'approuvant pas, je salue l'imagination de cet entrepreneur qui d'ailleurs aurait pu continuer à exercer en intitulant son entreprise « zoo des ressemblances », en tous les cas, il m'a bien amusé.
Quant au courage, Bradley Manning que certains considèrent comme un traître pour avoir dénoncé des actes barbares commis tant en Irak qu'en Afghanistan (mais aussi, qu'allions-nous faire dans cette galère, la guerre en soi ne peut être que cruelle et injuste) a démontré qu'il « en » avait, ce qui ne l'empêche pas de vouloir s'appeler dorénavant Chelsea ; la sensibilité féminine serait-elle plus humaine que la masculine ?
Bref, ces histoires m'incitent encore plus à me méfier des apparences et des attitudes parfois trompeuses, car au bal masqué, ohé, ohé, comme le dit la « compagnie créole », pendant toute l'année, on prépare les costumes, Dracula, Casanova, cendrillon, Napoléon, devinez qui je suis, derrière mon loup je fais ce qui me plaît, tout est permis.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Diminutions - 24 juillet 2013

Il est question d'aller moins vite.
Vitesse autorisée baissant partout de 10 km/heure ; en ville 30km/heure, les vélos vont devoir ralentir !
Sur autoroute la limitation à 120km/heure, ça me paraît un peu lent et 80km/heure sur les routes carrément abusif.
Les voitures sont de plus en plus sures et les routes bien entretenues.
Les causes des accidents sont multiples et bien souvent uniquement dues à des « erreurs » des chauffeurs ou à la faute à « pas de chance ».
Bien entendu il faut toujours tendre vers plus de sécurité et rester vigilants...et la voiture, bien que pratique, pouvant être dangereuse, pourquoi ne pas envisager sa suppression, mais au profit de quoi ? Les transports en commun ne sont pas prêts à recevoir une nouvelle masse de voyageurs et ils sont trop chers, alors, quoi ? Réutiliser tranquillement les routes départementales ?
Je ne sais plus quoi penser !
Et, à propos de diminutions, j'attends toujours la fusion des départements dans les régions, la forte réduction des représentants du peuple, de leurs salaires exorbitants et de leurs avantages iniques (retraites).
Le pouvoir, c'est le devoir.
Le devoir, notamment, d'appliquer à soi-même les mesures que l'on voudrait plutôt imposer à d'autres.
Car, finalement, en faisant les réformes dans les hautes sphères, il est bien possible que l'on s’aperçoive que les économies ainsi réalisées permettent de réduire les impôts des citoyens, ce qui ne serait que justice.
Vous souvenez-vous de la pétition « Moraliser la vie publique, une urgence ! » hé bien, plus de 58000 personnes l'ont déjà signée. C'est beaucoup, mais en même temps c'est peu en rapport du nombre des indignés ; je suis déçu.
Enfin, apparemment, il y a plus grave dans la vie, par exemple : qui a menti ?
A tous propos nos hommes politiques, droite et gauche confondues dans un même élan, mentent avec un aplomb confondant, puis s'embrouillent dans leurs histoires et de ces eaux troubles jaillit parfois une vérité, ô combien, fascinante, nous laissant incrédules.
En tous les cas, c'est gentil de nous distraire ainsi durant nos vacances.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

J'ai un doute – 24/06/2013

 Je passe ma vie à douter.

Il y en a qui ne doute de rien, ce n'est pas mon cas.

Depuis ma naissance, j'ai un doute .

Dès la sortie du ventre maternel je me suis questionné : où suis-je ? Qui suis-je ? Que fais-je ici ?

Confortablement installé dans mon liquide amniotique, je ne me posais pas autant de questions ; toutefois, suçant tranquillement mon pouce, je méditais, déjà, sur les raisons de l'existence.

Projeté dans un monde nouveau, extrêmement agressif, profondément et durablement troublé dans ma méditation, je dus me protéger et créer une nouvelle protection, coquille virtuelle rejetant au loin les attaques en tous genres.

Le temps a passé, j'ai appris, durant ma vie, à marcher, à travailler, à souffrir, à aimer et je lutte toujours, quoique plus sereinement, car j'agis par réflexe, parant maintenant tous les coups sans même y réfléchir.

Ainsi, cette détente me laisse le loisir de revenir à mes questions premières : où suis-je ? Qui suis-je ? Pourquoi suis-je ? Que fais-je ici ?

Existe-t-il seulement une réponse certaine ?

Oui ! Je suis issu de la fornication ! Mais au-delà de ce triste constat y a-t-il en moi quelque chose de noble, né de cet acte bestial ?

Je dois dire que lorsque je contemple l'excitation qui habite les résidents de notre planète, je reste perplexe.

Pourquoi, mais pourquoi, chercher à posséder toujours plus, à dominer, à créer, à jouir, à goûter, bref, à vivre, si ce n'est parce que, au fond de soi, l'on ressent ce besoin, mais, pourquoi ?

Peut-être suis-je le maillon d'une chaîne virtuelle, ésotérique.

Si j'observe mon environnement, je vois bien l'arbre voisin, le cimetière mitoyen qui me rappelle constamment la précarité de ma situation et, en élevant le regard, je vois le ciel, les nuages, parfois le soleil et le soir, la lune et d'autres astres et une foultitude d'étoiles et mon regard exacerbé capte aussi des lieux encore plus lointains, faisant ressembler ma planète, la terre, à une poussière et moi à un misérable rien du tout.

Cela m'intrigue, je l'avoue.

D'autres terriens, en désarroi contemplatif, ont inventé divers dieux et religions faisant le lien avec l'effarant univers insondable, expliquant par des contes, peu crédibles, la création de l'homme, de la terre et de ce monde impermanent...

Bon, admettons que je ne sois pas le fils de qui on a l'impression que je suis, admettons que j'ai en moi une parcelle de divin (et certainement aussi du vin), admettons qu'il y ait un Dieu universel, qu'il soit même identique à celui inventé par les hommes désemparés, une sorte d'énorme géant qui aurait pétri la terre et d'un souffle aurait donné la vie à des statuettes à son image, et admettons que du haut de son nuage il contemple son œuvre, carrément imparfaite, en se demandant où et comment , lui, le Dieu tout puissant, il a bien pu commettre une erreur ?

Mais, si ce n'était pas une erreur et qu'il soit lui-même une créature de Dieu ? Je veux dire un autre Dieu, encore plus grand ?

Pourquoi faut-il que le mal existe pour que soit aussi le bien ? Ainsi le mâle et la femelle?

Quel serait alors le dessein de ces funestes créatures s'amusant avec nos destins ?

Et d'où viennent ces dieux, à part de nos imaginations affolées par tant d’immensités ?

Et qu'y avait-il avant ? C'est bien beau de dire, il y avait ci, il y avait ça, ça c'est créé comme-ci et comme ça, mais qu'y avait-il avant ? Et que fais-je ici bas ? Dois-je renaître ailleurs ? Ou renaître autrement ? Et à quoi servira mon expérience terrestre ?

Une dernière question : pourquoi toujours essayer d'expliquer l'incompréhensible avec des histoires aussi peu crédibles que les contes de Grimm, d'Andersen et Perrault ?

L'humain est un être vraiment curieux, mais je ne suis pas mécontent d'en être un.

C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Sommes-nous des éponges ? - 24 mai 2013

Sommes-nous des éponges ?
C'est une question qui peut paraître idiote, car , en effet, ais-je une tête d'éponge ?
Bien sûr que non !
Toutefois, il est vrai que tout ce et ceux qui passent dans notre vie laissent une trace en nous et que nous en soyons conscients ou pas ne change rien à l'affaire.
Nous sommes imprégnés malgré nous, nous aspirons, nous filtrons, nous rejetons, mais il reste toujours quelque chose.
Est-ce bien ? Est-ce mal ? Chacun se débrouille avec ça, c'est l'expérience.
Après, ce que nous en faisons est le résultat d'une alchimie toute personnelle.
Et, vous-même, faites attention, tous les jours, vous allez, malgré vous, influencer la vie des personnes que vous croiserez, votre responsabilité est grande.
Eh oui, notre comportement a un impact sur notre environnement.
Je trouve assez plaisant que je puisse ainsi marquer la vie de mes concitoyens, que la moindre de mes bêtises ait, fatalement, des répercussions.
D'où viens-je, qui suis-je, que fais-je, où vais-je ?
A ces questions existentialistes, j'ajoute : imprégné-je ?
Immanquablement ! Il ne peut en être autrement ! Le moindre vermisseau lui-même, le plus petit brin d'herbe ont sur nous une influence et le moindre de nos pas pèse lourd dans leur vie.
Aaaah, oui, Mesdames et Messieurs, nos actes peuvent être graves de conséquences.
Regardons plus loin que le bout de notre nez.
Ne croyons pas pouvoir enfouir à cinq cents mètres sous terre, tels des déchets nucléaires, les catastrophes potentielles de nos inconséquences.
Je m'endette, je ne peux rembourser : j'éponge, la dette est effacée ; pouf, pouf !
Je commets un crime, je suis condamné : j'éponge, je suis gracié ; pif,paf !
Mais où donc ont disparu mes erreurs passées ? Pas ici, pas là non plus ? Non, regardez, tout est dans l'éponge !
Que se passe-t-il si je presse l'éponge ? Croyez-vous que ma vie va en dégouliner ?
Point du tout, car je suis l'éponge, constituée de tous mes événements passés.
Ce que vous extirperez sera l'essence de ma vie, laissant en moi un vide sidéral.
Songez-y, Mesdames et Messieurs les dirigeants de la terre, trop pressée, l'éponge devient sèche et tombe en poussière, transformant vos royaumes en déserts.
Et évitez les potions amères qui nous empoisonnent, gorgez-nous plutôt d'eau chaude douce et limpide.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Il y a beaucoup à dire - 27 avril 2013

Il y a beaucoup à dire sur les cinglés qui font péter des bombes dans les foules ; beaucoup à dire sur nos élus qui mentent éhontément à tous propos ; beaucoup à dire sur la mauvaise foi des uns et des autres ; beaucoup à dire sur les extrémistes de tous bords ; beaucoup à dire sur ceux qui au nom d'une morale personnelle tentent d'imposer leur mode de vie à toute la population sans tenir compte des différences physiques, psychiques, physiologiques, philosophiques ; beaucoup à dire sur les intolérants ; beaucoup à dire sur les exploiteurs du monde démuni ; beaucoup à dire sur ceux qui abaissent, qui méprisent ; beaucoup à dire sur ceux qui détruisent la terre, qui la vident de sa substance, la laissant exsangue ; beaucoup à dire sur ceux qui jettent les papiers par terre, qui balancent leurs détritus dans l'univers ; beaucoup à dire sur ceux qui ne respectent pas les résultats issus des urnes ; beaucoup à dire sur les perdants revanchards ; beaucoup à dire sur les gagnants endormis ; beaucoup à dire sur les imprévoyants, sur les inconséquents ; beaucoup à dire sur les défaitistes chroniques.
Il y a encore plus à dire sur ceux qui font le bien sans rien dire, les méconnus de l'entre-aide, les saints Bernard porteurs d'espoir, attention je ne parle pas du tonnelet de rhum accroché au collier de cette force de la nature, non, j'évoque bien ces supers héros laissant derrière eux un sillage de lumière dans les cœurs.
Donc, c'est vrai, il y aurait beaucoup à dire.
Mais, ainsi va le monde, de tout temps, il a porté en son sein des personnages avides de pouvoirs, de biens et de domination, mais cela n'empêche pas l'expansion des galaxies et des peuples.
Mais il y a une chose que je dois avouer, ça m'arrive rarement, j'ai signé une pétition, oui monsieur, oui madame.(moraliser-la-vie-publique-une-urgence)
Il est vrai qu'elle recoupe en de nombreux points ce que je réclame depuis longtemps pour remettre un peu d'ordre dans notre espace politique : l'égalité de traitement entre l'élu et le simple citoyen, la réduction du nombre de circonscriptions et par là du nombre de représentants du peuple, l'impossibilité de cumuler certains mandats, le non-versement des indemnités parlementaires pour ceux qui ne siègent pas, etc.,car trop, c'est trop...et tropicaux pour ceux qui en profitent.
Ce serait un grand bien pour les finances du pays et un grand bien pour la notoriété de la majorité des élus qui sont des personnes honnêtes, passionnées et dévouées au bien commun.
Et ce serait un vrai renouveau, un souffle de fraîcheur ; donc j'attends le referendum.
Il faut encourager ceux qui entreprennent et ceux qui réussissent et féliciter les dynamiseurs et non les dynamiteurs, ceux qui vont de l'avant, facilitons la vie des créateurs.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Le temps est long - 24 mars 2013

Un mois est vite passé et pourtant le temps paraît long surtout quand il ne se passe rien.
Je ne parle pas des non-événements politiques, tous complètement nuls et archi-prévisibles.
Il n'y a vraiment pas de quoi être étonnés et d'ailleurs nous ne le sommes pas.
Pas étonnés, mais déçus quand même, pas beaucoup, car nous ne nous attendions pas tellement à ce que les promesses soient tenues, mais, bon, on rêve toujours un peu.
Il y a, toutefois, quelque chose qui me déçoit beaucoup, c'est l'arrivée tardive du printemps.
Il fait froid , il pleut, il neige.
Il fut impossible de se déplacer durant plusieurs jours et il y a encore des tas de neige sur le bord des routes...en Normandie, à la fin du mois de mars !
Inutile de vous dire que la facture du chauffage est lourde ; enfin, heureusement, bonne nouvelle, hier j'ai vu une fourmi qui se promenait sur le carrelage de la cuisine et ce matin, dans le jardin, un bourdon est passé en rase-motte ; ce sont des signes qui ne trompent pas, même les animaux en ont assez !
Je me demande ce que font les politiques, mon beau-frère dit que ce n'est pas de leur faute, mais ce n'est pas prouvé, tous les moyens sont bons pour détourner l'attention.
Prenez le précédent Président de la République, qu'a-t-il trouvé pour se faire remarquer, un voyage en Libye, non, une mise en examen, oui.
Je ne suis pas raciste, mais je me demande si le juge n'est pas allé un peu vite, d'ailleurs tous les gens de l'entourage du monsieur concerné le disent, c'est inique.
Bon, regardons à gauche, ah tiens, même punition pour le (ex) ministre des Finances, au moins ça fait l'équilibre.
C'est fou, quand même, le pouvoir d'un juge. On dit qu'il est seul pour décider ainsi du sort du malheureux quidam, est-ce vrai ? Ce serait vraiment un pouvoir d'un autre temps.
Vous me direz, il faut bien quelqu'un qui décide qu'à un moment les choses ont suffisamment duré, « quand on tire trop sur la corde, elle se casse », quoique quand c'est vous qui tirez vous êtes toujours étonné parce que vous ne pensiez vraiment pas avoir tellement tiré.
Parmi tous les proverbes, il en existe qui sont plus ou moins vérifiés, par exemple « neige en février vaut bon fumier », peut-être, mais que dire en mars « neige en mars, mauvaise farce » ? En tous las cas « on récolte ce que l'on a semé », c'est une Lapalissade ; et « si l'on ne sème rien, on est bon à rien », mais surtout « ce n'est pas malin si le peuple a faim », car « quand le peuple a faim, c'est le début de la fin ».
Oui, j'invente un peu, mais voyez comment a fini Louis XVI ; c'est vrai que le monde moderne est compliqué et qu'il y a de quoi perdre la tête.
Nous avons transporté nos industries aux quatre coins du monde et maintenant nous disons qu'il faudrait recréer des métiers de proximité, de l'artisanat et aussi remettre l'apprentissage au goût du jour, mais, alors, pourquoi ne pas réimporter les industries chez nous ?
Est-ce un raisonnement simpliste ? Peut-être, mais « tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse »
D'ailleurs, ce brave LouisXVI qui lui aussi était un visionnaire n'a-t-il pas dit « qu'il n'est pas douteux qu'une prudence sagacité qui voit de loin les malheurs de l'Etat ne puisse aisément les empêcher d'éclore ; mais du moment que, n'ayant point été aperçus, ils viennent à éclater et qu'on n'en peut démêler la cause et la nature , il n'est presque plus possible d'en arrêter le cours. »
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Quoi de neuf ?- 24 février 2013

Le pape démissionne !
Ça peut paraître anodin, mais c'est l'avenir qui nous dira si ça l'est.
En effet, le nouveau pape pourrait par ses actes, ses paroles, modifier la façon de penser et de vivre de nombreux de nos concitoyens, ça fait peur, mais c'est ainsi.
D'autre part, si une religion vient à perdre de son influence c'est une autre qui risque de prendre la place, car la nature a horreur du vide et sachant ce que nous savons (de Marseille, bien entendu) il vaut mieux conserver ce que l'on a.
Avant de partir, Benoît XVI va-t-il donner un coup de pied dans l'édifice pour aider son successeur à faire un coup de propre ? Rien n'est impossible, mais rien n'est sûr, car nous restons entre humains.
Tout ça nous éloigne quelque peu des réalités du quotidien et des menaces pesant sur nos finances.
Le pape démissionne, mais il n'est pas le seul.
Taxes, surtaxes, impôts nouveaux, désindexation des retraites, impôts sur diverses allocations, je te donne et je te reprends (quelle drôle d'idée!), les vieilles recettes qui n'ont pas fait leurs preuves ressurgissent avec nos « nouveaux » dirigeants qui n'ont pas plus de jugeote que les « anciens ».
Ce n'est pas en taxant tout le monde que le commerce va s'améliorer, c'est une évidence, mais c'est si facile.
En revanche, si l'on réduisait le nombre des élus de moitié, si l'on supprimait leurs avantages en nature, ça ferait certainement des économies, oui, je sais, je l'ai déjà écrit, mais ne rêvons pas, ça ne se fera pas demain, faites ce que je dis, pas ce que je fais, reste un grand principe dans notre démocratie ; quoique la division des cantons par deux semble un bon début.
En attendant, vers quoi peut-on se rabattre pour se donner un moral heureux ?
Nombre de nos concitoyens pratiquent les sports d'hiver, preuve que tout ne va pas si mal.
Pour ma part je préfère le soleil et ça tombe bien, il a brillé durant quatre jours en Normandie ; si, c'est vrai.
En réalité, ce que je crois, c'est que nos politiques, nos financiers et par ricochets, nos industriels sont défaitistes, ils se complaisent dans le « tout va mal », alors qu'il serait mieux d'insuffler un peu d'optimisme dans le cœur de la nation.
De l'enthousiasme que diable devant le jour qui se lève ! La vie est devant nous, sauf pour ceux qui se retournent aurait précisé Pierre Dac.
Au lieu de fustiger ceux qui ont financièrement réussi, il vaudrait mieux tous nous inciter à faire pareil.
D'ailleurs, la jalousie est un sentiment destructeur.
Prenons-nous par la main et allons de l'avant, réalisons nos rêves.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Début d'année 2013 - 24 janvier 2013

La guerre pour commencer l'année, est-ce un bon signe ?
Évidemment, il n'y pas de raison de se laisser envahir par les bandits, les trafiquants, les destructeurs, les violeurs, les mutilateurs et autres monstres sanguinaires agissant souvent au nom de celui que personne n'a jamais vu et qui, qu'il soit unique ou multiple, a de tous les temps servi de justificatif à l'injustifiable ; en effet, il a le dos très large.
Prions :
Dieu, Allah, Yahvé, et cœtéra,
prête-noms des oppresseurs
délivrez-nous des saigneurs,
qu'ils meurent tous du choléra.
Que disparaissent tous les fanatiques
à la conscience élastique,
tous ces sans-cœur
qui répandent la terreur.
Et qu'en vos noms, tous les jours,
en nous tous, soit l'amour.
Protégez nos enfants
de tous les malfaisants,
et délivrez-nous du malin
jusqu'à la Saint Glinglin.

J'entendais, il y a peu, parler de crime de guerre, mais la guerre n'est-elle pas le crime originel perpétré par ses fomenteurs ?
Et, une fois attaqués, il faut bien se défendre, non ? Et défendre la veuve et l'orphelin, est-ce mal ?

Bon, parlons de choses plus gaies, par exemple de cette manifestation contre le mariage pour tous que l'on soit ou non du même genre .
Qu'il ne soit plus question de sexe, pouah !
L'idée peut paraître juste ; que deux personnes, quelles qu'elles soient, souhaitant unir leurs vies civilement et officiellement puissent le faire, quoi de mieux ?
J'observe qu'il existe déjà le pacs : le pacte civil de solidarité (Pacs) est un contrat. Il est conclu entre deux personnes majeures, de sexe différent ou de même sexe, pour organiser leur vie commune.
Mais il semble que ce pacs ne satisfasse pas tout le monde.
Au nom de l'égalité, il faut donc un seul contrat d'union, pour tous, cette union pouvant être abrogée, comme le divorce dans le mariage et, à propos, quid du mariage ?
Quid de l'union d'un homme et d'une femme voulant s'unir pour fonder une famille : Une femme, un homme, des enfants ?
Maintenant, faut-il réviser la définition de la famille ? 
Le mieux ne serait-il pas d'observer la nature ?
Tout de même, gardons toujours à l'esprit que l'on est comme on né.
Toutefois, si la législation peut aplanir les difficultés que mes particularités de naissance risquent d'engendrer, tant mieux, mais, ne nous leurrons pas, nous serons toujours différents les uns des autres, c'est la nature et heureusement, car c'est comme ça que nous nous reconnaissons.
Et à vouloir faire rentrer tout le monde dans le même moule, c'est la guerre.

Autre sujet de ce début d'année, finalement très fertile en événements, les mouvements en politique. Le nouveau président d'un parti politique est élu avec une (très) courte majorité, aussitôt les partisans du perdant et le perdant lui-même contestent le résultat, belle leçon de démocratie pour nous, humbles citoyens.
Bien, cela dit, il paraît qu'il y a eu des tricheries de part et d'autre...Je pose la question : quel est ce monde de menteurs, sont-ce ces gens qui osent solliciter nos suffrages ?
Réponse : oui !
Bigre, bigre !
Dans la cour de récréation, les bagarres ne sont pas trop graves, les confrontations, les essais de domination sont dans la nature des choses.
Plus tard, la prolongation de ces disputes enfantines entre adultes a d'autres conséquences, pensons-y.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Nouvel an 2013 - 6 janvier 2013

L'année 2012 fut-elle une « annus horribilis », l'avons-nous dans le fion à jamais ou l'année 2013 se révélera-t-elle une « fortunatus anno » ?
Et d'ailleurs, l'avez-vous bien entamé cette nouvelle année ?
Pour ma part, j'ai bien mangé, j'ai bien bu , merci petit Jésus !
Même, peut-être, un peu trop, mais, comme dit le proverbe, il vaut mieux faire envie que pitié.
C'est donc repu et satisfait que je regarde l'horizon 2013.
Tout va bien.
Pour un hiver, la température est clémente, la pluie tombe sans discontinuer, mais tout ce qui vient du ciel n'est-il pas béni ?
J'ai consulté de multiples voyances pour me faire une idée des événements futurs devant nous surprendre cette année, mais j'ai du mal à faire mon choix entre les « ça va mieux » et les « tout va mal ».
Par exemple, on nous prédit une grande sécheresse, mais aussi beaucoup de pluie ; il faudrait savoir !
D'autre part, il paraîtrait que nous pourrions ne pas retrouver le plein emploi demain (ha, ha !) et aussi qu'une guerre au Moyen-Orient ne serait pas impossible (surprise!) et que des tremblements de terre se prépareraient un peu partout avec des réveils de volcans.
Quelle clairvoyance !
Malgré tout, je reste surpris par le pessimisme ambiant, car moi qui ne suis pas voyant je vous assure que l'horizon 2013 est dégagé ; bon, il y aura bien quelques perturbations en cours de route, mais pas de quoi casser trois pattes à un canard.
Donc, en cette année de la chance, ne nous laissons pas envoûter par les défaitistes professionnels et profitons de la vie dans la bonne humeur.
Tels sont mes vœux, ça n'engage que moi.

Noël 2012, année nouvelle 2013

En cette fin d'année, après la fin du monde qui nous a permis de délicieusement faire semblant d'avoir peur, les sujets de perplexité ne manquent pas.
Finalement, rien ne change, tout continue.
Bref, sous les avalanches de nouvelles, plus étranges les unes que les autres, nous pourrions croire que le monde est pourri.
Heureusement, l'espoir chevillé au corps, tous les prétextes restent bons pour sourire à la vie.
Le monde politique persiste dans ses clowneries et le changement que nous pouvions attendre ne semble pas prêt de montrer le bout de son nez.
Les outrances et les mensonges vont donc nous divertir encore un moment.
Cela dit, il n'est pas toujours agréable de tirer la langue sous l'effort pendant que celui que vous contribuez à nourrir se goinfre à côté de vous.
En conséquence, avec la meilleure compréhension possible, ne laissons plus passer les excès auxquels certains se croient autorisés, qu'ils soient dénoncés et tournés en ridicule, cela nous amusera.
En passant, je suggère pour faire des économies durant la prochaine année que :
soit diminué de moitié le nombre des élus,
qu'un esprit d'égalité soit démontré par la fin des privilèges accordés aux représentants du peuple,
que ceux qui siègent à l'assemblée nationale perçoivent leurs indemnités, mais pas les absents qui ont toujours tort.
Ben, quoi ? On peut toujours rêver, non ?
Les souhaits pour 2013 :
Souhaitons pour cette nouvelle année que Dieu, jusqu'à preuve du contraire concept de l'homme, ne soit plus mis à toutes les sauces par les gouvernants, les révolutionnaires, les terroristes, les tyrans et autres fous qui se cachent derrière l'image divine pour justifier leurs actes condamnables et les maux multiples qu'ils infligent aux peuples.
Souhaitons que Dieu, puisqu'il faut bien un nom pour invoquer l'incompréhensible, soit uniquement sollicité pour développer notre moi transcendantal et que personne ne se croit autorisé à parler en son nom, à commencer par les religieux de tous poils et par ceux qui s'autoproclament ses prophètes.
Souhaitons que l'on ne parle plus de LA crise qui, depuis le temps, n'est plus une crise, ce sont les temps ont changés, voilà tout.
Les politiques continuent à vivre comme avant en disant qu'il va falloir se serrer la ceinture et, nous, nous nous serrons la ceinture en espérant toujours pouvoir vivre comme avant.
Souhaitons continuer à rire des bêtises que nous faisons et à nous extasier devant les prouesses que nous réalisons.
Souhaitons jouir pleinement de chaque jour qui nous est offert.
Enfin, je vous souhaite un Noël agréable « normal » et une très bonne année 2013 avec un beau soleil.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Et après ? - 24 novembre 2012

Qui suis-je ? Où vais-je ? D'où viens-je ?
Bien malin qui pourrait le dire, hormis les prophètes autoproclamés diffusant les oracles divins.
Soyons pragmatiques.
Nous avons les pieds sur terre, une planète flottant dans un espace incommensurable au milieu d'un nombre incalculable d'autres astres.
D'où vient cet univers ? A-t-il toujours existé ? A défaut, comment est-il né ? Et de quoi ou de qui ?
Est-il possible que les cellules composant notre corps se posent les mêmes questions ?
Peut-être que nous, êtres humains, animaux et plantes ne sommes-nous que les cellules d'un plus vaste corps ?
C'est insoluble !
Cantonnons-nous donc dans un premier temps à nous-mêmes, ce sera plus facile.
Diverses sorties corporelles, lors de morts imminentes, tendraient à démontrer que nous ne sommes pas que de chair et qu'il y aurait toujours une vie après la vie pour notre corps subtil, mais des esprits chagrins ramènent cet aperçu de la vie après la mort à un simple leurre chimique, rassurant l'être mourant et le corps subtil ne serait qu'une subtilité de notre cerveau moribond.
Toutefois, j'objecte que certains de nos contemporains réussissent à capter des images, des ressentis se passant à des milliers de kilomètres d'eux, c'est quand même étrange. Et les prémonitions ? Ceux qui en ont vécues savent que c'est réel.
Évidemment, on peut imaginer qu'il s'agit d'espèces d'ondes circulant autour de la terre et que certains d'entre nous seraient réceptifs à telle ou telle.
Bon, admettons cette explication farfelue .
Il existe malgré tout une autre étrangeté qui est la décorporation, c'est-à-dire que, par exemple, je m'évanouis et durant le temps de mon évanouissement je vois mon corps et ceux qui s'agitent autour. Est-ce cela avoir des yeux derrière la tête ?
Billevesées ! Ah non ! Car rien ne vaut sa propre expérience pour affirmer que, oui, ça peut se produire. Est-ce à dire que nous aurions un corps astral ?
Aïe ! Pourquoi pas ! J'allais écrire : chiche !
Et dans cette hypothèse, l'idée de passages initiatiques est assez plaisante : la conception, la vie intra-utérine, la naissance, la vie, la mort...et après ; la vie serait donc une préparation pour l'après, avec, en prime, un possible système de réincarnations successives visant à s'améliorer.
Bien, bien, bien.
Toutes ces conjectures restant, pour le moment, invérifiables par le commun des mortels, je propose que, dans l'immédiat, l'on s'occupe d'améliorer notre présent et, par là, notre futur, dans une solidarité humaine universelle.
Vaste et ambitieux projet d'où l'égoïsme et les intérêts personnels sont exclus.
Je vois qu'il existe des sceptiques quant à la réalisation de ce programme ; pensent-ils que le genre humain étant ce qu'il est et le monde ce que nous savons (de Marseille), la cause est perdue d'avance et qu'il vaut mieux implorer les dieux ? Peut-être aussi sont-ils plus crédules aux propositions ésotériques diverses et qu'ils voient dans nos aventures humaines des mises à l'épreuve divines ?
Alors continuons à vivre nos vies du mieux que nous pensons et nous verrons bien après...s'il y a.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Etre ou ne pas être - 15 novembre 2012

Il existe actuellement un sujet de société brûlant qui enflamme les passions car il touche aux fondements de notre société.
Notre environnement social a été bâti sur l'idée du couple hétérosexuel, un père, une mère et les enfants qu'ils engendrent.
Or, des personnes de même sexe qui s'aiment revendiquent le droit d'être reconnues comme ces couples hétérosexuels.
Après tout, pourquoi pas ?
Je suis un homme je vis avec un homme, je suis une femme, je vis avec une femme, je le déclare à la société qui le reconnaît et l'accepte au même titre qu'une alliance homme, femme.
Ça paraît logique ! Les choses sont dites clairement et reconnues et les droits et devoirs sont les mêmes pour tous les couples. C'est fort bien.
Quelles raisons pourraient justifier la répression des attirances naturellement ressenties et consenties entre adultes.
On ne condamne pas l'un ou l'autre pour des différences physiques telles que la couleur des cheveux, de la peau ou de la morphologie, en tous les cas on ne devrait pas, alors pourquoi le faire sur l'attirance sexuelle entre adultes.
Bref, nous devons accepter les gens tels qu'ils sont et non tels que pourrions vouloir qu'ils soient.
Bien ! Donc, le code civil va à juste titre reconnaître que chaque personne peut vivre avec qui elle veut.
Mais quid des enfants ?
Il naît de la mère et du père, c'est la nature, c'est comme ça.
L'enfant n'a rien demandé à personne et son droit est de connaître sa mère et son père et d'être chéri par les deux.
Nul ne devrait pouvoir s'y soustraire sans être fautif vis à vis de l'enfant, quelques soient les circonstances, même les plus pénibles. Cela n'empêchant pas, si la survie du père ou de la mère l'exige que la paternité ou la maternité ne soit pas exercé.
Reste alors pour les pauvres abandonnés l'espoir d'être adoptés par une famille aimante.
Si il y a adoption, il peut paraître logique que, pour l'équilibre de l'adopté, elle se fasse par un couple classique, père, mère ; autant ne pas ajouter des difficultés éventuelles, puisque, en l'occurrence, seul compte l'intérêt de l'enfant.
Donc, nous balayons le besoin de parentalité des homosexuels.
Toutefois une femme, hétéro ou homo, peut toujours enfanter et l'enfant vivra dans l'environnement de la mère, hétéro, homo ou uni-parental, c'est incontestable.
En cas de décès de la mère homo, l'orphelin doit-il aller avec son père ou avec la compagne de la mère ? Si le père sort d'une éprouvette, il est évident que l'enfant doit rester avec la compagne de la mère si toutefois sa parentalité est reconnue comme mère adoptive.
Quant à ces messieurs vivant ensemble, ils ne pourront jamais enfanter, mais ils peuvent toujours être pères ; si la mère décède, récupèrent-ils l'enfant ?
Finalement, rien n'est simple ! Et à vouloir nous substituer à la nature, nous nous compliquons la vie !
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Espoir - 24 octobre 2012

J'observe et je suis interloqué.
Qu'est-ce qui peut faire agir tous ceux qui se réfugient dans des théories et des pratiques contraignantes sous des prétextes les plus divers, religieux ou non.
Est-ce du masochisme ? De la victimisation ?
Et ceux qui sont aux gouvernes de ces pratiques sont-ils des sadiques ?
L'auto-destruction et la destruction relèvent peut-être du même processus, mais, quoi qu'il en soit, je n'en suis pas.
Je préfère exercer mes activités en y trouvant du plaisir, c'est beaucoup plus enthousiasmant.
La morosité est un état d'esprit tout à fait déplorable.
Je sais bien que travailler pour devoir ensuite reverser une partie de son salaire à l'Etat n'est pas naturellement exaltant, mais faut-il devenir défaitiste pour autant, car, après tout, qui punit-on en faisant la mauvaise tête ?
Soi-même ! Hé, oui !
Donc, je veux être d'humeur joyeuse, trouver des instants d'égaiement aux moments les plus improbables.
Nous passons sur terre, entre 80 et 100 ans, une poussière de temps, alors franchement autant ne pas y subir la tyrannie des despotes de tous poils.
Est-ce à dire que tout est rose ? Bien sûr que non !
Mais tout n'est pas irrémédiablement noir et ce n'est pas ce navigateur australien qui nous dira le contraire : perdu à 500 km des côtes australiennes en plein océan Pacifique, il était en perdition dans une mer déchaînée depuis 5 jours.
C'est alors que les pilotes d'un Boeing 777 d'Air Canada qui effectuait un vol reliant Sydney à Vancouver, ont été informés par les autorités australiennes de la présence d'un naufragé au large de Sydney.
Le capitaine, Andrew Robertson, et son équipage, après avoir estimé qu'ils avaient suffisamment de fuel pour s'engager dans ces recherches ont fait descendre l'avion à 1 500 mètres d'altitude pour permettre de scruter la mer à l'aide de jumelles. Ils ont prévenu les 200 passagers de ce qu'ils faisaient et, une fois dans l'aire de recherche, leur ont demandé de bien vouloir regarder par les hublots et de les avertir dès qu'ils apercevraient quelque chose.
L'équipage a finalement repéré le naufragé à 500 km des côtes et a aussitôt prévenu les autorités maritimes australiennes. Le navigateur, Glenn Ey, qui a pu être ensuite secouru par la police maritime a expliqué à son retour à Sydney : "Une vague monstrueuse a surgi, a retourné le bateau. J'ai été projeté sur le toit du bateau, qui commençait à être inondé. J'étais à genoux dans l'eau. J'ai cru que mon heure était venue".
Après ça, je suppose qu'il va relativiser ses difficultés terrestres.
Et l'on peut aussi constater qu'il ne faut jamais désespérer du genre humain.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Le bien et le mal - 24 septembre 2012

Qui a décrété ce qui est bien et ce qui est mal ?
Savons-nous, au fond de nous, dans quelles catégories se rangent nos actions ?
Les sociétés, elles, inventent, chacune de leur côté, des définitions fluctuantes.
Ainsi, il y a quelques années, circuler en voiture après avoir bu un verre de vin ne posait pas de problème, or nous nous acheminons maintenant vers une tolérance zéro grammes d'alcool dans le sang, à défaut nous serons considérés comme des criminels, cette considération n'est-elle pas un peu outrancière ?
Prenons un autre exemple : le maréchal Pétain, pourquoi fut-il nommé Maréchal ?
Philippe Pétain est né le 24 avril 1856 à Cauchy à la Tour dans le Pas de Calais et il est mort en prison sur l'île d'Yeu le 23 juillet 1951. Que s'est-il passé durant ces 95 ans ?
Jeune général au début la guerre de 14/18, Pétain organise, en 1916, la défense de Verdun dont il fut considéré comme le sauveur ? Commandant en chef des armées françaises en 1917, il est élevé à la dignité de Maréchal de France en 1918. Après avoir rétabli la situation pendant la guerre du Rif au Maroc(1925), il est nommé ministre de la guerre (1934) puis ambassadeur de France à Madrid (1939).
Quoique la guerre ne soit jamais belle, tout cela est plutôt une réussite pour un militaire.
Oui, mais après, durant la guerre 39/45, voilà qu'il capitule, se décrète chef de l'Etat Français, installe un régime autoritaire, organise la répression et la déportation, ce qui lui valut d'être condamné à mort à l'issue des hostilités, mais, gracié par le Général de Gaulle, il finira sa vie en prison.
C'est bien fait, mais peut-être pensait-il bien agir.
Etait-il plus bête que méchant ? En tous les cas, beaucoup lui ont obéi ou l'ont suivi dans ses raisonnements tortueux.
Ce n'est pas facile de savoir où sont le bien et le mal quand la société dans laquelle vous vivez ne le sait pas elle-même.
Dans certaines sociétés on coupe la main des voleurs, c'est horrible ! Oui, mais voler ce n'est pas beau. Pour autant est-ce bien de couper la main ? Allez savoir.
Quant aux diverses formes de répression à la suite d'un adultère, il y a matière à discussion alors que certaines ethnies préconisent la polygynie ou la polyandrie ; où est le mâle, où est le bien ?
Par ailleurs, l'amoralité est-elle condamnable ? Où est le mal ? Où est le bien ?
Est-ce bien de mentir ? Ah ! Non alors ! Oui, mais mentir pour éviter de faire du mal ? Heu...
Et le suicide en guise de revendication pour défendre la collectivité, en provoquant éventuellement quelques dégâts colatéraux, est-ce mal ?
Finalement, puis-je dire que quand je fais du mal à l'autre, c'est mal et que quand je lui fais du bien, c'est bien ?
Je mange du chocolat, ça me fait du bien, mais ça me fait grossir et, ça, ça fait du mal à ma femme ; est-ce mal de faire du mal à ma femme en me faisant du bien ? Ou est-ce ma femme qui me fait du mal en disant que je lui fait du mal en me faisant du bien ?
Et je répète ma question à laquelle personne n'a répondu : quel est le Dieu des dieux, celui qui n'est pas odieux, celui au nom de qui jamais ne s'éleva un cri ?
Et je sais pourquoi personne ne répond, c'est parce c'est sous couvert du Dieu qu'il a créé que l'homme agit et souvent bien mal, hélas.
A ma connaissance, le seul Bon Dieu qui existe est le père Noël qui lui est toujours compréhensif et gentil.

C'est mon avis sur la vie ça n'engage que moi

Croire ou ne pas croire (suite)-30 août 2012

Les croyances seraient elles un sujet sensible ?
La plus grande influence sur nos vies vient-elle de la politique qui régit notre vie ici bas ou de la métaphysique, prévoyance de notre vie de l'au-delà.
Faut-il s'intéresser à l'immédiat ou à l'hypothétique « et après ça » ?
Devant l'immensité de l'éternité notre quotidien apparaît bien futile, est-ce une raison de s'en amuser ?
Devant l'immensité de l'univers nous ne sommes que poussière, est-ce une raison de s'extasier ?
Mes actions d'aujourd'hui engendrent-elles mes actions de demain ?
Et, si oui, ma vie d'ici préfigure-t-elle celle de là-bas ?
Et, dans ce cas, la solidarité est-elle obligatoire ou puis-je m'occuper de moi sans conséquence catastrophique imprévisibles ?
Et Dieu, concept de l'homme, me pardonnera-t-il cet égoïsme ou me jettera-t-il dans le brasier infernal ?
Me sens-je mieux en faisant le bien plutôt que le mal ?
Mais qu'est-ce que le bien et le mal ? Est-ce une notion propre à l'individu ou un ressenti de l'humanité ?
Quel est le Dieu des dieux, celui qui n'est pas odieux, celui au nom de qui jamais ne s'éleva un cri ?
Bref, en quoi crois-je ?
Je crois en l'humain, en son monde souverain dépendant du ciel et de la terre, rattaché à l'univers visible et invisible ; je crois en sa vie et à tout ce qui s'en suit ; je constate sa mort du plus faible au plus fort, né sans paternité, dans l'obscurité, issu de la poussière, il retombera en poussière, fugace étincelle dans la vie éternelle ; par lui rien n'a été fait et tout est détruit ; à travers ses pareils, il s'adore, se fait femme, se fait homme, il souffre mille passions, renaît de ses cendres, agit par vanité pour, une fois disparu, par sa gloire, hanter les vivants, pour les siècles des siècles ; je crois qu'il n'est pas sain, qu'il se prend pour un seigneur et anéantit la vie.
Il se dit père et tue ses fils et les mères le bénissent.
Il invente cent prophéties qui l'étourdissent.
Aujourd'hui, je suis homme, c'est sur mon curriculum, celui de ma vie présente que j'ignore renaissante.
Je reconnais ne rien savoir de l'univers lointain et incertain.
Je crois en une vie saine, sociale et aimante, j'attends sans impatience la mort qui m'apprendra s'il y a une autre.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Croire ou ne pas croire-27 août 2012

Croire ou ne pas croire, tel est notre dilemme.
Parmi la panoplie de croyances les plus diverses, religieuses, politiques, sociales, nous pouvons choisir d'en suivre une ou plusieurs en les adaptant peu ou prou à notre personnalité, en les mélangeant, en les transformant, c'est la grande liberté .
Mais, adhérer à tel ou tel groupe, suppose d'obéir à des règles, même idiotes, débiles, humiliantes, avilissantes, il faut, pour faire partie du groupe, s'y soumettre.
Et « Se soumettre ou se démettre » c'est une devise idiote.
Se soumettre : Acquiescer, admettre, consentir, céder, fléchir, s'astreindre, se résigner, obéir, s'inféoder, s'humilier, s'offrir, se plier, abandonner, consentir, capituler.
Ne pas se soumettre, ne pas se démettre , conserver tous ses droits à la critique et à l'action, voilà qui me plaît,« Agir, ne pas subir » voilà une belle devise.
Croire ou ne pas croire ce qui se raconte autour de nous.
Ainsi à l'UMP, c'est à celui qui, avec la plus grande hypocrisie, dira du bien de l'ancien Président de la République, mais il est vrai que ces compliments raisonnent comme autant d'oraisons funèbres ; pauvre Sarko, il ne doit pas en croire ses oreilles.
Du côté de la majorité, j'entends dire que le nucléaire est une énergie d'avenir ; certes hormis la dangerosité du procédé et les retombées catastrophiques et irréversibles en cas d'accident, les déchets ont de l'avenir puisqu'ils ont une durée de vie de quelques milliers d'années .
Le Japon, ex deuxième exploitant mondial de ce système, l'a subitement complètement abandonné, on se demande pourquoi et s'il en est capable, pourquoi pas nous ?
Et croyez-vous que les femmes de notre président actuel se démettent ?
À chaque monde ses règles et dans le monde politique on peut dire que la règle c'est que tous les coups sont permis, ou presque.
Ainsi on nous dit que diminuer le prix des carburants créerait une perte pour l'État, c'est faux !
Les taxes représentent environ 50% du prix à la pompe ; si le prix du produit augmente, la taxe aussi, autrement dit l'État s'enrichit sur le dos du consommateur ; vous me direz que dans tous les cas c'est le consommateur qui paiera, alors, à quoi bon discuter.
Bref, nous avons une rentrée sans surprise comme je l'annonçais en décembre 2011 : « D'abord nous vivrons des élections qui seront peut-être une « désélection », heu, désillusion, pour certains, souvenons-nous de l'adage « élections, piège à cons ! »
Après cette période euphorique, nous retomberons dans la torpeur d'un été ensoleillé, doucement bercés par les murmures des politiques angoissés par notre désintérêt de leurs agitations catastrophées.
La rentrée du mois de septembre sera marquée par un curieux frémissement dû, non pas au coût des cartables et des crayons, mais à une perspective nouvelle, bien que déjà vécue il y a quelques années : la fin du monde, programmée, cette fois-ci, pour le 21 décembre 2012, dans un an exactement. »
La « désélection » a eu lieu, la torpeur nous a gagnés, attendons la suite.
À bientôt.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Pourquoi ? - 18 juin 2012

Pourquoi ? - 18 juin 2012

Tout est dit, c'est fini, n, i, ni 
Il faut avouer que ce marathon électoral m'a épuisé.
Pourtant, je ne fus qu'un simple spectateur et un votant...pour qui ? Pour qui ?
Pour qui et pourquoi, je ne le dirai pas, car, dans tous les cas, ce serait mal compris par une partie de la population.
Tout ce que je puis dire, c'est que dans tous les camps il y a des bonnes et des mauvaises intentions et c'est à nous, les électeurs, de nous débrouiller avec ça, avec les vérités, avec les mensonges, avec le racolage ; ce n'est pas facile !
Toutefois, j'admire la foi et la persévérance de tous les prétendants au trône, quelle que soit leur couleur politique.
D'ailleurs, si je critique, parfois un peu facilement, les décisions de ceux qui détiennent le pouvoir, ça ne veut pas dire que je crois que je ferais mieux à leur place, mais de l'extérieur c'est toujours plus facile.
Ce qui n'empêche pas de m'étonner devant les convictions affirmées, les condamnations péremptoires, les lois iniques ou les jugements religieux et les règles abusives, de m'étonner et de manifester mon désaccord.
Mais, restons réalistes, nous ne sommes, ici bas, que de passage et il me semble préférable de ne pas accumuler trop d'éléments négatifs à emporter de l'autre côté.
J'en vois qui s'étonnent : comment ?! Vous croyez en un au-delà, vous qui ne croyez ni en diable, ni en Dieu !
Je ne crois pas, n'est pas la bonne expression, il serait plus juste de dire que je ne sais que croire.
Je parle plus facilement au vent qu'à Dieu et pourtant le vent transporte le souffle du ciel.
Dans le doute, je m'occupe de ce que je vis aujourd'hui, dans ma misérable peau d'humain et je sens bien, oui, que ça me fait plus de bien d'être gentil que méchant.
Ce qui me fait dire que si la méchanceté est un signe d'égoïsme, la gentillesse aussi.
La compassion, l'amour, la compréhension, bref tous ces sentiments qui fendillent notre carapace de défense, et le calcul, la manipulation, la convoitise, créateurs de cette carapace, n'obéiraient finalement qu'à un même objectif, notre bien-être immédiat.
L'un est le confort matériel et l'autre le confort de...de...de quoi ? De l'âme ? Du moi profond ? Du cœur ? Pourquoi pas de l'estomac, pendant que nous y sommes ? De la paix intérieure ? Mais de quel intérieur s'agit-il ? De nos intestins ?
Pourquoi l'amour ?!!
Bref ! Deux choses sont sûres, la première est que notre vie sur terre est éphémère et la deuxième est que nous avons des sentiments.
La vie nous savons ce que c'est, nous sommes vivants ou morts et quand nous sommes morts, c'est que nous ne sommes plus en vie, c'est assez simple.
Mais les sentiments, qu'est-ce ?
Je dirais un ressenti, par exemple, je déteste et j'ai envie de frapper, j'aime et j'ai envie d'embrasser ; répulsion, attirance ; nous connaissons les conséquences et même si on explique les causes par des raisons chimiques ou physiques ou des réactions ataviques, ça reste néanmoins mystérieux.
Reste la théorie ésotérique supposant que nous serions une entité extra-terrestre vivant dans notre corps pour des raisons transcendantales que nous ne devons en aucun cas contrecarrer.
Cette entité, logée dans notre subconscient (c'est où ça?) posséderait la connaissance du bien et du mal et nous guiderait, une sorte d'ange gardien ou de diablotin, sauf que c'est nous.
Il faut reconnaître que cette idée nébuleuse est assez plaisante
Et c'est peut-être cette entité qui n'est autre que moi, qui me fait penser que mon bagage d'actions positives me serait moins lourd que mes vilénies terrestres si, après la mort, mon moi éthéré devait s'envoler.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

La tension permanente-25 mai 2012

Votre vie a-t-elle soudainement changé ? Ressentez-vous que tout à coup il ne flotterait plus autour de nous cette atmosphère conflictuelle ?
Hé oui ! Les élections présidentielles sont terminées, nous devrions être tranquilles pour 5 ans, ouf !
Évidemment, il y a ceux qui sont déçus et il y a ceux qui sont heureux, c'est ainsi après chaque résultat, mais en principe ça se calme en un temps assez court.
Le problème c'est que nous avons encore les élections législatives dans trois semaines et donc la pression va être maintenue jusque-là.
La tension permanente que nous subissons depuis quelques années de la part de nos politiques se dissipera-t-elle une fois cette période passée ?
Que pensez-vous du mandat unique ? Le commun des mortels n'a pas trop de sa journée pour accomplir son dur labeur, en serait-il autrement pour des charges, dites lourdes, mais qui seraient en réalité si légères qu'elles pourraient se cumuler et s'entasser ainsi que les indemnités qui les accompagnent ?
Quant au nombre des élus, en comparaison avec beaucoup de pays, nous sommes gâtés, enfin je dis élus, mais je devrais plutôt dire postes d'élus, puisque pour le moment il est toujours possible, d'être en même temps maire, député ou sénateur, conseiller général ou régional, président de ceci et cela et j'en oublie certainement dont l'activité professionnelle que certains tentent de conserver ; bref, une réduction du nombre de postes serait certainement la bienvenue pour l'équilibre budgétaire de notre pays.
C'est en posant ces questions, éminemment judicieuses, que je réalise que finalement chaque camp ferait bien de s'inspirer des bonnes idées des autres, comme quoi tout n'est pas mauvais chez les uns ou chez les autres.
En effet, Monsieur Hollande, nouveau Président de notre République française, préconise le mandat unique et Monsieur Sarkosy, ancien président dont vous devez encore vous souvenir, préconisait une forte réduction des postes d'élus en fusionnant départements et régions en territoires.

C'est mon avis sur la vie ça n'engage que moi

Fête du 1er mai - 1 er mai 2012

Le 1er mai est donc, à l'origine, une journée de revendications.
La première fut organisée par des ouvriers qui, aux États-Unis d'Amérique, lassés d'être exploités corps et âmes, demandèrent en 1886 la journée de travail limitée à 8 heures.
Par la suite ce mouvement devint international et, en France où les journées de travail étaient à l'époque au moins de 10 ou 12 heures, la journée du 1er mai fut d'abord une journée de grève durant laquelle il n'était pas rare de voir les confrontations entre les grévistes et les représentants de l'ordre dégénéraient, comme en 1891 à Fourmies (Nord) où il y eut quand même 10 morts.
C'est en 1941 que le Maréchal Pétain érigea cette journée en fête afin de se l'approprier et illustrer ainsi sa fameuse devise « travail, famille, patrie ».
« Travail, Famille, Patrie », quelle devise ! Quel programme enthousiasmant ! Une vie de devoirs et de contraintes.
Mais n'entends-je pas, dans certains discours actuels, une résonance des sombres tambours de ce proche passé encore menaçant et voulant toujours s'opposer à notre devise républicaine porteuse d'espoir « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Restons plus que jamais vigilants.
Le travail doit être au service de l'homme et non l'inverse.
Le travail est un moyen pour l'homme de se libérer, en aucun cas l'homme ne doit être un outil pour le travail.
Et, je vous le rappelle, les prisonniers du boulot ne font pas de vieux os.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi

Les effets pervers du dieu unique (autre message subliminal) - 24 avril 2012

Peut-être vous attendiez-vous à ce que je vous entretienne d'élections présidentielles ?
Mais que pourrais-je en dire, qui ne le fut déjà.
Non, j'ai mieux que ce sujet désuet.
Il y a peu de temps, en parlant de choses et d'autres avec l'un de mes fils, nous abordâmes simultanément deux sujets : la religion et le chômage et par voie d'extension la crise financière.
Bon, non, ça ne fait pas trois sujets, car la crise financière est pour partie due au chômage et inversement.
Tout d'abord, il s'agissait de trouver l'origine de tout, je veux dire de tout ce désordre.
Au commencement, l'homme a eu recours à divers petits dieux pour que ceux-ci règlent pour lui ses petits problèmes du quotidien et aussi à d'autres dieux, plus importants, pour les gros problèmes, dont le dieu soleil qui était quand même l'un des plus costauds. Suivant les régions du monde, les noms des dieux étaient différents, mais leurs fonctions étaient, grosso modo, les mêmes, avec un niveau de cruauté variable.
Bref, tout allait bien, il existait des industries autour de chaque divinité et les hommes avaient tous du travail.
Mais, un jour, un illuminé, un farfelu chevelu, a décrété que cela suffisait, que ces dieux n'étaient que des fétiches, des idoles dérisoires et qu'il n'existait en réalité qu'un Dieu tout puissant.
Après un instant de surprise, les hommes balayèrent le passé d'un revers négligent de la main pour adopter cette idée novatrice, car, après tout, pourquoi se compliquer la vie avec une tripotée de dieux à adorer alors que l'on peut tous les remplacer par un seul.
Oui, sauf qu'avant, nous pouvions, en cas de désaccord avec la décision d'un dieu, faire appel à un autre, en froid avec le premier et, hop ! Le tour était joué ; maintenant c'est devenu beaucoup plus difficile, mais ce n'est pas le plus grave, le gros, gros problème, c'est que le travail engendré par la multitude des dieux n'a rien à voir avec celui donné par un seul.
Voilà donc la première cause du chômage : Dieu unique, monnaie unique, c'est la chienlit !
Ce Dieu unique qui prône l'amour, est aussi un faux-cul, en effet, sous prétexte d'une place dans un hypothétique royaume des cieux, il pousse les hommes à s'entre-tuer ; vous me direz qu'une bonne guerre peut apporter du travail, d'accord, peut-être, mais nous les hommes, mis à part quelques demeurés, nous n'aimons pas contempler nos pareils en pièces détachées, nous préférons les taquiner en entier et bien vivants.
Bref ! C'est ainsi démontré, un dieu qui cumule tous les pouvoirs c'est mauvais pour le peuple.
Il faut faire tomber les casquettes posées sur une même tête, du reste, c'est clownesque, ça ne fait pas sérieux.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Que d'événements, que d'événements ! - 24 mars 2012

Outre les accidents de la vie, il y a aussi les déments assassins, mais je n'en parlerais pas, c'est toujours trop triste ; je n'ignore pas les faits, mais ils sont trop « lourds » pour que je les évoque de façon superficielle dans cette rubrique futile.

Toutefois, je puis dire qu'étant donné nos origines très mélangées, à tous, nous pourrions toujours être tenus pour responsables des actions passées ou à venir d'un peuple auquel l'une de nos composantes pourrait être reliée, c'est vraiment crétin.
Bon, enfin, les religions et les gens bornés n'ont jamais apporté quoi que ce soit de positif.
Faites ci, ne faites pas ça, ne m'induisez pas en tentation, etc.
Je ne vais pas me mettre à discuter de la vie et de la mort, pourquoi vit-on, pourquoi meurt-on ? Où étais-je avant, où serais-je après ?
À part toutes les supputations ou les pouvoirs extraterrestres donnés par les hommes à des dieux hypothétiques, personne ne sait rien.
Savons-nous déjà où nous sommes aujourd'hui ?
Où nous sommes, peu-être, mais où nous en sommes, ça, non, nous ne le savons pas, politiquement parlant, je veux dire.
Entre celles et ceux qui font des promesses qui manifestement ne pourraient être tenues et celui qui promet des choses qu'il aurait déjà pu faire, mais qu'il n'a pas faites, on ne sait pas pourquoi , ni pourquoi il les ferait après puisqu'il ne les a pas faites avant, quel sera le bon choix?
Tout cela ne m'inspire guère.
Pourtant c'est le printemps, le temps du renouveau, le temps de la jeunesse perpétuelle, le temps des chansons gaies et des danses folles, le temps des projets les plus enthousiasmants, bref le temps de tous les espoirs.
Hé bien, parmi tous nos candidats (sans oublier les candidates, je parle en neutre, ni féminin, ni masculin, ne l'oublions pas), aucun n'a fait briller en moi une étincelle de joie.
Quel dommage !
Vous me direz qu' une élection présidentielle est chose grave, c'est graaaavvve.
Bref, parmi ces « tout est grave » en existe-t-il un qui donne envie de voter pour lui ; soyons juste, chacun, peut, parfois, avoir une parole ou un geste qui retient un peu l'attention, qui crée un moment où l'on pense ;  « ah, oui, il (elle) a raison », mais ça ne dure pas.
Conclusion, il faudrait, pour sortir un être nouveau, malaxer ensemble tous ces prétendants. Qu'en sortirait-il ? Un Frankenstein ?
Bah, tant pis, restons comme ça, ce n'est pas terrible, mais déjà suffisamment dangereux, tant de pouvoirs en si peu de mains, c'est graaaavvve.
Encore un mois, agitons le pot aux candidats et laissons décanter, peut-être que le 22 avril nous y verrons plus clair.
C'est mon avis sur la vie, ça n'engage que moi.

Assez - 24 février 2012

J'en ai assez.
Assez des propos alarmistes
Assez de l'apocalypse annoncée
Assez de l'exacerbation des uns contre les autres
Assez des promesses mensongères éhontées
Assez des promesses non tenues
Assez des actions annoncées non réalisées
Assez de la ploutocratie oligarchique
Assez des propos populistes
Proutt ! À la fin ! Il y en a raz le bol !

Vous allez souffrir, souffrir pendant des années encore, pour payer votre bien-être passé .
Égalité, Fraternité.
Formidable !Tous au SMIC !
SMIC : Salaire minimum interprofessionnel de croissance.
De quelle croissance parle-t-on?!  Mystère !
Bref, nous manquons d'argent
Aussi, devant le coût prohibitif des carburants, j'ai rangé la voiture au garage et j'en ai sorti mon vélo après l'avoir remis en état de rouler.
C'est moins pratique que l'auto pour porter les courses, mais il n'y a pas de réservoir à remplir, il suffisait d'y penser.
C'est un transport qui a aussi le mérite de vous maintenir en bonne santé et qui vous force à communier avec les éléments, la pluie, le vent, le froid , c'est surprenant.
Question chauffage, sur un vélo il n'y en a pas, donc, là encore, économie.
Mais, après réflexion, pourquoi, me suis-je dit , m'ennuyer avec cette mécanique alors que l'homme est si bien conçu ; en effet, je peux très bien aller à pied et porter mes courses sur mon dos.
Finalement, nous pourrions supprimer tout ce superflu qui nous empoisonne la vie, ordinateur, téléphone, téléviseur, radio, toutes ces choses qui propagent de mauvaises nouvelles.
Finalement nos ancêtres de l'âge de pierre n'étaient pas si bêtes que ça

Oui, mais, heu..? Comment fais-je pour diffuser cet avis ?
C'est mon avis sur la vie , ça n'engage que moi

Chers amis

J'ai hésité et puis je ne l'ai pas fait, j'ai réfléchi et je me suis dit : non, je dois respecter les règles, car, si on ne respecte plus les règles, c'est la chienlit.
Bien sûr, les règles sont aussi là pour être transgressées, ce n'est pas moi qui vous dirais le contraire, mais là, non ! il faut un respect minimum, il faut savoir s'arrêter dans la désobéissance.
C'est vrai que j'ai toujours soutenu que chacun crée son propre environnement et que nous sommes seuls responsables de nos problèmes, oui, je le reconnais, toutefois, dans la vie en collectivité nous sommes contraints de suivre une ligne commune, sinon ce serait l'anarchie et les catastrophes ne pourraient être évitées.
C'est pourquoi je n'ai pas mis de « e » à amis au début de ce texte et pourtant il y a beaucoup plus de femmes que d'hommes parmi les lecteurs, il y a donc beaucoup plus de lectrices parmi les lecteurs.
La règle veut que le masculin l'emporte sur le féminin, c'est ainsi et c'est inique.
L'homme et quand je dis l'homme il s'agit, non d'une désignation générale de la race humaine, mais du mâle qui a du poil aux pattes et bien d'autres particularités qui le différencient de la femelle aux courbes si douces ; l'homme, disais-je, a pourtant en lui, paraît-il, une part de féminité...
Ah ? Serait-ce un androgyne ?
Ne devrait-on pas plutôt dire qu'il a une part de sensibilité ? Tout comme une femme qui, quand elle en manque, est qualifiée de masculine.
En réalité je crois que le masculin n'existe pas.
Il faut considérer que l'homme est le premier matériau, « brut de décoffrage », et le féminin est une sorte d'évolution, d'amélioration tirée de ce matériau et d'ailleurs il faut noter que les textes religieux, pourtant hautement phallocentriques, ne disent pas autre chose.
Quand j'écris sans choisir le masculin ou le féminin, je reste neutre, ce qui couvre les uns et les autres ; si maintenant je veux définir le féminin, c'est facile, j'écris au féminin, en revanche, si je veux définir le masculin, je ne peux point, je reste neutre.
L'homme serait donc indéfinissable ; oh, cruelle découverte ! Et la femme disposerait de plus d'atouts, oh , injustice !
L'homme, celui qui est poilu, est inconsciemment conscient que, créé avant, il est moins perfectionné.
C'est pourquoi, pour pallier ce désavantage, l'homme, le gars, occupe la place et n'entend pas la céder facilement.
La femme le laisse à ses illusions et en joue.
Ainsi va le monde depuis qu'il est monde et ne croyez pas, mesdames, que je découvre ça aujourd'hui.
J'ai toujours observé nos ambivalences avec plaisir et tout ce que j'écris n'est pas automatiquement vrai.
Mais que voulais-je vous raconter en commençant cette lettre ?
Ah ! Je ne sais plus, j'ai trop d'idées en tête, la terre tousse, on nous promet des élections et la fin du monde et pourtant c'est sans tousser que je vous dis :
Bonne Année 2012 !